Anthony Perkins (1932-1992)

[bogart]

Acteur et réalisateur américain (1932-1992)



Anthony Perkins à ses débuts tourna plusieurs films avec des stars, notamment, Gary Cooper dans La loi du seigneur, 1956 (William Wyler), Henry Fonda dans Du sang dans le désert, 1957 (Anthony Mann), Grégory Peck et Ava Gardner dans Le Dernier rivage, 1959 (Stanley Kramer)etc..
Sa rencontre avec le maître du suspense Alfred Hitchcock va révéler un acteur ambigu, hallucinant dans le rôle de Norman Bates dans Psychose, 1960.
Norman bates qu'il rejouera 3 autres fois :
Psychose 2 Richard Franklin, 1983
Psychose 3 d'Anthony Perkins, 1987
Psychose 4 Téléfilm

En dehors de ce personnage, il apparaît dans des films Européens Goodbye again, Anatole Litvak) Aimez-vous Brahms, 1961 aux côtés d'Ingrid Bergman et Yves Montand.
Une ravissante idiote (Edouard Molinaro, 1963) avec notre B.B
Le Procès (Orson Welles, 1962)



Vos commentaires sur ce comédien

[Star Maker]

Son faciès parcouru d'un rictus de démence qu'Alfred Hitchcock a choisi pour clore son Psychose demeurera sans doute l'un des images fortes de l'histoire du cinéma.

[james]

Un acteur qui ne m'as jamais attirez,je le trouve très fade et je m'y suis jamais interressé,seul psychose sort du lot mais bon....

[mifune]

Il y a le personnage du fou dans la Soif du mal de Welles (vivant dans un hotel si je me souviens bien) qui fait étrangement pensé au personnage de Perkins dans Psychose.
Sinon Anthony Perkins c'est l'acteur qui a eu la malédiction d'un rôle sur ses frêles épaules. Difficile de se défaire de celui de psychose.

[bogart]

Je ne suis pas d'accord avec ta définition "fade" concernant ce comédien dont le visage d'adolescent évoqua sous la direction des plus grands quelques rôles mémorables, sans citer Psychose qui devait le marquer jusqu'à la fin de sa vie.

Autres films :

Catch 22 (Id., Mike Nichols, 1969)
Quelqu'un derrière la porte (Nicolas Gessner, 1971)
Juge et Hors-la-loi (The life and times of juges Roy Bean, John Huston, 1972)
Les jours et Les nuits de China Blue (Crimes of passion, Ken Russell, 1984)

[Flol]

Extraordinaire dans Psycho.
Et tout aussi ambigü dans les 2 suites (je n'ai pas vu le 4ème).

Pour le reste, j'avoue ne pas avoir vu quantité de films avec lui. Mais comme l'a dit je ne sais plus qui, je pense qu'il a eu le "malheur" d'être identifié très tôt à ce personnage cultissime de Norman Bates et qu'il n'a jamais vraiment réussi à s'en débarasser.

[james]

Je ne suis pas d'accord avec ta définition "fade" concernant ce comédien dont le visage d'adolescent évoqua sous la direction des plus grands quelques rôles mémorables, sans citer Psychose qui devait le marquer jusqu'à la fin de sa vie.

Autres films :

Catch 22 (Id., Mike Nichols, 1969)
Quelqu'un derrière la porte (Nicolas Gessner, 1971)
Juge et Hors-la-loi (The life and times of juges Roy Bean, John Huston, 1972)
Les jours et Les nuits de China Blue (Crimes of passion, Ken Russell, 1984)

C'est bien sur ta facon de voire les choses le concernant moi je maintiens mes dires,c'est beau la liberté de pensée,mais je respecte ton choix

[bogart]

Je ne suis pas d'accord avec ta définition "fade" concernant ce comédien dont le visage d'adolescent évoqua sous la direction des plus grands quelques rôles mémorables, sans citer Psychose qui devait le marquer jusqu'à la fin de sa vie.

Autres films :

Catch 22 (Id., Mike Nichols, 1969)
Quelqu'un derrière la porte (Nicolas Gessner, 1971)
Juge et Hors-la-loi (The life and times of juges Roy Bean, John Huston, 1972)
Les jours et Les nuits de China Blue (Crimes of passion, Ken Russell, 1984)

C'est bien sur ta facon de voire les choses le concernant moi je maintiens mes dires,c'est beau la liberté de pensée,mais je respecte ton choix

Sans être d'accord avec toi, je respecte également ton avis sur ce comédien

[james]

C'est bien sur ta facon de voire les choses le concernant moi je maintiens mes dires,c'est beau la liberté de pensée,mais je respecte ton choix

Sans être d'accord avec toi, je respecte également ton avis sur ce comédien

[Frank Bannister]

je n'ai vu pour le moment que trois films avec Anthony Perkins: PSYCHOSE, PARIS BRULE-T-IL? et LE TROU NOIR

[mifune]

Il n'aurait pas réalisé un des psychoses (le 3 ou le 4 ?). Comme vous le faites remarquez Perkins est plus un acteur de rôle bien défini qu'il hante par sa silhouette assez fisgracieuses et son visage inquiet. Ce qui est au final très utile pour représenter l'angoisse comme dans psychose ou représenter le frêle insecte écrasé par la loi (et la société...) dans le Procès. Un acteur physique donc (hum j'ai trouvé une photo de lui torse nu digne de Baywatch mais je vous épargnerais ça bien que ça sierrais bien à son coté "physique).

[phylute]

Il n'aurait pas réalisé un des psychoses (le 3 ou le 4 ?).

Le trois oui...
mais on ne va pas le dire trop fort pour ne pas salir sa mémoire

[bogart]

Il n'aurait pas réalisé un des psychoses (le 3 ou le 4 ?). Comme vous le faites remarquez Perkins est plus un acteur de rôle bien défini qu'il hante par sa silhouette assez fisgracieuses et son visage inquiet. Ce qui est au final très utile pour représenter l'angoisse comme dans psychose ou représenter le frêle insecte écrasé par la loi (et la société...) dans le Procès. Un acteur physique donc (hum j'ai trouvé une photo de lui torse nu digne de Baywatch mais je vous épargnerais ça bien que ça sierrais bien à son coté "physique).

Anthony Perkins réalisa Psychose 3, je le précisais dans son portrait.

[Lord Henry]

Il fut la vedette d'un excellent thriller réalisé par Curtis Harrington pour la télévision, How Awful About Allan.

Egaré et réduit à sa propre caricature chez Chabrol, notamment dans l'impardonnable Décade Prodigieuse.

[mifune]

Egaré et réduit à sa propre caricature chez Chabrol, notamment dans l'impardonnable Décade Prodigieuse.

Tu l'as vu ?
Non c'est pour savoir si des copies circulaient toujours ou si la nullité de certains Chabrol comme celui-ci n'étaient que légende (ou vérité...) propagée par les cinéphiles et par le réal' lui-même d'ailleurs