Dvdclassik : cinéma et DVD

Complétement d'accord. Anecdotique mais sympathique.

Jeremy Fox a écrit :Une bible et un fusil (Rooster Cogburn) : Stuart Millar 1975 (5.5/10)

Stuart Millar n'est certes pas Hathaway, le scénario n'est pas spécialement captivant mais ce western est cependant sacrément dépaysant -les paysages de l'Oregon sont somptueux et plutôt bien filmés- et le duo Hepburn/Wayne n'est pas antipathique.

J'y prends davantage de plaisir à chaque vision, je le trouve franchement divertissant et le blu ray (que l'on trouve partout pour pas cher) est très beau pour profiter des paysages de la partie fluviable. Un 7/10 pour moi

hellrick a écrit :

Jeremy Fox a écrit :Une bible et un fusil (Rooster Cogburn) : Stuart Millar 1975 (5.5/10)

Stuart Millar n'est certes pas Hathaway, le scénario n'est pas spécialement captivant mais ce western est cependant sacrément dépaysant -les paysages de l'Oregon sont somptueux et plutôt bien filmés- et le duo Hepburn/Wayne n'est pas antipathique.

J'y prends davantage de plaisir à chaque vision, je le trouve franchement divertissant et le blu ray (que l'on trouve partout pour pas cher) est très beau pour profiter des paysages de la partie fluviable. Un 7/10 pour moi

Ah oui c'est vrai que le travail de numérisation sur le DVD est assez dégueulasse. Je pense que j'aurais monté ma note si j'avais visionné le film dans de meilleures conditions ; surtout qu'autre chose pas déplaisante, quasiment pas de transparences pour ces séquences d'action.

Ah oui, je confirme. L'ayant vu en Blu Ray, la copie du film est super belle.

100 fusils de Tom Gries : le film marche dans les traces de The Professionnals mais n'est pas Richard Brooks qui veut ! Mon degré d'ennui à la vision de ce film a été en gros équivalent au nombre de cartouches tirées. Lorsqu'en plus j'estime que Raquel Welch est l'une des plus mauvaises comédiennes qui soit... j'ai eu hâte que ça se termine. Tom Gries reste pour moi l'homme d'un seul bon western, le très beau Will Penny. Reste Jerry Goldsmith et des paysages parfois grandioses.
2.5/10

Jeremy Fox a écrit :Lorsqu'en plus j'estime que Raquel Welch est l'une des plus mauvaises comédiennes qui soit...

Je trouve pourtant qu'elle est l'un des atouts majeurs du film :


Ahem...

Et globalement je trouve que c'est un solide divertissement, rythmé, plein d'action et sont le propos tient plutôt bien la route. et une superbe musique de Goldsmith. Ca m'avait bien plu.

Rick Blaine a écrit :

Jeremy Fox a écrit :Lorsqu'en plus j'estime que Raquel Welch est l'une des plus mauvaises comédiennes qui soit...

Je trouve pourtant qu'elle est l'un des atouts majeurs du film :


Ahem...

.

J'avoue qu'elle m'a toujours laissé de marbre en plus de la trouver mauvaise comédienne ; faut peut-être que je me fasse soigner

plein d'action

C'est le moins qu'on puisse dire. Mais les scénarios de Huffaker me sont souvent passés au dessus de la tête.

Sinon pour l'année 1968, je pense que je serais quand même tenté d'écrire à l'occasion des chroniques de ces films si jamais elles n'ont pas été faites avant :

* Cinq Hors la Loi (Firecreek) : Vincent McEveety
* Un Colt nommé gannon (A Man called Gannon) : James Goldstone
* Les Chasseurs de Scalps (The Scalphunters) : Sidney Pollack
* Will Penny le Solitaire (Will Penny) : Tom Gries

J'ai jamais vu qu'on prenait sa douche habillé. Cent fusils, mais double zéro.
Content de lire de nouvelles chroniques.

Custer, homme de l'Ouest (Custer of the west) : Robert Siodmak 1968 (3.5/10)

Sur le papier, ça semblait passionnant et il en reste deux ou trois exemple épars durant le film à l'image de cette séquence superbe au cours de laquelle Custer explique son point de vue à un chef Cheyenne sur les guerres indiennes ou encore ce superbe plan final. Mais l'incompétence de Siodmak est ici tellement criante, la plupart de ses idées de mise en scène tellement saugrenues, le scénario si cafouilleux, le montage tellement WTF que l'ensemble s'avère être un beau ratage. Dommage car Robert Shaw était très bien tout comme beaucoup des thèmes musicaux malheureusement parfois très mal utilisés. Pas nul mais un beau gâchis au vu du potentiel de départ avec ce portrait plus nuancé d'un Custer parfois touchant.

Jeremy Fox a écrit :la plupart de ses idées de mise en scène tellement saugrenues

La séquence avec les troncs d'arbres

Alexandre Angel a écrit :

Jeremy Fox a écrit :la plupart de ses idées de mise en scène tellement saugrenues

La séquence avec les troncs d'arbres

Et avant ça la descente du chariot en folie qui aurait mieux eu sa place dans un James Bond Ah le cinérama !!

* Le Jour des Apaches (Day of the Evil Gun) : Jerry Thorpe 1968 (4/10)

Glenn Ford, Arthur Kennedy et un postulat de départ intéressant mais un film gâché par une mise en scène assez paresseuse et surtout des ellipses foireuses et des invraisemblances à foison. Dommage

Je l'avais trouvé particulièrement raté ce film, effectivement à cause d'une mise en scène ttotalement médiocre et d'un récit à l'avenant.

Rick Blaine a écrit :et d'un récit à l'avenant.

Le scénario de Marquis Warren manque totalement de rigueur. Moi qui ne fait pas souvent attention aux invraisemblances, là elles sont vraiment trop criantes.