Johnny Guitar (Nicholas Ray - 1954)
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Je fais parti de ceux qui ont du mal avec ce film, sans vraiment réussir à expliquer pourquoi. Comme l'étranger j'ai l'impression de lui avoir donné plusieurs chances et je pense que je recommencerai, mais pour l'instant je ne peux pas dire que ce soit l'un de mes westerns préférés.
Nutella tu n'es plus seul au monde.
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Heu, moi, je fais parti de ceux qui apprécient Johnny Guitar .Captain Blood a écrit :Je fais parti de ceux qui ont du mal avec ce film, sans vraiment réussir à expliquer pourquoi. Comme l'étranger j'ai l'impression de lui avoir donné plusieurs chances et je pense que je recommencerai, mais pour l'instant je ne peux pas dire que ce soit l'un de mes westerns préférés.
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Il est vrai que j'avais des a priori avant sa vision (couleurs surexposées, une héroïne en personnage principal dans un western, décors de studios, etc...) mais non, j'ai vraiment aimé ce film à sa première vision!
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Pardon l'étranger, je me suis trompé c'est Nutella qui a du mal et a donné plusieurs chances comme moi à ce film.L'être-ange G a écrit : Heu, moi, je fais parti de ceux qui apprécient Johnny Guitar .
Il est vrai que j'avais des a priori avant sa vision (couleurs surexposées, une héroïne en personnage principal dans un western, décors de studios, etc...) mais non, j'ai vraiment aimé ce film à sa première vision!
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Y a pas d'mal Captain!Captain Blood a écrit :Pardon l'étranger, je me suis trompé c'est Nutella qui a du mal et a donné plusieurs chances comme moi à ce film.L'être-ange G a écrit : Heu, moi, je fais parti de ceux qui apprécient Johnny Guitar .
Il est vrai que j'avais des a priori avant sa vision (couleurs surexposées, une héroïne en personnage principal dans un western, décors de studios, etc...) mais non, j'ai vraiment aimé ce film à sa première vision!
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Johnny Guitar (1954), de Nicholas Ray.
Heureuse découverte que celle de ce western pour le moins surprenant, où ce sont les femmes qui commandent. Bel exemple de féminisme avant l'heure ! Remarquables interprétations (Joannie m'a bluffé), faisant bien sentir toutes les tensions sexuelles et tous les non-dits contenus dans ce film. Magnifique utilisation symbolique de la couleur et superbe mise en scène de Ray.
Heureuse découverte que celle de ce western pour le moins surprenant, où ce sont les femmes qui commandent. Bel exemple de féminisme avant l'heure ! Remarquables interprétations (Joannie m'a bluffé), faisant bien sentir toutes les tensions sexuelles et tous les non-dits contenus dans ce film. Magnifique utilisation symbolique de la couleur et superbe mise en scène de Ray.
L'hyperréalisme à la Kechiche, ce n'est pas du tout mon truc. Alain Guiraudie
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C'est ce que je viens de me dire, après l'avoir découvert.Captain Blood a écrit :Je fais parti de ceux qui ont du mal avec ce film, sans vraiment réussir à expliquer pourquoi.
C'est très très beau (Joan Crawford au piano...), mais le film ne dégage que peu de surprises, je ne dirais pas que le film m'a déçu, loin de là, mais bon, peut-être qu'il m'est passé par-dessus...
Pourtant, l'interprétation est très bonne, surtout Joan Crawford, dans un rôle de forte tête (ce qui est rare, je pense, dans le Western US).
(Par contre, il est indiqué que Dennis Hopper joue dans le film ; à quel moment ?)
Un film comme L'homme qui tua Liberty Valance était bien plus tragique et émouvant que ce que Ray veut nous montrer, mais en l'état, on passe quand même un bon moment.
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Pourquoi comparer ces deux films qui, outre le fait d'être tous deux des westerns, n'ont pas grand chose à voir ni dans le style, ni dans le ton ni dans leurs "thématiques" ?Boubakar a écrit : Un film comme L'homme qui tua Liberty Valance était bien plus tragique et émouvant que ce que Ray veut nous montrer
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Je ne sais pas, peut-être dans la manière dont l'imminent arrive...Jeremy Fox a écrit :Pourquoi comparer ces deux films qui, outre le fait d'être tous deux des westerns, n'ont pas grand chose à voir ni dans le style, ni dans le ton ni dans leurs "thématiques" ?Boubakar a écrit : Un film comme L'homme qui tua Liberty Valance était bien plus tragique et émouvant que ce que Ray veut nous montrer
Bon, j'arrive mal à l'exprimer, mais j'ai beaucoup pensé au film de Ford en voyant celui-là.
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C'est quand l'imminent n'arrive pas qu'il faut s'inquiéter...Boubakar a écrit :peut-êre dans la manière dont l'imminent arrive...
Ceci dit, l'imminent a l'avantage de rester imminent jusqu'à ce qu'il arrive (il l'est même de plus en plus dans les derniers instants). Alors qu'un retardataire, par exemple, et même un éminent, est au fur et à mesure de moins en moins en retard, et même plus du tout une fois qu'il est arrivé.
A l'aéroport, une fois, on m'a annoncé du retard imminent sur un avion. Ce qui fait que quand il est arrivé, je n'ai pas été surpris qu'il n'arrive pas. J'ai trouvé ça minant, c'est sûr, mais c'est toujours mieux qu'un retard annoncé une fois le vol arrivé, car une fois l'imminent révolu, l'avion avait fui.
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