Le Virginien (1962-1971) Universal

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Jeremy Fox
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

6ème épisode vu à l'instant avec le génial Aldo Ray. Cette fois c'est certain ; vous pouvez compter sur moi pour aller jusqu'au bout des 225 épisodes 8)
O'Malley
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Re: Le Virginien

Message par O'Malley »

Jeremy Fox a écrit :6ème épisode vu à l'instant avec le génial Aldo Ray. Cette fois c'est certain ; vous pouvez compter sur moi pour aller jusqu'au bout des 225 épisodes 8)
Pas sûr que la qualité tienne la longueur... En tout cas, que l'inspiration soit renouvelée sur autant de saisons avec une durée d'épisode qui équivaut à chaque fois à un long métrage (court), ce serait une vraie prouesse.

Une série dont je finirai par jeter un coup d'oeil.
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Jeremy Fox
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

O'Malley a écrit :
Jeremy Fox a écrit :6ème épisode vu à l'instant avec le génial Aldo Ray. Cette fois c'est certain ; vous pouvez compter sur moi pour aller jusqu'au bout des 225 épisodes 8)
Pas sûr que la qualité tienne la longueur... En tout cas, que l'inspiration soit renouvelée sur autant de saisons avec une durée d'épisode qui équivaut à chaque fois à un long métrage (court), ce serait une vraie prouesse.

.
Et pourtant, c'est ce que j'ai cru comprendre en lisant des avis ici et là. Tout du moins en ce qui concerne les 5 premières saisons ; ce qui correspond déjà à pas mal d'heures de visionnage.
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Alexandre Angel
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Re: Le Virginien

Message par Alexandre Angel »

Bon, on va déjà commencer par le premier coffret (achat imminent). Jeremy, le monde est suspendu à ton clavier d'explorateur :wink:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Jeremy Fox
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

Alexandre Angel a écrit :Bon, on va déjà commencer par le premier coffret (achat imminent). Jeremy, le monde est suspendu à ton clavier d'explorateur :wink:
En même temps, c'est toi qui le premier m'a donné cette envie avec ce que tu avais fait sur Les Mystères de l'Ouest :wink:
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tindersticks
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Re: Le Virginien

Message par tindersticks »

Alexandre Angel a écrit :Bon, on va déjà commencer par le premier coffret (achat imminent). Jeremy, le monde est suspendu à ton clavier d'explorateur :wink:
Ils pourraient baisser un peu le prix........
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Jeremy Fox
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

tindersticks a écrit :
Alexandre Angel a écrit :Bon, on va déjà commencer par le premier coffret (achat imminent). Jeremy, le monde est suspendu à ton clavier d'explorateur :wink:
Ils pourraient baisser un peu le prix........
La première saison intégrale était tombée à 39 euros la semaine dernière, ce qui me semble encore tout à fait raisonnable au vu du nombre d'heures (plus de 34 heures)
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Alexandre Angel
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Re: Le Virginien

Message par Alexandre Angel »

Jeremy Fox a écrit : En même temps, c'est toi qui le premier m'a donné cette envie avec ce que tu avais fait sur Les Mystères de l'Ouest
Je dégraissais, dans ce cas, mes souvenirs et je ne découvrais rien. Toi, tu défriches : c'est beau :mrgreen:
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Lockwood
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Re: Le Virginien

Message par Lockwood »

Petit retour du coffret saison 1 - partie 3 (1X20 à 1x30)

Comme indiqué précédemment, je trouve également cette série plutôt plaisante. Les aléas des coffrets d'occasions étant, j'ai du me résoudre à commencer par la 3ème partie de la saison 1. Comme chaque épisode développe des histoires indépendantes, parfois en utilisant très parcimonieusement les personnages principaux de la série, cela ne m'a pas spécialement dérangé.

Le coffret commence par l'épisode "The Small Parade" (1x21), qui m'a rapidement mis dans de bonnes dispositions. Principale originalité de l'épisode, les personnages brossés sont plutôt inhabituels pour un western - un prêcheur, joué par David Wayne qui souhaite convertir les cow-boys au végétarisme, une jeune femme seule qui a recueilli 8 enfants et envisage de les abandonner, faute de moyens, à l'orphelinat - les références à Oliver Twist sont légion dans cette épisode. Passé ce constat, la trame criminelle est des plus classiques et le déroulement de l'histoire très prévisible.. Trampas, Steve et le Virginien se retrouve dans la position de devoir s'occuper de toute la marmaille et ces moments offrent quelques moments touchants, sans niaiserie aucune. On voit finalement assez peu David Wayne, qui se retrouve totalement à contre-emploi de son rôle de tueur d'enfants dans le "M" de Losey.

"Vengeance is the Spur" (1x22) est un épisode plus dramatique, une histoire de vengeance bien construite, avec une très belle performance de Nina Foch. L'autre guest star de l'épisode n'est autre que Michael Rennie qui tient correctement son rôle, malgré quelques accents de fougue qui m'ont fait un peu sourire.

"The Money Cage" (1x23) est une histoire d'arnaque dans lequel les personnages habituels de la série jouent un rôle très accessoire (on y voit un peu Lee J. Cobb, Trampas et Steve ne sont juste là que pour se faire entourlouper à deux reprises). Le scénario est construit bizarrement en 2 parties, la 2nde se concentrant sur le "money cage" en question. De ce côté là, le scénario est habile mais sans surprise avec un dénouement très attendu.. Mais la galerie d'arnaqueurs est sympathique et l'ensemble se suit bien.

"The Golden Door" (1x24) est un épisode visiblement très apprécié des fans. En traitant du procès pour meurtre d'un immigré méfiant et en premier lieu antipathique, l’épisode explore les originalités de la justice américaine. Il permet également à Lee J.Cobb d'endosser le rôle de l'avocat déterminé à innocenter son client. J'ai été tout d'abord peu convaincu par le procedural mais l'épisode contient son lot de surprise et son final ne déçoit pas. Il est également servi par une belle brochette de guest star - Karl Boehm(dont j'ai pu constater que la voix ressemblait beaucoup à celle de mon avatar) et un pas encore dégarni Robert Duvall, en jeune élément perturbateur.

De nouveau une belle palanquée de guest stars sur "A Distant Fury" (1x25) avec Howard Duff et Ida Lupino, dans cet épisode qui met du temps à se dévoiler mais se révèle au final plutôt interessant.

"Echo of Another Day" (1x26) est un épisode apparemment mésestimé, certains reprochant le scénario un peu court et le remplissage un peu trop voyant. En ce qui me concerne, c'est un de mes épisodes préféré avec le meilleur méchant que j'ai vu jusqu'à présent dans cette série, celui-ci étant servi par un John Dehner inquiétant et sarcastique à souhait. Les joutes entre celui-ci et l'autre guest star du jour, Bradford Dillman sont très agréables et le scénario est certes linéaire, mais fait la part belle à l'ensemble des personnages (y compris Trampas, régulier de la série mis en avant sur cet épisode). Et le final attendu ne déçoit pas. Bref, je suis bien curieux de savoir ce qu'en pensera Jeremy Fox..

Le siège du poste de diligence est une récurrence du western et il n'est pas étonnant de voir un épisode qui lui est consacré - "Strangers at Sundown" (1x27)
Particularité de cet épisode très balisé; l'objet du siège par une bande de malfrat est un des personnages coincé dans le poste intermédiaire.. Les protagonistes doivent se décider à livrer ou non l'individu embarrassant aux bandits, ce qui permet de révéler les forces et faiblesses de cette galerie de personnages. Lee J. Cobb se met en valeur et l'épisode permet de retrouver un de mes seconds couteaux de western préféré, Skip Homeier (mais celui-ci ne fait pas de prouesses sur cette épisode, il faut quand même l'avouer). Bref, cet épisode ne lésine pas sur l'action et se révèle plutôt plaisant.

"The Mountain of the Sun" (1x28) est un excellent épisode, très touchant et qui permet de remettre le Virginien au premier plan (ça faisait longtemps!), l'occasion pour James Drury pour apporter quelques nuances intéressantes à son personnage. Celui-ci se fait le guide de 3 femmes missionnaires, dans leur voyage périlleux en terre indienne. Mais je n'en dis pas plus pour ne gâcher le plaisir de cet épisode qui est un des sommets de cette fournée.. A noter que la troublante Dolores Hart jouait là son dernier rôle avant d'embrasser le même destin que son personnage (je vous invite à aller regarder sur sa page wikipédia pour ceux qui ne sauraient pas de quoi je parle).. En tout cas, cette trajectoire est très certainement une des plus curieuse que nous a offert la série...

"Run Away Home"(1x29) est un épisode léger de la série et les interactions entre le Virginien et Jeannine Riley, guest star de l'épisode, font merveille.
Le dernier épisode, "the final hour" (1x30) le plus dramatique de cette fournée, m'a relativement déçu. Il est question de l'installation d'une mine et de sa cohorte de travailleurs polonais. La xénophobie est au coeur de cet épisode, mais l'élément perturbateur de l'action (une jeune polonaise objet de multiples tentations) est peu convaincant, surtout lorsqu'elle aboutit sur une histoire d'amour ennuyeuse avec Trampas.

Bref, voilà pour cet avant-goût avant, je n'en doute pas, un CR détaillé de Jeremy Fox
Dernière modification par Lockwood le 9 mai 17, 20:51, modifié 2 fois.
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Jeremy Fox
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

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1.06 - Big Day, Great Day

Réalisation : Harmon Jones
Scénario : Charles Larson
Guest Star : Aldo Ray
Première diffusion le 24/10/1962 aux USA
DVD : VOSTF
Note : 7.5/10

Le Pitch : Le Juge Garth se rend à Casper récupérer un lit à baldaquin qu’il a fait venir d’Italie comme cadeau pour sa fille. Malheureusement un incendie a détruit l’entrepôt et le meuble a brulé ; il décide néanmoins de rester sur place en ce jour de fête nationale d’autant qu’il vient de retrouver un grand ami à lui, le catcheur Frank Krause (Aldo Ray), qui non seulement doit disputer aujourd’hui même un combat pour le titre mondial mais également convoler en juste noces avec une prostituée qu’il fréquente depuis maintenant 15 ans. Pendant ce temps là, Steve tombe amoureux d’une autre fille du saloon…

Mon avis : Après l’anxiogène et moralement violent The Brazen Bell, la série bifurque avec ce nouvel épisode vers plus de légèreté avec en prime énormément de chaleur humaine. Et comme nous l’avait déjà prouvé The Big Deal avec Ricardo Montalban, depuis le début de cette première saison la réussite est tout autant de la partie lorsqu’il s’agit de drame ou de comédie, surtout que la frontière entre les deux n’est jamais totalement définie, ici aussi des facettes plus sombres venant s’inviter au sein d’un scénario festif et pétillant. Cet excellent sixième épisode est réalisé par Harmon Jones, cinéaste assez méconnu qui aura signé durant les années 50 quelques westerns pour le cinéma –tous avec le sympathique Dale Robertson- avec pour sommet en 1956 l’excellent A Day of Fury (24 heures de terreur) à l’intrigue bien menée et aux dialogues de premier ordre, véritable feu d'artifice de punchlines que débitait le génial et trop méconnu Jock Mahoney. Auparavant Harmon Jones aura déjà réalisé trois ans plus tôt La Cité des tueurs (City of the Bad Men), film assez anodin au niveau de la mise en scène mais loin d'être désagréable, grâce surtout à des situations originales et inédites comme une intrigue se déroulant alors qu'un match de boxe important va avoir lieu, opposant James Corbett (le fameux Gentleman Jim interprété par Errol Flynn dans le chef-d’œuvre de Raoul Walsh) et Bob Fitzsimmons. Une proposition de départ intrigante que reprend en partie ce rythmé et succulent épisode de The Virginian.

En effet, alors que le juge Garth se rend dans la ville de Casper en ce 4 juillet, jour de la fête de l’indépendance, un combat de catch doit justement se dérouler pour le titre de champion du monde. L’un des deux adversaires, Frank, n’est autre qu’un de ses meilleurs amis qu’il avait perdu de vue depuis une dizaine d’années après lui avoir mis le pied à l’étrier dans le milieu sportif et même avoir commencé à l’entrainer -encore une révélation assez surprenante concernant le passé du juge- ; ils se retrouvent à cette occasion avec autant de surprise que de plaisir. Frank, c’est l’attachant Aldo Ray (hilarant dans Pat and Mike de George Cukor aux côtés du couple Spencer Tracy/Katharine Hepburn et inoubliable dans le méconnu et superbe Nightfall de Jacques Tourneur) qui forme ici avec Lee J. Cobb un duo absolument jubilatoire et dont l’alchimie fonctionne à merveille, aidant à la réussite de cet épisode sans thématique principale autre que l’amitié et ce que l’on peut-être capable de faire pour ne pas la briser même si c’est pour dévier de son éthique et fermer les yeux sur certains faits peu glorieux ; en l’occurrence ici un ‘drame’ à l’origine d’un petit suspense émotionnel que je me garderais bien de vous dévoiler. On constate des liens très profonds qui s’étaient tissés entre les deux hommes, tout autant que ceux qui existent entre les jeunes Steve et Trampas qui vont pourtant être mis eux aussi à rude épreuve au sein d’une sous intrigue romantique au final assez amère qui se greffe à l’histoire principale, les deux s’harmonisant parfaitement bien grâce à une écriture s’avérant une fois de plus d’une belle rigueur et d’une réjouissante vitalité avec notamment nombreuses situations cocasses et répliques amusantes qui n’empêchent cependant pas l’émotion de poindre.

Steve tombant amoureux de Maxine, une jeune prostituée qui lui rappelle sa fiancée défunte, il est prêt à l’épouser sur un coup de tête sans chercher à savoir si leur couple pourrait fonctionner : "I love you so much, Maxine, I'd turn into a toad frog if you wanted me to." Maxine tombe sous le charme de cette demande en mariage, la première en provenance d’un homme sobre. Trampas ayant compris que cette union serait vouée à l’échec –la fille qui aime s’amuser, le garçon imaginant une gentille épouse au foyer-, il va faire en sorte de leur ouvrir les yeux même s'il devra jouer au mufle pour y parvenir, quitte à risquer de briser l’amitié qu’il entretient avec Steve. Si la charmante Carolyn Kerney cabotine parfois un peu trop dans le rôle de la jeune fille émancipée, Rosemary Murphy tient la dragée haute à Lee J. Cobb et Aldo Ray dans le rôle de la truculente Pearl, la tenancière du saloon/bordel qui doit épouser ce jour le catcheur après 15 années de ‘fidélité’ sans qu’elle n’ait pour autant arrêtée de pratiquer le plus vieux métier du monde ; une situation assez amorale qui n’en est que plus réjouissante et qui rend le couple encore plus humainement touchant ! La comédienne est formidable et tout aussi attachante que son partenaire masculin. Parmi les autres ‘invités’, on notera Mickey Shaughnessy qui en fait des tonnes dans le rôle du rival sportif matamore d’Aldo Ray, Richard Shannon dans celui du shérif un peu jaloux de Frank pour avoir toujours eu lui aussi le béguin pour Pearl, ou encore Dennis Patrick dans celui du manageur véreux. Quant à James Drury, il n’apparait que le temps d’une minute au début de l’épisode. Sinon, au travers maints détails authentiques, on se rend compte encore plus que précédemment que l’époque à laquelle se déroule la série est la toute fin du 19ème siècle.

Enfin l'épisode n'est pas avare en notations assez cocasses ou rarement vus dans un western comme les voitures de pompiers tirées par des chevaux, les maillots de bain –vous n’aurez jamais vu Steve et Trampas aussi drôlement vêtus-, les appareils téléphoniques, les feux d’artifice… il nous amène même sur une plage de sable au bord d’un lac sillonné de canoës surmontés de parasols ! Pour les amateurs d’action, l’épisode nous propose également une bagarre dantesque très bien réalisée et toute à fait crédible dans les coups portés. Authenticité, grande vivacité de rythme et d'exécution, grande ferveur de sentiment et belle efficacité dans l'écriture… autant dire que ce Big Day, Great Day s’avère tout aussi chaleureux que captivant, tout aussi divertissant que dépaysant, pour tout dire, tout simplement délicieux ! Ce que l’on en retiendra enfin est la profonde lucidité de Trampas quant à son profond égoïsme –n’oublions pas que dans le roman il s’agissait d’un Bad Guy- lors de cette phrase qu’il prononce : "For the first time in my life I try to do something for a friend, not want anything for myself.



La même chose avec illustrations
John Doe
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Re: Le Virginien

Message par John Doe »

Bon, je crois que Jéremy aurait dû acheter des actions chez Elephant, je viens aussi de me prendre la saison 1 :D .
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

Si jamais tout le monde est déçu, un seul et même lynchage svp :oops: :mrgreen:
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Re: Le Virginien

Message par Jeremy Fox »

J'ai failli louper les avis de Lockwood ci-dessus. Merci à toi (je les relirais en découvrant les épisodes) ! Skip Homeier, John Dehner, Ida Lupino... Miam :)
Gentleman Jim
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Re: Le Virginien

Message par Gentleman Jim »

John Doe a écrit :Bon, je crois que Jéremy aurait dû acheter des actions chez Elephant, je viens aussi de me prendre la saison 1 :D .
Je viens également d'acheter la saison 1, j'ai hâte de la recevoir.
"Paging Mr Corbett"
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Lockwood
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Re: Le Virginien

Message par Lockwood »

J'ai commandé le reste de la saison 1, histoire de reprendre le fil par le bon bout...
En attendant, je suis en rade d'épisodes, donc j'ai commencé la saison 4 que j'ai chez moi..
Comme l'avait relevé Hellrick, le premier épisode est d'un excellent niveau.. une première partie portée sur l'action, plutôt prenante et une seconde, plus lente, introspective, fataliste qui est également très réussie.. Un épisode marquant, en somme.
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