Philip Marlowe a écrit :(sans le ranger avec Sonate d'Automne dans la catégorie des mauvais Bergman).
Persona - L'heure du loup (Ingmar Bergman - 1966/1968)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
-
- Machino
- Messages : 1210
- Inscription : 11 juin 03, 22:24
J'ai vu recemment sourires d'une nuit d'ete et les fraises sauvages, deux excellents films de Bergman. Ce ne sont pas pour moi des experiences comme Persona, d'ailleurs son style est alors moins experimental. Plus classiques mais d'une beauté assez incroyable il faut l'avouer. Sourires d'une nuit d'ete m'a un peu destabilisé car c'est une vraie comedie, mais j'ai reussi a m'y faire et a l'apprecier
-
- Machino
- Messages : 1210
- Inscription : 11 juin 03, 22:24
-
- murder on the dance floor
- Messages : 7287
- Inscription : 13 avr. 03, 18:33
- Localisation : Bonne question...
-
- Réalisateur
- Messages : 6506
- Inscription : 14 avr. 03, 09:44
- Localisation : paris
-
- Accessoiriste
- Messages : 1830
- Inscription : 24 avr. 04, 01:19
Vu L'Heure du loup en salle ce soir, et.... quelle claque, mes aïeux !
Bien que j'aie eu un peu de mal à entrer dedans, je suis resté complétement en état de choc à la fin de la séance. Un film crépusculaire et surréaliste sur l'âme humaine et ses démons, le couple, la création artistique.
Je suis incapable d'en dire plus pour l'instant... on va laisser décanter tout ça.
Bien que j'aie eu un peu de mal à entrer dedans, je suis resté complétement en état de choc à la fin de la séance. Un film crépusculaire et surréaliste sur l'âme humaine et ses démons, le couple, la création artistique.
Je suis incapable d'en dire plus pour l'instant... on va laisser décanter tout ça.
-
- murder on the dance floor
- Messages : 7287
- Inscription : 13 avr. 03, 18:33
- Localisation : Bonne question...
J'essaye de redonner des chances à l'Heure du loup en me repassant quelques scènes de temps à autre mais rien à faire. Autant pour Le Silence ça m'avait donné la motivation pour le revoir en entier(et ce fut un succès), là même si certaines scènes sont réussies, l'ambiance a un goût de "N'y reviens pas". Et je trouve toujours les fantômes aussi peu convaincants
Dommage sur le papier ça avait l'air passionnant.
Dommage sur le papier ça avait l'air passionnant.
-
- Accessoiriste
- Messages : 1724
- Inscription : 14 avr. 03, 12:25
- Localisation : Jersey ( Iles Anglo Normandes- Channel Islands)
Stalker a écrit :Vu L'Heure du loup en salle ce soir, et.... quelle claque, mes aïeux !
Bien que j'aie eu un peu de mal à entrer dedans, je suis resté complétement en état de choc à la fin de la séance. Un film crépusculaire et surréaliste sur l'âme humaine et ses démons, le couple, la création artistique.
Je suis incapable d'en dire plus pour l'instant... on va laisser décanter tout ça.
Ah Stalker tu me fait plaisir car pour l'instant j'en suis au troisième visionnage de film aride et difficile mais qui me plonge toujours dans un état étrange d'insécurité et de fascination d'ailleurs assez proche de celui dans lequel se trouve le peintre.
et tu verra si tu le revois, l'effet ne s'estompe absolument pas
Stefan
-
- Mister Ironbutt 2005
- Messages : 7489
- Inscription : 13 avr. 03, 09:15
-
- murder on the dance floor
- Messages : 7287
- Inscription : 13 avr. 03, 18:33
- Localisation : Bonne question...
-
- Mister Ironbutt 2005
- Messages : 7489
- Inscription : 13 avr. 03, 09:15
-
- Accessoiriste
- Messages : 1777
- Inscription : 22 mai 04, 23:23
- Localisation : avec Géhenne qui n'arrête pas de ronchonner, au 92, avenue des champs-élysées, 75008 Paris
L'heure du loup
Dingue et ravagé. Je suis en pleine découverte du cinéma de Bergman, et ce qui me surprends le plus, c'est sa violence. On explore les âmes, mais on reste toujours très près des corps et des visages (magnifiquement filmés): on se regarde, on se repousse, on s'étreint, on se mord, on se bat, parfois jusqu'à la mort.
Dingue et ravagé. Je suis en pleine découverte du cinéma de Bergman, et ce qui me surprends le plus, c'est sa violence. On explore les âmes, mais on reste toujours très près des corps et des visages (magnifiquement filmés): on se regarde, on se repousse, on s'étreint, on se mord, on se bat, parfois jusqu'à la mort.
« Quand la mort de mourir de la peur de mourir fait plus peur de périr de la mort de pourrir… de la mort »