Je l'ai vu deux fois ce Satyricon et je n'ai jamais été transcendé, cependant si je l'aime bien quand même (un peu, sans plus) c'est précisément pour cette fascination du "grotesque", de l'excès (bref, ce qui déplait à Demi Lune), que l'on retrouvera en effet dans des films comme Santa Sangre et plus encore chez le disciple pornocrate Tinto Brass, notamment dans son Caligula ou son Salon Kitty.
Mais je ne suis pas client du génie Fellini
