Dvdclassik : cinéma et DVD

http://www.nme.com/features/a-letter-fr ... -interview

Back in September, we optimistically emailed Lana Del Rey a bunch of questions about life, love, Twin Peaks, Courtney Love and “intergalactic possibilities”. Three months later the answers turned up. Here they are in full.
Read more at http://www.nme.com/features/a-letter-fr ... 6uPc2U3.99

Et voilà le quatrième.

On parle d'une sortie pour mai prochain !

Edouard a écrit :

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On parle d'une sortie pour mai prochain !

La chanson est superbe je trouve. Vivement la sortie de l'alboume.

Et un deuxième extrait est paru la semaine dernière

Profondo Rosso a écrit :Et un deuxième extrait est paru la semaine dernière

Pas trop fan pour ma part de cette collaboration.
En revanche, j'ai entendu un autre extrait enregistré suite a un voyage en Israel je crois, qui etait très prometteur.

Voilà, il est là..
Je pensais que Love et Lust for life étaient des amuse-gueules en attendant l'album mais il s'avère finalement que c'était le plat de résistance.
J'ai écouté une bonne partie de cet album déjà distillé au compte goutte ces derniers mois sur les réseaux, du coup cette sortie officielle s'avère assez décevante puisque les deux locomotives sont déjà sorties depuis des mois. Néanmoins j'ai fini par apprécier ces titres avec le temps, mais on est loin de l'extase des albums précédents. A l'image de la pochette, ce 4ème opus s'avère moins dépressif que les précédents .. on a un peu perdu la Lana Del Rey des débuts.
Ultraviolence reste de loin mon favori.

Vous avez repéré de bons titres ? Get free est pas mal mais ressemble beaucoup, vraiment beaucoup à un mélange de Creep et d'un titre d'un groupe des années 70-80 (genre Toto) dont je n'arrive pas à retrouver le nom encore.

Bon alors ps du tout d'accord encore une belle claque pour moi, 16 titres et quasi pas de déchets malgré la longueur de l'album. On perd le sens de l'atmosphère prédominant de Honeymoon pour un mélange entre le classicisme americana de Ultraviolence (en moins rock) et les croisements pop/hip hop de Born to Die, l'emphase mélodramatique de tous les instants imprégnant l'ensemble du disque. J'aimais déjà beaucoup les deux premiers single (surtout Lust for life) et là c'est festival de drama hollywoodien avec un gros sommet qui est le duo avec Stevie Nicks Beautiful People Beautiful Problems qui m'a bien scotché. Hâte la voir pour la 3e fois en live dimanche à Lollapalooza !

Je n'avais pas tout écouté. La fin de l'album réserve quelques jolies surprises comme la participation de Sean Lennon sur Tomorrow never came et son refrain Dylanien ("Lay, Lady lay"). Lana del Rey n'hésite vraiment pas à se frotter aux légendes et tant pis si ça ne plait pas ou si on l'accuse de plagiat. On enchaine avec Heroïn.. encore une grosse référence dans le titre, pour finir avec Get free dont la mélodie tourne allègrement à la fois autour du mythique Creep de Radiohead et du Eye in the sky d'Alan Parsons Project tout en ajoutant une touche personnelle.
On est définitivement plus dans les mélodies dépressives qui prédominaient les trois premiers albums meme si certains titres (comme Change) gardent encore des passages mélancoliques.
Il y aura un avant et un apres Lust for life.

Radiohead attaque Lana del rey en justice pour plagiat de Creep dans la chanson Get free.
Étonnant car c'est tellement flagrant dans la chanson que je pensais que c'était un clin d'oeil concerté avec radiohead.

Edit : j'ai l'avais d'ailleurs signalé à la première écoute :

Supfiction a écrit : Get free dont la mélodie tourne allègrement à la fois autour du mythique Creep de Radiohead et du Eye in the sky d'Alan Parsons Project tout en ajoutant une touche personnelle.

Supfiction a écrit :Radiohead attaque Lana del rey en justice pour plagiat de Creep dans la chanson Get free.
Étonnant car c'est tellement flagrant dans la chanson que je pensais que c'était un clin d'oeil concerté avec radiohead.

Edit : j'ai l'avais d'ailleurs signalé à la première écoute :

Supfiction a écrit : Get free dont la mélodie tourne allègrement à la fois autour du mythique Creep de Radiohead et du Eye in the sky d'Alan Parsons Project tout en ajoutant une touche personnelle.

C'est marrant, Radiohead a été poursuivi par The Hollies pour plagiat à propos de Creep. J'espère que la pauvre Lana ne se fera pas poursuivre deux fois pour plagiat.

Filou a écrit :

Supfiction a écrit :Radiohead attaque Lana del rey en justice pour plagiat de Creep dans la chanson Get free.
Étonnant car c'est tellement flagrant dans la chanson que je pensais que c'était un clin d'oeil concerté avec radiohead.

Edit : j'ai l'avais d'ailleurs signalé à la première écoute :

C'est marrant, Radiohead a été poursuivi par The Hollies pour plagiat à propos de Creep. J'espère que la pauvre Lana ne se fera pas poursuivre deux fois pour plagiat.

En plus c'est un peu abusé, apparement elle leur a proposé une partie des gains du morceau et ils ont réclamé 100%.
Le refrain n'a rien à voir (puisque là c'est pompé sur Alan Parsons Project ).

Selon MTV UK, le nouvel album de Lana Del Rey, intitulé "Norman Fucking Rockwell", sortira le 29 mars et aurait les mêmes sonorités que "Ultraviolence".

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Pas emballé par ce que j’ai entendu depuis le précédent album, plus qu’à attendre la fin du mois maintenant.

Le sixième album est sorti depuis vendredi.
Papiers de Libé et du Figaro :
https://next.liberation.fr/musique/2019 ... es_1748284
http://www.lefigaro.fr/musique/lana-del ... m-20190830

Le seul sentiment clair de Norman Fucking Rockwell  !, le plus riche et puissant de ses albums, est un nihilisme qui enclôt tout, amour, ire et mélancolie dans une anxiété d’ensemble qui les balaie vers l’abîme. La pop va mal, comme le monde, la Californie plonge dans l’océan – à quoi bon chanter ? Malgré les apparences, la musique de Lana Del Rey n’est pas un cocon, c’est un poison. Que l’on se l’inocule avec avidité, plaisir circonspect ou déplaisir n’y change pas grand-chose. Derrière les clips, l’esprit, les concepts aux degrés de lecture emberlificotés, elle ne cesse de nous susurrer qu’elle est avant tout vaine parce qu’impuissante à nous sauver, et peut-être avec elle l’art dans son entier.