James Cagney (1899-1986)
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Re: James Cagney (1899-1986)
Je suis ravie qu'il t'ait plu
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Re: James Cagney (1899-1986)
Taxi! (Roy Del Ruth - 1932)
Les Taxis indépendants, menés par Matt Nolan (James Cagney) organise leur résistance contre la volonté d'hégémonie d'une compagnie aux usages mafieux.
Nous sommes ici devant un sujet typique du cinéma Warner des 30. Une organisation mafieuse qui oppresse les individus et la volonté de mettre un terme à ce mal. On se place du côté des oppressés, représentés par James Cagney, qui rencontrera dans sa lutte la fille d'un autre conducteur mort pour la cause, Sue Riley (Loretta Young). Le film dévie alors vers le couple Young/Cagney, et la psychologie du personnage de Cagney, toujours prêt à en découdre pour un oui ou pour un non, ce qui agace particulièrement Sue, qui ne peut toutefois pas s’empêcher de l'aimer.
Cette relation Loretta Young/James Cagney, c'est ce qui fonctionne le mieux dans Taxi!. L'alchimie entre les deux acteurs est évidente, l'énergie de Cagney allié au charme de Young font de vraies merveilles pour créer des personnages fort attachants. Car à côté de ça, il faut bien dire que le traitement de l'intrigue en elle même est moins réussi. On quitte rapidement l'intrigue initiale pur y revenir de temps à autre, sans qu'aucune tension de s'en dégage vraiment. L'écriture des personnages est réussi, celle de ce qui devait être l'arc narratif principal l'est beaucoup moins.
Toutefois l'ensemble est très positif, emballé dans une efficacité typique de la Warner, Taxi! diverti toujours. Mis en scène sans grande inspiration mais avec efficacité par Roy Del Ruth, il est un agréable écrin pour James Cagney et Loretta Young, qui sont à leur meilleur. En bref un moment agréable pour les fans de l'acteur et du cinéma de l'époque, mais un film qui paraitra anodin aux autres.
Frisco Kid (Emeutes, Lloyd Bacon - 1935)
1854. Bat Morgan (James Cagney) arrive à San Francisco. Après avoir échappé de peu à un enrôlement de force sur un bateau transatlantique, Bat tue le caïd local et commence son ascension dans la "Barbary Coast" pour gagner le cœur de Jean Barrat (Margaret Lindsay)
Cette fois, sujet bien plus atypique. Frisco Kid est une reconstitution historique, située par quelques cartons introductifs dans le San Francisco naissant, gangrené par son quartier sombre, la "Barbary Coast". Mais en y regardant à deux fois, on retrouve les ingrédients qui intéressait la Warner: la criminalité, l'ascension du héros, l'opposition social entre deux classes, le tout transposés dans une autre ville et une autre époque. Et c'est une grande réussite. L'histoire est d'une formidable densité. Le destin de Bat Morgan, sa relation avec Jean, la naissance d'une cité, une réflexion sur la justice et notamment sur le "vigilantisme" menée avec une grande finesse, le scenario de Frisco Kid fait preuve d'une grande ambition et atteint ses objectifs. On le doit à Warren Duff (qui s'illustrera au scénario des Anges aux Figures Sales ou de A Chaque Aube je Meurs) et à Seton I. Miller (qui travailla sur Scarface, sur Robin des bois, ou plus tard sur Espion sur la Tamise entre autres) qui condensent brillamment la narration - 77 min - sans jamais lui faire perdre son caractère épique, ni négliger le contexte historique ou la construction d'une galerie de second rôles savoureux.
Frisco Kid brille également par son esthétique qui offre une atmosphère quasi expressionniste. On doit la photographie à Sol Polito (Five Star Final, Je suis un évadé, Les Anges aux Figures Sales, Ville Conquise, ...), ceci expliquant cela. Dans de remarquables décors (John Hughes - CV long comme mon bras), Bacon réussit de très belles choses, notamment de sublimes plans de foule dans la dernière partie du film.
Cette efficacité et cette ampleur dans les sujets traités sur un format si cours me fait penser, osons la comparaison, aux meilleurs réussites de Budd Boettciher (et notamment au Traitre du Texas pour le côté "montée et chute" d'un homme). Et sur un sujet si brillant, James Cagney brille de mille feu, très à l'aise dans ce genre de rôle, tout à fait à sa place dans l'époque, et servi par un dialogue efficace. Une brillante réussite, qui vaudra plusieurs revisions pour la richesse de son sujet.
Les Taxis indépendants, menés par Matt Nolan (James Cagney) organise leur résistance contre la volonté d'hégémonie d'une compagnie aux usages mafieux.
Nous sommes ici devant un sujet typique du cinéma Warner des 30. Une organisation mafieuse qui oppresse les individus et la volonté de mettre un terme à ce mal. On se place du côté des oppressés, représentés par James Cagney, qui rencontrera dans sa lutte la fille d'un autre conducteur mort pour la cause, Sue Riley (Loretta Young). Le film dévie alors vers le couple Young/Cagney, et la psychologie du personnage de Cagney, toujours prêt à en découdre pour un oui ou pour un non, ce qui agace particulièrement Sue, qui ne peut toutefois pas s’empêcher de l'aimer.
Cette relation Loretta Young/James Cagney, c'est ce qui fonctionne le mieux dans Taxi!. L'alchimie entre les deux acteurs est évidente, l'énergie de Cagney allié au charme de Young font de vraies merveilles pour créer des personnages fort attachants. Car à côté de ça, il faut bien dire que le traitement de l'intrigue en elle même est moins réussi. On quitte rapidement l'intrigue initiale pur y revenir de temps à autre, sans qu'aucune tension de s'en dégage vraiment. L'écriture des personnages est réussi, celle de ce qui devait être l'arc narratif principal l'est beaucoup moins.
Toutefois l'ensemble est très positif, emballé dans une efficacité typique de la Warner, Taxi! diverti toujours. Mis en scène sans grande inspiration mais avec efficacité par Roy Del Ruth, il est un agréable écrin pour James Cagney et Loretta Young, qui sont à leur meilleur. En bref un moment agréable pour les fans de l'acteur et du cinéma de l'époque, mais un film qui paraitra anodin aux autres.
Frisco Kid (Emeutes, Lloyd Bacon - 1935)
1854. Bat Morgan (James Cagney) arrive à San Francisco. Après avoir échappé de peu à un enrôlement de force sur un bateau transatlantique, Bat tue le caïd local et commence son ascension dans la "Barbary Coast" pour gagner le cœur de Jean Barrat (Margaret Lindsay)
Cette fois, sujet bien plus atypique. Frisco Kid est une reconstitution historique, située par quelques cartons introductifs dans le San Francisco naissant, gangrené par son quartier sombre, la "Barbary Coast". Mais en y regardant à deux fois, on retrouve les ingrédients qui intéressait la Warner: la criminalité, l'ascension du héros, l'opposition social entre deux classes, le tout transposés dans une autre ville et une autre époque. Et c'est une grande réussite. L'histoire est d'une formidable densité. Le destin de Bat Morgan, sa relation avec Jean, la naissance d'une cité, une réflexion sur la justice et notamment sur le "vigilantisme" menée avec une grande finesse, le scenario de Frisco Kid fait preuve d'une grande ambition et atteint ses objectifs. On le doit à Warren Duff (qui s'illustrera au scénario des Anges aux Figures Sales ou de A Chaque Aube je Meurs) et à Seton I. Miller (qui travailla sur Scarface, sur Robin des bois, ou plus tard sur Espion sur la Tamise entre autres) qui condensent brillamment la narration - 77 min - sans jamais lui faire perdre son caractère épique, ni négliger le contexte historique ou la construction d'une galerie de second rôles savoureux.
Frisco Kid brille également par son esthétique qui offre une atmosphère quasi expressionniste. On doit la photographie à Sol Polito (Five Star Final, Je suis un évadé, Les Anges aux Figures Sales, Ville Conquise, ...), ceci expliquant cela. Dans de remarquables décors (John Hughes - CV long comme mon bras), Bacon réussit de très belles choses, notamment de sublimes plans de foule dans la dernière partie du film.
Cette efficacité et cette ampleur dans les sujets traités sur un format si cours me fait penser, osons la comparaison, aux meilleurs réussites de Budd Boettciher (et notamment au Traitre du Texas pour le côté "montée et chute" d'un homme). Et sur un sujet si brillant, James Cagney brille de mille feu, très à l'aise dans ce genre de rôle, tout à fait à sa place dans l'époque, et servi par un dialogue efficace. Une brillante réussite, qui vaudra plusieurs revisions pour la richesse de son sujet.
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Re: James Cagney (1899-1986)
L'enfer est à lui (White Heat) - Raoul Walsh (1949)
Responsable de la mort de quatre personnes et du vol d'une importante somme d'argent lors de l'attaque d'un train, Cody Jarrett décide de se livrer à la police pour un autre hold-up afin de diminuer sa peine. Mais Hank Fallon, un inspecteur de police, est envoyé dans le pénitencier où Cody est incarcéré afin de lui soutirer ses aveux.
Quel film ! D'une grande intensité dramatique et dirigé d'une main de maitre par Raoul Walsh, il nous amène crescendo à un final dantesque. La mise en scène est nerveuse, sans temps mort, bénéficiant d'un rythme soutenu et haletant, ne laissant aucun répit aux protagonistes ainsi qu'aux spectateurs.
James Cagney est génial en gangster cynique, cruel, imprévisible, halluciné, touchant dans sa relation avec sa mère, d'où l'impression qu'il est à la fois un bourreau et une victime. J'allais oublier les performances de Edmond O'Brien et de Virginia Mayo très convaincants.
Je suis définitivement conquise par James Cagney.
James Cagney est génial en gangster cynique, cruel, imprévisible, halluciné, touchant dans sa relation avec sa mère, d'où l'impression qu'il est à la fois un bourreau et une victime. J'allais oublier les performances de Edmond O'Brien et de Virginia Mayo très convaincants.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Quiconque a vu ce film ne peut que l'être... Plus je découvre ses films, plus je suis impressionné par cette capacité à incarner, à faire ressentir, à être, à jouer finalement chacun de ses personnages et bien davantage à sublimer leurs émotions lorsque c'est nécessaire. Dernier exemple en date pour ma part: le début de Feu sur le gang de Gordon Douglas, en deux courtes scènes (James cagney enchaînant les verres au bar puis sortant titubant), il nous fait ressentir toute la détresse de l'accro à l'alcool et son autodestruction... Une pure merveille d'interprétation condenseé en 3mn, qui donne à mon sens à ce film sans prétention une dimension tout autre, rien que pour cette scène... Un monstre de comédie comme il est rare d'en rencontrer, surtout quand il rencontre un brillant metteur en scène tel Walsh!Flavia a écrit : James Cagney est génial en gangster cynique, cruel, imprévisible, halluciné, touchant dans sa relation avec sa mère, d'où l'impression qu'il est à la fois un bourreau et une victime. J'allais oublier les performances de Edmond O'Brien et de Virginia Mayo très convaincants.
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Re: James Cagney (1899-1986)
City for Conquest (Ville conquise) - Anatole Litvak (1940)
En 1936 à New-York, Danny Kenny travaille comme livreur et lutte pour sortir de la misère et réaliser son rêve : devenir boxeur professionnel. Il est amoureux de Peggy Nash, qui souhaite ardemment faire une carrière de danseuse.
En 1936 à New-York, Danny Kenny travaille comme livreur et lutte pour sortir de la misère et réaliser son rêve : devenir boxeur professionnel. Il est amoureux de Peggy Nash, qui souhaite ardemment faire une carrière de danseuse.
Anatole Litvak livre un superbe mélodrame déchirant, poignant, humain et accentué par une très belle musique tout le long du film. James Cagney, une nouvelle fois, est remarquable, sa partenaire l'adorable Ann Sheridan est très émouvante, attachante, et l'on ressent une parfaite alchimie entre eux. Quant à Arthur Kennedy, par un jeu sobre et toute en retenue, il est vraiment crédible dans le rôle du frère musicien.
City for Conquest nous délivre des scènes fortes, comme le combat de boxe où tout va basculer pour Dany ainsi qu'au Carnegie Hall, pur moment d'émotion.
Après White Heat, je suis de nouveau bluffée par James Cagney époustouflant, cet acteur m'impressionne de plus en plus : seul regret c'est de ne pas avoir découvert plus tôt ses films, mais je me rattrape !
City for Conquest nous délivre des scènes fortes, comme le combat de boxe où tout va basculer pour Dany ainsi qu'au Carnegie Hall, pur moment d'émotion.
Après White Heat, je suis de nouveau bluffée par James Cagney époustouflant, cet acteur m'impressionne de plus en plus : seul regret c'est de ne pas avoir découvert plus tôt ses films, mais je me rattrape !
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Re: James Cagney (1899-1986)
Man of a Thousand Faces de Joseph Pevney :
Voilà le genre de bios typiques comme Hollywood était capable d'en faire de temps en temps : c'est-à-dire totalement académique et superficielle.
Cagney y est comme d'habitude très bon, mais il est trop âgé pour le rôle, en plus de ne pas du tout ressembler à Chaney. Quant à Dorothy Malone, elle est très jolie, ça oui...mais alors qu'est-ce qu'elle joue mal.
Cet immense comédien qu'était Lon Chaney méritait bien mieux que ce film empesé et sans âme, dont le sujet pourtant richissime n'est jamais vraiment traité (Tod Browning, par exemple, n'est carrément pas présent), et qui n'est surtout pas aidé par une mise en scène ultra statique.
4/10
Voilà le genre de bios typiques comme Hollywood était capable d'en faire de temps en temps : c'est-à-dire totalement académique et superficielle.
Cagney y est comme d'habitude très bon, mais il est trop âgé pour le rôle, en plus de ne pas du tout ressembler à Chaney. Quant à Dorothy Malone, elle est très jolie, ça oui...mais alors qu'est-ce qu'elle joue mal.
Cet immense comédien qu'était Lon Chaney méritait bien mieux que ce film empesé et sans âme, dont le sujet pourtant richissime n'est jamais vraiment traité (Tod Browning, par exemple, n'est carrément pas présent), et qui n'est surtout pas aidé par une mise en scène ultra statique.
4/10
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Re: James Cagney (1899-1986)
La première contrainte est que le film n'est pas issu des studios MGM ce qui l'empêche de pouvoir utiliser toutes les ressources nécessaires pour aborder la carrière de l'acteur et celle de Browning ce qui est quand même dommage.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Dans ce cas-là, ils auraient effectivement mieux fait de s'abstenir.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Julien Léonard a écrit :Picture snatcher - Réalisé par Lloyd Bacon / 1933 :
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Pas mieux. Un très bon pré-code et un nouveau très bon film signé Lloyd Bacon (avec Footlight Parade et 42nd Street la même année, on pouvait dire que c'était tout sauf un tâcheron) .Et Alice White en nymphomane "trop vigoureuse pour ne se contenter que d'un seul homme" n'est pas mal non plus
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Re: James Cagney (1899-1986)
"Made it ma, top of the world"
Un de mes acteurs préférés, la scène de L'Enfer Est A Lui dans laquelle il apprend la mort de sa mère est la quintessence de son talent.
Un de mes acteurs préférés, la scène de L'Enfer Est A Lui dans laquelle il apprend la mort de sa mère est la quintessence de son talent.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Je ne le connais que de réputation (assez médiocre) mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de biopics des années 30-40 à garder en mémoire. C'est souvent super tartignole. Entre James Stewart en Glen Miller et Paul Muni (sans doute l'acteur le plus abonné au genre) en Pasteur, Zola ou Juarez en passant par Jennifer Jones en Bernadette Scoubidou...Ratatouille a écrit :Man of a Thousand Faces de Joseph Pevney :
Voilà le genre de bios typiques comme Hollywood était capable d'en faire de temps en temps : c'est-à-dire totalement académique et superficielle.
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Re: James Cagney (1899-1986)
Cela dit James Stewart en Glenn Miller et Mann à la manette, ça donne un excellent divertissement.Federico a écrit :Je ne le connais que de réputation (assez médiocre) mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de biopics des années 30-40 à garder en mémoire. C'est souvent super tartignole. Entre James Stewart en Glen Miller et Paul Muni (sans doute l'acteur le plus abonné au genre) en Pasteur, Zola ou Juarez en passant par Jennifer Jones en Bernadette Scoubidou...Ratatouille a écrit :Man of a Thousand Faces de Joseph Pevney :
Voilà le genre de bios typiques comme Hollywood était capable d'en faire de temps en temps : c'est-à-dire totalement académique et superficielle.
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Re: James Cagney (1899-1986)
onvaalapub a écrit : Cela dit James Stewart en Glenn Miller et Mann à la manette, ça donne un excellent divertissement.
Un superbe fillm même. De même que le Chant de Bernadette
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Re: James Cagney (1899-1986)
Federico a écrit :Je ne le connais que de réputation (assez médiocre) mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de biopics des années 30-40 à garder en mémoire. C'est souvent super tartignole. Entre James Stewart en Glen Miller et Paul Muni (sans doute l'acteur le plus abonné au genre) en Pasteur, Zola ou Juarez en passant par Jennifer Jones en Bernadette Scoubidou...Ratatouille a écrit :Man of a Thousand Faces de Joseph Pevney :
Voilà le genre de bios typiques comme Hollywood était capable d'en faire de temps en temps : c'est-à-dire totalement académique et superficielle.
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Au contraire de vous, ce biopic sur Lon Chaney n'est pas dénué d’intérêt, et puis le comédien est une fois de plus formidable.
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Re: James Cagney (1899-1986)
bogart a écrit :Federico a écrit : Je ne le connais que de réputation (assez médiocre) mais c'est vrai qu'il n'y a pas beaucoup de biopics des années 30-40 à garder en mémoire. C'est souvent super tartignole. Entre James Stewart en Glen Miller et Paul Muni (sans doute l'acteur le plus abonné au genre) en Pasteur, Zola ou Juarez en passant par Jennifer Jones en Bernadette Scoubidou...
Au contraire de vous, ce biopic sur Lon Chaney n'est pas dénué d’intérêt, et puis le comédien est une fois de plus formidable.
Immense ennui pour ma part