Dvdclassik : cinéma et DVD

De l'escalade muet par Pabst et Leni Riefensthal, c'est ce soir sur arte à 00h20... qui a vu?

Johannes Krafft, sa femme Maria et le guide Christian se lancent à l'assaut de la paroi nord du Piz Palü, un sommet suisse. Un bloc de glace se détache et sectionne la corde qui reliait les alpinistes. La jeune femme est précipitée dans le vide et meurt. Rongé par le remords, Krafft grimpe chaque année sur le Piz Palü le jour anniversaire de la mort de sa bien-aimée. Dix ans après ce deuil tragique, il rencontre un jeune couple : Hans Brandt et sa fiancée Maria. Il accepte qu'ils soient ses compagnons de cordée. Un nouveau drame s'annonce...

pas moi

mais avant-hier, ils ont passé Le pré de Bejine d'Eisenstein

Ce film est une merveille...

Vu que la montagne est réservé au navet depuis quelque temps ("feu de glace", "cliffhanger", "vertical limit" et d'autres que je n'ai aps encore pris le temps de voir), se plonger dans un film qui l'aborde avec tant de pureté est un ressourçage presque vital... Franck et Pabst immortalisent des images puissantes comme des crêtes et un ciel traversé par le foehn, les stalactites qui gouttes, l'enfer d'une crevasse ou des êtres prisonniers des glaces. Les premières 45 minutes dans le refuge sont merveilleuses, tout comme ce qui concernel'opération de sauvetage est captivant. Aussi bien par la beauté des images et leur forces poétique, c'est aussi le montage, particulièrment vif, qui assure la pérennité de ce film encore de première jeunesse..

Faut'il avoir honte de tomber amoureux de Leni Riefensthal?

6/6

Mac Lean a écrit :Ce film est une merveille...

Vu que la montagne est réservé au navet depuis quelque temps ("feu de glace", "cliffhanger", "vertical limit" et d'autres que je n'ai aps encore pris le temps de voir), se plonger dans un film qui l'aborde avec tant de pureté est un ressourçage presque vital... Franck et Pabst immortalisent des images puissantes comme des crêtes et un ciel traversé par le foehn, les stalactites qui gouttes, l'enfer d'une crevasse ou des êtres prisonniers des glaces. Les premières 45 minutes dans le refuge sont merveilleuses, tout comme ce qui concernel'opération de sauvetage est captivant. Aussi bien par la beauté des images et leur forces poétique, c'est aussi le montage, particulièrment vif, qui assure la pérennité de ce film encore de première jeunesse..

Faut'il avoir honte de tomber amoureux de Leni Riefensthal?

6/6

Mac Lean je te hais.

tu me dégoutes d'avoir zappé un film que je n'aurai jamais l'occasion de revoir dans ma vie.

Kurtz a écrit :
tu me dégoutes d'avoir zappé un film que je n'aurai jamais l'occasion de revoir dans ma vie.

Il n'est pas rediffusé?

Mac Lean a écrit :

Kurtz a écrit :
tu me dégoutes d'avoir zappé un film que je n'aurai jamais l'occasion de revoir dans ma vie.

Il n'est pas rediffusé?

Non malheureusement...et je n'ai pas pu l'enregistrer

en même temps, tu as le droit de nous insulter, tu nous avais prévenus.

Merdouille, je l'ai loupé aussi : ce qu'en dit Mac Lean m'attriste d'autant plus

Je confirme une merveille, Un superbe noir et blanc sur des cimes eneigée, des gros plan dignent d'un Bergman... L'expression de la joie, de la peur, de la grandeur des éléments. Fasciné de bout en bout...
J'ai trés envie de le revoir encore et encore...

Il devrait être rediffusé non ?

Jeremy Fox a écrit :Il devrait être rediffusé non ?

J'espère
10/10

Jeremy Fox a écrit :Il devrait être rediffusé non ?

Bah non..je le dis même un peu plus haut dans ce post

Tuck pendleton a écrit :

Jeremy Fox a écrit :Il devrait être rediffusé non ?

Bah non..je le dis même un peu plus haut dans ce post

Scusi

De sublimes images, une photo renversante, de bons acteurs (qui ont des vraies "gueules de montagnards") et le charme de Leni Riefenstahl...

Un film à la limite du chef-d'oeuvre (la deuxième partie du sauvetage est un poil longuette), et sans doute le meilleur film sur la montagne que j'ai jamais vu. Et de loin (en même temps y'en a pas des masses...).

Etant amateur de randonnée, ce film m'a particulièrement touché.

La poésie et le lyrisme sont bien présents à travers une représentation inspirée d'une Nature belle et cruelle.

Z'étaient vraiment forts ces allemands à l'époque...

5/6

Tuck pendleton a écrit :Non malheureusement...et je n'ai pas pu l'enregistrer

Je n'ai pas pu l'enregistrer non plus...





... mais ma dulcinée s'en est chargée ! Ouf Reste plus qu'à vérifier si l'enregistrement a bien fonctionné, et éventuellement, un jour, je fais circuler la vidéo.