C'est pas grave... les gouts et les couleurs...Jeremy Fox a écrit :bogart a écrit :
Au contraire de vous, ce biopic sur Lon Chaney n'est pas dénué d’intérêt, et puis le comédien est une fois de plus formidable.
Immense ennui pour ma part
James Cagney (1899-1986)
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Re: James Cagney (1899-1986)
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Re: James Cagney (1899-1986)
Je l'ai trouvé magnifique ce biopic. Et quelle prestation de Cagney ! Une fois de plus, il est génial.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Julien Léonard a écrit :Je l'ai trouvé magnifique ce biopic. Et quelle prestation de Cagney ! Une fois de plus, il est génial.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Mais oui ! En plus, ce film m'a fait verser ma petite larme...bogart a écrit :Julien Léonard a écrit :Je l'ai trouvé magnifique ce biopic. Et quelle prestation de Cagney ! Une fois de plus, il est génial.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Un, deux, trois - Billy Wilder (1961)
Quel plaisir d'avoir découvert cette excellente comédie de Billy Wilder où les gags se succèdent sans temps mort. Le film se déroule à un rythme effréné et monte en puissance dans la dernière partie et nous laisse littéralement sur les rotules. Les acteurs sont parfaits avec, en tête, James Cagney monté sur piles, d'une vitalité incroyable, avec un débit de mitraillette et une mention spéciale pour Hanns Lothar désopilant homme à tout faire allemand, dont le claquage de talons m'a fait rire tout du long. Un, deux, trois est une petite merveille d'humour.
Quel plaisir d'avoir découvert cette excellente comédie de Billy Wilder où les gags se succèdent sans temps mort. Le film se déroule à un rythme effréné et monte en puissance dans la dernière partie et nous laisse littéralement sur les rotules. Les acteurs sont parfaits avec, en tête, James Cagney monté sur piles, d'une vitalité incroyable, avec un débit de mitraillette et une mention spéciale pour Hanns Lothar désopilant homme à tout faire allemand, dont le claquage de talons m'a fait rire tout du long. Un, deux, trois est une petite merveille d'humour.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Et pour la femme de Cagney qui lui répond "Ja Mein Fuhrer" lorsqu'il lui donne un ordre ou une consigneFlavia a écrit :Un, deux, trois - Billy Wilder (1961)
Quel plaisir d'avoir découvert cette excellente comédie de Billy Wilder où les gags se succèdent sans temps mort. Le film se déroule à un rythme effréné et monte en puissance dans la dernière partie et nous laisse littéralement sur les rotules. Les acteurs sont parfaits avec, en tête, James Cagney monté sur piles, d'une vitalité incroyable, avec un débit de mitraillette et une mention spéciale pour Hanns Lothar désopilant homme à tout faire allemand, dont le claquage de talons m'a fait rire tout du long. Un, deux, trois est une petite merveille d'humour.
Et pour la mordante ironie relative à la soumission aux ordres et à la hiérarchie des allemand(e)s
Et pour la fille débile du patron de Coca
Et précisément pour une époque ou si l'on citait une marque (pour ce film mais c"est plus souvent pour DES marques) ce n'était pas forcément pour en faire une pub sans imagination
Et pour la satire du capitalisme et du communisme (Pour Wilder, match nul)
Et j'en passe et des meilleures car j'en ai oublié. Je ne l'ai pas vu depuis 15 ans et tu m'as donné envie de le revoir, alors merci !
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Jimmy the Gent (1934)
Le duo Cagney/Davis fait effectivement des étincelles dans Jimmy the gent, comédie de 1934 réalisée par Michael Curtiz.Julien Léonard a écrit :Je suis bien d'accord ! Une très bonne comédie effectivement. Moins sophistiquée et élégante qu'une comédie made in MGM, mais plus cynique aussi, plus sèche. Bette Davis et James Cagney sont faits pour s'entendre. Ils avaient déjà joué ensemble sur le très bon Jimmy the gent de Michael Curtiz.
Cagney (avec une coupe de cheveux horrible dans les premières scènes), dans le rôle d'un généalogiste sans scrupule, en fait beaucoup (trop parfois comme s'il avait oublié qu'il ne jouait pas un gangster), même si il est vrai que ce surjeu participe d'un effet comique recherché.
Ceci dit, bien entendu, cela fait partie du "style Cagney" (acteur qu'on aimerait pas sous Tranxen) et il faut bien le dire, à chaque fois que le duo Cagney/Davis est à l'écran, l'alchimie est au rendez-vous. L'un et l'autre ont enfin trouvé du répondant dans une sorte de pendant du sexe opposé.
A noter, en plus du duo un bon casting de seconds rôles, en particulier Allen Jenkins en souffre-douleur et surtout Alice White formidable et truculente en malicieuse et ravissante idiote.
Magnéto :
La réalisation de Curtiz est dynamique, ingénieuse et sans temps mort, avec de nombreux passages très drôles (James Cagney prenant le thé!) ce qui fait de cette comédie une petite réussite.
James Cagney et Bette Davis forment un couple parfait, on en redemande !
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Re: James Cagney (1899-1986)
Un Cagney méconnu dans Le songe d'une nuit d'été (1935) - William Dieterle & Max Reinhardt :
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Re: James Cagney (1899-1986)
Je viens de le voir. Effectivement, l'un des meilleurs Cagney, on retrouve par moments un peu le personnage de L'ennemi public mais dans un film beaucoup plus léger (je croyais au départ qu'il s'agissait d'une comédie).Julien Léonard a écrit :Blonde crazy - Réalisé par Roy Del Ruth / 1931 :
Je commençais à désespérer d'être à nouveau surpris par un film avec James Cagney. Les très sympathiques et assez solides Picture snatcher, Lady killer, The mayor of hell, Smart money (et j'en passe)... avaient laissé place à d'autres productions encore plus anecdotiques (The St Louis kid, par exemple). Tous ces films étaient fort agréables et intéressants, mais étaient aussi régulièrement des productions sans grande surprise. Or, sans égaler les plus grands films de Cagney (L'ennemi public, Les anges aux figures sales, Les fantastiques années 20, City for conquest, La glorieuse parade, L'enfer est à lui... sans oublier G men et Each dawn I die), ce Blonde crazy est très savoureux.
En duo (formidable) avec Joan Blondell, et à peine auréolé du succès de L'ennemi public, Cagney surfe sur la vague. Il surjoue à fond, mais le fait très bien. Sa nature d'acteur explosif fait encore une fois merveille. Joan Blondell est charmante, belle et carrément cool, le genre de femme qui est l'équivalent de Cagney ! Un plaisir que de la voir. Le scénario propose humour, émotion, scènes fortes, suspense et courses poursuites, dans un ensemble certes sans réelle originalité, mais très bien maîtrisé. Les gifles entre les deux acteurs, les scènes où ils s'avouent leur amour avec des paroles maladroites, tout cela est bien attendrissant. Le metteur en scène Roy Del Ruth (Lady killer, Les cadets de West point...) apporte son savoir faire, sans réelle marque de fabrique, et en respectant l'efficacité Warner à la lettre. N'est pas Curtiz ou Walsh qui veut, et en résulte un produit impersonnel mais estampillé "pur Warner", fonçant de la première à la dernière image. Solide.
Un film qui fait des étincelles, où l'on ne s'ennuie jamais et avec lequel on occupe délicieusement une soirée. Et l'association des deux acteurs crée une alchimie particulière.
Et Joan Blondell me plait de plus en plus. Comme dans The perfect specimen aux côtés d'Errol Flynn, elle était à la hauteur lorsque les premiers rôles se présentaient.
- Jeremy Fox
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Re: James Cagney (1899-1986)
Chronique de Les Cadets de West Point de Roy del Ruth et le test du DVD.