Yasujiro Ozu (1903-1963)

[Flol]

Objectif 2020 : découvrir le cinéma de Ozu.

As-tu chopé l'indispensable coffret blu-ray Carlotta durant le Black Friday ?

Bien sûr que non.

[Abdul Alhazred]

As-tu chopé l'indispensable coffret blu-ray Carlotta durant le Black Friday ?

Bien sûr que non.

On a pris de mauvaises habitudes mais même à 80 euros le coffret vaut le coup. Après, si c'est pour découvrir, c'est toujours possible de récupérer dans un premier temps Le fils unique et/ou Voyage à Tokyo qui se trouvent facilement à moins de 10 euros pour voir si tu aimes bien ou pas.

Jérémie De Albuquerque nous offre une très belle étude autour du cinéma d'Ozu.

Je remercie au passage Stéphane pour les suggestions, la mise en page et l'ajout de certaines images.

Ah et faut aussi que je remercie ma copine qui a relu mon long texte et trouvé le nom d'Ozuvers (alors que j'étais plutôt parti sur multivers d'Ozu, plus long et moins catchy) sinon je vais me faire engueuler

[Flol]

Bien sûr que non.

On a pris de mauvaises habitudes mais même à 80 euros le coffret vaut le coup. Après, si c'est pour découvrir, c'est toujours possible de récupérer dans un premier temps Le fils unique et/ou Voyage à Tokyo qui se trouvent facilement à moins de 10 euros pour voir si tu aimes bien ou pas.

Je sais, je sais...mais je n'ai encore jamais réussi à trouver le bon timing, la bonne occaz, le bon moment pour me dire "allez hop c'est parti, je me le prends !".
En 2020, j'espère.

[Jack Griffin]

Revu Printemps tardif et déballage du coffret. Légèrement déçu par l'image qui manque parfois de netteté mais rien d'alarmant. Je m'attendais à tellement mieux au vu de l'annonce de cette restauration...faut pas que je commence à pinailler

[tenia]

Le film a été restauré à partir de 2 sources, dont une dans un état clairement plutôt limité. Ceci explique certainement cela. Cependant, parmi les restaurations du coffret, c'est pour moi clairement le bas du panier (hormis Le fills unique).

[Ikebukuro]

Ici http://www.dvdclassik.com/test/blu-ray- ... s-carlotta je lis "Chishu Ryu, l'acteur fétiche (45 min - SD - 4/3) - sa collaboration avec Tetsuo Hara ("elle était vraiment douée")."
C'est Ken le Survivant qui doit être content

[Ikebukuro]

Pour ceux qui ont aimé Setsuko Hara, voici le scan d'un article français de 1947 assez, comment dire, étonnant... où on l'appelle "CHASTETÉ HARA"
http://japon.canalblog.com/archives/202 ... 25988.html

[Sybille]

Merci pour l'article et la retranscription, c'est d'un ridicule effarant mais assez instructif.

Mais pourquoi faut-il que les films japonais soient si ennuyeux ?

[Ikebukuro]

Merci pour l'article et la retranscription, c'est d'un ridicule effarant mais assez instructif.

Mais pourquoi faut-il que les films japonais soient si ennuyeux ?

Le mec a effectivement des avis très très tranchés mais parfois il m'a surpris, comme lorsqu'il dit que les japonais aiment la propreté mais pas la pureté... et là je me suis demandé si mon premier avis sur son article n'était pas trop tranché aussi.
N'oublions pas qu'il l'a écrit en 1947, il y a 75 ans... avec tous les préjugés de l'époque.

Mais bon, j'espère que chacun y trouvera des points positifs

[Sybille]

Ben c'est surtout que l'article porte sur une actrice japonaise célèbre afin de la présenter au public français, donc terminer sur une conclusion pareille, ce n'est pas très engageant pour éveiller la curiosité des spectateurs

[Flol]

On a pris de mauvaises habitudes mais même à 80 euros le coffret vaut le coup. Après, si c'est pour découvrir, c'est toujours possible de récupérer dans un premier temps Le fils unique et/ou Voyage à Tokyo qui se trouvent facilement à moins de 10 euros pour voir si tu aimes bien ou pas.

Je sais, je sais...mais je n'ai encore jamais réussi à trouver le bon timing, la bonne occaz, le bon moment pour me dire "allez hop c'est parti, je me le prends !".
En 2020, j'espère.

Nous sommes le 24 mars 2020.
Toujours aucun Ozu au compteur.

[Jeremy Fox]

Carlotta ressort en salles Dernier Caprice d'Ozu, avant-dernier film en couleur du réalisateur..


La chronique est signée Jean Gavril Sluka.