Bernard Blier (1916-1989)
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Bernard Blier (1916-1989)
Acteur que je viens de revoir successivement dans deux films d'Yves Allegret (Dédée d'Anvers, Manèges) où il s'y montre particulièrement brillant dans deux rôles complètement opposés.
Bernard Blier (1916-1989)
Il fut d'abord l'élève de Louis Jouvet au Conservatoire avant de débuter au cinéma en 1937.
Il joua un grand nombre de seconds rôles (Hôtel du Nord, l'Assassinat du Père-Noel, Quai des Orfèvres, Le jour se lève) avant de devenir un acteur de tout premier plan.
Outre les deux films cités, on le vit dans l'Homme à l'imperméable, (J. Duvivier, 1956); Les Misèrables (J-P Le Chanois, 1957); La Chatte (Henri Decoin, 1958); Marie-Octobre (J. Duvivier, 1959); Le Président (H. Verneuil, 1960); Germinal (Y Allégret, 1962); Les Tontons flingueurs (G. Lautner, 1963); Les Barbouzes (Idem, 1964); Cent mille dollars au soleil (H. Verneuil, 1964).
Acteur caméléon, il tournera aussi dans les premiers films de Michel Audiard (Faut pas prendre..., 1969, Elle boit pas, elle fume pas..., 1970) de Pierre Richard (Le distrait, 1972) de Jean Yanne (Tout le monde il est beau..., 1972, Les Chinois à Paris, 1973) de son fils Bertrand Blier (Calmos, 1975, Buffet froid, 1979).
Le cinéma italien fera appel souvent à ce comédien dans nombres de comédies telles que : Mes chers amis (M. Monicelli, 1975); Nos héros réussiront-ils ? (E. Scolla, 1978); Le Fou de Guerre (Dino risi, 1984).
Bernard Blier était un acteur complet dont l'imposante filmographie (+180 films) laisse comtemplateur du talent de Monsieur Bernard Blier.
Bernard Blier (1916-1989)
Il fut d'abord l'élève de Louis Jouvet au Conservatoire avant de débuter au cinéma en 1937.
Il joua un grand nombre de seconds rôles (Hôtel du Nord, l'Assassinat du Père-Noel, Quai des Orfèvres, Le jour se lève) avant de devenir un acteur de tout premier plan.
Outre les deux films cités, on le vit dans l'Homme à l'imperméable, (J. Duvivier, 1956); Les Misèrables (J-P Le Chanois, 1957); La Chatte (Henri Decoin, 1958); Marie-Octobre (J. Duvivier, 1959); Le Président (H. Verneuil, 1960); Germinal (Y Allégret, 1962); Les Tontons flingueurs (G. Lautner, 1963); Les Barbouzes (Idem, 1964); Cent mille dollars au soleil (H. Verneuil, 1964).
Acteur caméléon, il tournera aussi dans les premiers films de Michel Audiard (Faut pas prendre..., 1969, Elle boit pas, elle fume pas..., 1970) de Pierre Richard (Le distrait, 1972) de Jean Yanne (Tout le monde il est beau..., 1972, Les Chinois à Paris, 1973) de son fils Bertrand Blier (Calmos, 1975, Buffet froid, 1979).
Le cinéma italien fera appel souvent à ce comédien dans nombres de comédies telles que : Mes chers amis (M. Monicelli, 1975); Nos héros réussiront-ils ? (E. Scolla, 1978); Le Fou de Guerre (Dino risi, 1984).
Bernard Blier était un acteur complet dont l'imposante filmographie (+180 films) laisse comtemplateur du talent de Monsieur Bernard Blier.
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odelay a écrit :Un de mes acteurs préférés que son fils a sublimé dans Buffet froid.
Dans la dernière partie de sa carrière, il tourna des rôles plus ambigus, outre ce Buffet froid, inquiétant patron de Dewaere dans Série noire, le major Tarasso dans Passion d'Amour et enfin Mangeclous son avant-dernier film avant sa disparition.
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Je suis curieux de le voir celui-là. Le bouquin d'Albert Cohen est irrésistible et me paraît inadaptable.bogart a écrit :...et enfin Mangeclous son avant-dernier film avant sa disparition.
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Spontanément, je pense à "Astérix en Corse"... mais je n'en suis absolument pas sûr !kim a écrit :Je crois me rappeler sa caricature dans un Astèrix, mais dans quel titre ?
Sinon, j'aime beaucoup ce comédien. Surtout quand il parle avec les mots d'Audiard !
"Une bonne tête de vainqueur" qui a bien tiré son épingle du jeu ! Une voix aussi !
C'est marrant : participation molle à ce topic... au fond, on est moyennement cinoche made in France sur DVDClassik ! (quelqu'un a pensé à faire des statistiques sur les origines des films chroniqués sur le site ? comme ça, par curiosité ? On n'aurait pas une supériorité écrasante des studio américains ? Je demande des quotas !!! )
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Agence Matrimoniale (Jean-Paul Le Chanois, 1951)kim a écrit :Se collaboration avec Louis De Funes est un sommet de jubilation !!!
Je pense au GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard 1966).
Y-en-a-t-il d'autres ?? je crois que oui, mais lesquelles...
Je l'ai été trois fois (Sacha Guitry, 1952)
J'ai rien trouvé d'autre !
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Merci, Commissaire Juve!Commissaire Juve a écrit :Agence Matrimoniale (Jean-Paul Le Chanois, 1951)kim a écrit :Se collaboration avec Louis De Funes est un sommet de jubilation !!!
Je pense au GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard 1966).
Y-en-a-t-il d'autres ?? je crois que oui, mais lesquelles...
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Et JO alors?!! vous oubliez le meilleur!!kim a écrit :Se collaboration avec Louis De Funes est un sommet de jubilation !!!
Je pense au GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard 1966).
Y-en-a-t-il d'autres ?? je crois que oui, mais lesquelles...
Le dialogue derrière la plante verte me fait toujours pleurer de rire. Le "j'ai rien compris" après que De Funes lui ait expliqué en chuchotant de qui sa femme est la fille, et son "Et ben dites donc..." qui suit sont d'anthologie. Sans parler du gag du canapé. J'adore.[/b]
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Commissaire Juve a écrit :Agence Matrimoniale (Jean-Paul Le Chanois, 1951)kim a écrit :Se collaboration avec Louis De Funes est un sommet de jubilation !!!
Je pense au GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard 1966).
Y-en-a-t-il d'autres ?? je crois que oui, mais lesquelles...
Je l'ai été trois fois (Sacha Guitry, 1952)
J'ai rien trouvé d'autre !
As-tu oublié mon cher Commissaire notre collaboration dans le film de Jean Girault "Jo"
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odelay a écrit :Oh que oui qu'il y en a eu une autre et qui dépassait largement celle du grand restaurant (pourtant savoureuse) : celle de Jo. Le dialogue derrière la plante verte me fait toujours pleurer de rire. Le "j'ai rien compris" après que De Funes lui ait expliqué en chuchotant de qui sa femme est la fille, et son "Et ben dites donc..." qui suit sont d'anthologie. Sans parler du gag du canapé. J'adore.kim a écrit :Se collaboration avec Louis De Funes est un sommet de jubilation !!!
Je pense au GRAND RESTAURANT (Jacques Besnard 1966).
Y-en-a-t-il d'autres ?? je crois que oui, mais lesquelles...
Bravo !! Un connaisseur...
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