Anorya a écrit :Le truc qui a plus tendance à faire partir mon papoune c'est la caméra qui bouge tout le temps. Cloverfield, il a tenu 15 minutes avant de se barrer du home cinéma.
Ah ben je le comprends, ton père. C'est le genre de trucs qui a également tendance à rapidement me saouler. Du coup, j'imagine son supplice quand tu lui as mis Démineurs...
Anorya a écrit :Le truc qui a plus tendance à faire partir mon papoune c'est la caméra qui bouge tout le temps. Cloverfield, il a tenu 15 minutes avant de se barrer du home cinéma.
Ah ben je le comprends, ton père. C'est le genre de trucs qui a également tendance à rapidement me saouler. Du coup, j'imagine son supplice quand tu lui as mis Démineurs...
Mauvaise langue va, il ne l'a pas encore vu celui-là, il était malade le soir où je me le suis finalement revu avec moman (vu que lui, il est allé se coucher direct ).
Un Miyazaki n'est jamais chiant... C'est un bon film mais je lui trouve un air de déjà-vu par moment, surtout quand on a vu Le château dans le ciel, Chihiro, Nausicäa et Mononoke. Donc pour moi, je le met un peu un cran en dessous, mais c'est subjectif, ça reste un beau film avec des passages toujours aussi surprenants.
Demi-Lune a écrit :Faut voir ; paraît que Le Château ambulant est chiant.
Faudrait voir à vérifier vos sources, cher ami...
Ce n'est peut-être pas le meilleur Miyazaki, mais je ne vois pas en quoi il peut être trouvé chiant. Il est bourré de moments de bravoure dans les airs (quelques batailles aériennes sont de toute beauté), et se conclut sur une touche d'une poésie d'un superbe lyrisme. Largement de quoi trouver son bonheur.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Ayant vu 90% des Miyazaki, je peux dire que Le château ambulant est l'un de ses plus faibles (sans parler d'échec absolu), et de loin. Dans le dernier tiers, j'en étais vraiment à me demander qui étaient ces personnages et pourquoi ils s'agitaient un peu dans tous les sens, tant l'histoire se décousait en direct. Lourds problèmes de narration donc (entre autres), ou alors je deviens gâteux...
