j'ai moins accroché sur cette etude criminelle qui n'est pas sans rappeler la Corde d'Hitchcock, à travers ses personnages
Comme toujours, Fleisher est à l'aise pour l'etude psychologique et les deux jeunes acteurs sont tres bons mais j'avoue m'etre un peu ennuyé à la vision du film
n'oublions pas de mr richard fleisher les quelques petits western qu'il tourna dont le très interressant "duel dans la boue" avec don murray 1958,puis "bandido caballero" 1956,suivie du "sang dans la poussiere "1974 vala c'etait juste pourr le rapellé.
james
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
james a écrit : n'oublions pas de mr richard fleisher les quelques petits western qu'il tourna dont le très interressant "duel dans la boue" avec don murray 1958,puis "bandido caballero" 1956,suivie du "sang dans la poussiere "1974 vala c'etait juste pourr le rapellé.
james
Yes son dernier est même très intéressant et pourrait même faire partie des meilleurs du genre dans la décennie 1970
james a écrit : n'oublions pas de mr richard fleisher les quelques petits western qu'il tourna dont le très interressant "duel dans la boue" avec don murray 1958,puis "bandido caballero" 1956,suivie du "sang dans la poussiere "1974 vala c'etait juste pourr le rapellé.
james
Yes son dernier est même très intéressant et pourrait même faire partie des meilleurs du genre dans la décennie 1970
je suis dac avec toi
james
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
ctiss a écrit :Il y a aussi son film avec Charles Bronson : " mr majestyk" adapté d'un roman d'Elmore Léonard. On m'a dit qu'il etait très bon. Vous l'avez vu ?
Une petite deception pour ma part vu que le film sacrifie tout un côté humain pour un thriller Sf tout de même assez prenant. Les personnages sont trop stéréotypé pour que l'on s'y attache. Stephen Boyd auquel on pouvait esperer s'identifier est finalement en retrait, Raquel Welch ne sert à rien à part quand elle enfile sa tenue de plongée , Donald pleasance est sans surprise même si c'est finalement lui qui se démarque. A défaut de personnage véritablement charismatique, Fleischer tente d'inscrire son film dans un cadre scientifique crédible où l'équipage agit la plupart du temps de façon très pro. La longue scène du miniaturisation du vaisseau fascine encore aujourd'hui tant la mise en scène rend compte admirablement du changement d'échelle, la dilatation ou le resserement du temps et le travail sur le son joue sur nos nerfs, les décors même si peu crédible sont très inspirés et fortement dépaysant...
Barrabas: Un trés beau film qui ne fait que me confirmer à quel point j'apprécie le cinéma de Richard Fleischer dans le peu que j'en connais. Un péplum qui délivre son quota de grand spectacle filmé avec efficacité lors des scènes de gladiateurs dans l'arène mais aussi le superbe récit de la trajectoire d'un individu vers la compréhension d'une foi religieuse qu'il ne comprend pas, de sa difficulté à assumer son propre mythe, sa lutte intérieure entre morale et désir de survie. Anthony Quinn campe avec talent un personnage complexe, notamment en évitant le cabotinage lorsqu'il joue Barrabas saoul. La photographie est superbe avec un travail intéréssant sur les clairs obscurs lors des scènes de nuit, la mise en scène est maitrisée d'un bout à l'autre, offrant une belle ampleur épique en format scope. Et le film contient son lot de moments mémorables: le retour en liberté de Barrabas au début du film, le moment où le soleil l'empeche de voir Jésus condamné, les scènes de la mine, la fin du film. Ma grosse claque naphtalinée du mois pour le moment. 9/10
Bon film, mix très réussi de péplum avec ses passages obligés (la mine de soufre, Palance impeccable en méchant-méchant) et d'extrapolation intelligente sur un bonhomme dont on ne sait pas grand chose - ou plutôt que dalle. Quinn convaincant dans sa longue conversion à hauts et bas/chiqué ou sincérité et le final sur la croix est assez marquant. Tiens, j'ai envie de le revoir, rien que pour effacer de ma mémoire le Barrabas pitoyable type Capitaine Caverne vu par Mel G (il est fort ce Mel!).
20 000 Leagues Under the Sea ( 20 000 Lieux sous les mers) Fleischer, 1954
Bien que de nombreuses variantes cinématographiques aient été réalisées, le film original conserve tout son charme et reste la meilleure des versions, malgré les années. C'est bien la meilleure adaptation, les images marquées par l'esprit de l'aventure donnant une belle leçon de savoir-faire filmique et d'ingéniosité créatrice.
Première incursion de Disney dans le domaine fantastique, hormis les dessins animés, le résultat est une réussite à laquelle contribue une superbe distribution, James Mason et Kirk Douglas en tête.
Adaptation, scénario, interprétation, cinémascope de belle facture, magnifique photographie et direction de Fleischer (qui n'est pas qu'un tacheron) sont de très bons atouts pour ce film qui n'a rien perdu de son onirisme et de son pouvoir merveilleux.
La qualité du dvd zone 2 est en tous points excellente (autant que je sache en juger) et saura satisfaire les plus exigeants, je crois. A recommander chaudement aux amoureux du Beau Film d'Aventure.
Kurwenal a écrit :20 000 Leagues Under the Sea ( 20 000 Lieux sous les mers) Fleischer, 1954
Bien que de nombreuses variantes cinématographiques aient été réalisées, le film original conserve tout son charme et reste la meilleure des versions, malgré les années. C'est bien la meilleure adaptation, les images marquées par l'esprit de l'aventure donnant une belle leçon de savoir-faire filmique et d'ingéniosité créatrice.
Tu peux même dire qu'il s'agit de la meilleure adaptation d'un roman et de l'esprit de Jules verne.
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n'oublions pas de mr richard fleisher les quelques petits western qu'il tourna dont le très interressant "duel dans la boue" avec don murray 1958,puis "bandido caballero" 1956,suivie du "sang dans la poussiere "1974 vala c'etait juste pourr le rapellé.
, Donald pleasance est sans surprise même si c'est finalement lui qui se démarque. A défaut de personnage véritablement charismatique, Fleischer tente d'inscrire son film dans un cadre scientifique crédible où l'équipage agit la plupart du temps de façon très pro. La longue scène du miniaturisation du vaisseau fascine encore aujourd'hui tant la mise en scène rend compte admirablement du changement d'échelle, la dilatation ou le resserement du temps et le travail sur le son joue sur nos nerfs, les décors même si peu crédible sont très inspirés et fortement dépaysant...
