Wall of Voodoo Fan a écrit :Cela me fait penser qu'il y avait un bug pénible dans les sous-titres du coffret édité par TF1. Parfois, au lieu des dialogues, on pouvait lire : démission !
Je n'ai pas vu de bug (sans doute parce que j'ai regardé la série en VF )
Pour moi, 'Le Prisonnier' c'est avant tout la voix de Jacques Thébault (et comme je regarde aussi en ce moment les Mystères de l'Ouest et Sherlock Holmes (version avec Jeremy Brett), je suis gâté).
La série est diffusée depuis dimanche sur NRJ12, je rattrape mon retard en la matière.
Le dimanche soir à 22h30, rediffusion le jeudi à minuit. 2 épisodes par semaine. En VF bien sûr. C'est dur d'attendre une semaine pour découvrir la suite, d'autant que je ne sais rien sur cette série.
Il vaut mieux d'ailleurs en savoir le moins possible sur la série pour mieux en apprécier toutes les trouvailles scénaristiques et les nombreux rebondissements de l'intrigue.
"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.
Vazymollo a écrit :d'autant que je ne sais rien sur cette série.
Vous n'avez aucun intérêt à garder le silence. De toute façon, nous savons déja ce que vous savez, nous ne souhaitons que vous entendre le confirmer. Que vous gardiez le silence ou non n'a aucune conséquence, sinon pour vous. Il vous suffirait pourtant de nous donner des informations, et vous seriez libre d'aller où bon vous semble. Des informations !!!
De toute façon, nous les obtiendrons de vous.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Le prisonnier a écrit :– Qui êtes-vous ?
– Je suis le nouveau Numéro 2.
– Qui est le Numéro 1 ?
– Vous êtes le Numéro 6.
– JE NE SUIS PAS UN NUMÉRO, JE SUIS UN HOMME LIBRE !
Ça me rappelle un chantier de fouilles archéologiques que j'ai fait en 1986. On était logés dans une caserne de l'armée de terre. Le fait d'être au milieu des militaires, derrière des murs, nous avait bien fait délirer. On était quelques-uns à s'être donné des numéros, comme dans le prisonnier...
... le but était évidemment de s'évader de la caserne.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Ben, on sortait du camp tous les jours (pour aller fouiller), mais... on y rentrait tous les soirs. Pas moyen de s'évader. NOUS NE SOMMES PAS DES NUMÉROS !
Très bon souvenir au demeurant.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Vazymollo a écrit :La série est diffusée depuis dimanche sur NRJ12, je rattrape mon retard en la matière.
Le dimanche soir à 22h30, rediffusion le jeudi à minuit. 2 épisodes par semaine. En VF bien sûr. C'est dur d'attendre une semaine pour découvrir la suite, d'autant que je ne sais rien sur cette série.
Rien d'annoncé pour la semaine prochaine dans mon programme TV
Finalement ça passe le samedi soir par paquet de 3 épisodes. 10-11-12 samedi prochain en 2ème partie de soirée.
Je n'ai pas trop aimé les épisodes 7 et 8, écrits par le même scénariste (Skene) : le premier c'est celui où il s'évade alors que le Village est totalement vide. Je n'ai pas compris quel était le but du numéro 2 ? Lui faire perdre la tête ? Parce que manifestement elle ne lui demande pas de renseignements.
Pareil pour l'épisode 8, celui où il doit se déguiser pour un bal, il y a un procès improvisé à la fin où il est condamné à mort, etc... bref, pas du tout dans la logique de la série jusqu'alors.
Si vous pouviez m'éclairer un peu, ce serait charitable de votre part.
Vazymollo a écrit :Je n'ai pas compris quel était le but du numéro 2 ?
C'est que tu commences à comprendre...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Il y a un soupçon de surréalisme dans la série. Ce n'est pas du tout du John Le Carré.
L'espionnage est plus le prétexte à des interrogations sur l'identité, l'individualité, le rapport au pouvoir ou aux autres que comme cadre d'un récit d'agent secret ancré dans le monde réel.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
cinephage a écrit :Il y a un soupçon de surréalisme dans la série. Ce n'est pas du tout du John Le Carré.
L'espionnage est plus le prétexte à des interrogations sur l'identité, l'individualité, le rapport au pouvoir ou aux autres que comme cadre d'un récit d'agent secret ancré dans le monde réel.
Oui oui j'avais saisi le côté surréaliste, mais je pensais que l'intrigue générale restait en fil rouge, et ces deux épisodes semblent un peu déconnectés du reste. J'ai bien dit "semblent", je verrai bien ce qui advient plus tard, et peut-être comprendrai-je. J'ai tout de même remarqué qu'il n'y avait aucun lien entre les épisodes, tous les personnages sont renouvelés à chaque fois, je me demande si ça reste ainsi jusqu'au bout. J'ai bien aimé l'épisode 9 où ils complotent à l'ancienne pour s'évader, il essaie de sortir de sa solitude, mais à la fin il y retourne encore plus profondément...