Dvdclassik : cinéma et DVD

Je dis qu'il a besoin d'un producteur, pas forcément d'un dictateur

Une relation producteur/réalisateur c'est aussi une collaboration

Pourtant sur Une balle dans la tête (son meilleur film pour moi), il était son propre producteur. Et sur volte/face, les producteurs l'ont laissé tranquille et ne sont pas intervenus sur la production et le montage.

C'est peut-être davantage une histoire de confiance et liberté.

Vu Godless, serie-western sur Netflix.

Une très bonne surprise de Netflix.
Des grands espaces, des figures connues du western, de l'inédit, de bons personnages, pas de concession sur le bodycount, un grand final dans la tradition. Seulement 7 épisodes, c'est même peut être trop peu vu le nombre de personnages et d'intrigues possibles.

Chez vous aussi les affiches papiers de perdu dans l'espace sont en train de se perdre vraiment dans leur espace publicitaire à cause de la pluie ?
Je n'imagine pas Netflix imprimé du mauvais papier à l'économie

J'ai vu le film The Skeleton Twins ajouté au catalogue français il y a peu...
Sympathique comédie dramatique US avec une Kristen Wiig au top, je recommande, c'est parfois triste et mélancolique mais aussi très drôle et décalé.
Je m'attendais à "une Sundancerie à la con" donc excellente surprise.

T'es pas tout seul Flol !. .

Oui je confirme, je l'avais vu sur Netflix US et bien que je n'en garde absolument aucun souvenir aujourd'hui, je me souviens avoir passé un excellent moment...principalement grâce au duo Hader/Wiig, dont les talents comiques sont ici bien exploités, tout en démontrant qu'ils sont aussi capables de faire dans le mélo sans en faire trop.

AntonChigurh a écrit :T'es pas tout seul Flol !.

Hein ?

Flol a écrit :

AntonChigurh a écrit :T'es pas tout seul Flol !.

Hein ?

C'était un clin d'oeil à cet ancien post de toi sur lequel je suis tombé en tapant le nom du film dans la barre de recherche de Classik :

Flol a écrit : (cf. The Skeleton Twins ou Welcome to me...bon ok 2 films que je dois être le seul à avoir vu).

The Clapper : ne casse pas des briques mais s'avère tout de même une petite comédie sympathique à défaut d'être la grande satire dramatique des médias dans la lignée de films comme Network, Truman Show, La Mort en direct.. Par moment on pense à Cyril Hanouna ou Ardisson et on se dit qu'il y avait de la matière pour autre chose qu'une comédie romantique consensuelle aux dialogues pauvres (cf. scène finale totalement bâclée) idéale pour le réseau Netflix.
Avec Ed Helms qui fait avec ses moyens, Amanda Seyfried (jolie mais rien à jouer) et Tracy Morgan (bloqué dans le rôle de Tracy Morgan mais il est très bien en second rôle).

Anon d'Andrew Niccol.

Pour résumer grossièrement, j'ai trouvé cela aussi palpitant qu'un épisode mollasson de Derrick. Passé les 5 premières minutes qui attisent la curiosité, Anon est un thriller de SF ultra répétitif et cousu de fil blanc, dont la mise en scène médiocre utilise jusqu'à plus soif ses procédés visuels.

Photo monochrome ennuyeuse, froideur artificielle, intrigue faussement maligne, acteurs qui font le minimum autrement pas grand chose.

Typique du film dont on peut le définir comme encéphalogramme plat.

La trilogie "Les Enquêtes du département V" avec l'excellent Fares Fares (remarqué dernièrement dans "The Nile Hilton Incident" aka "Le Caire confidentiel") vient d'être ajoutée...

Sinon vu Cargo, c'est assez faiblard, film de zombie "post-genre" qui se veut profond et plus intimiste. mais le résultat est quand même très très faible, plein de déjà-vu ailleurs, des enchevêtrements de péripéties qui ont plus l'air de remplissage (la mise en cage, soit disant intense, et au final torché et bouclé avant même d'avoir commencé). Reste l'acteur principal Martin Freeman, mais guère plus.

1kult a écrit :Sinon vu Cargo, c'est assez faiblard, film de zombie "post-genre" qui se veut profond et plus intimiste. mais le résultat est quand même très très faible, plein de déjà-vu ailleurs, des enchevêtrements de péripéties qui ont plus l'air de remplissage (la mise en cage, soit disant intense, et au final torché et bouclé avant même d'avoir commencé). Reste l'acteur principal Martin Freeman, mais guère plus.

Assez d'accord sur le côté faussement profond du film. ça ne cherche pas à être un film de zombie ultra-dynamique et intense mais ça ne propose pas forcément une histoire plus originale que la norme. J'ai pourtant bien aimé le film. Outre pour Martin Freeman, je retiens le contexte australien qui donne une belle identité visuelle à l'histoire.

Sinon, je viens juste de mater Una avec Rooney Mara et Ben Mendelsohn. Pas non plus une grande réussite entre une gestion passé/présent pataude et une conclusion expéditive. Cependant, le long-métrage est porté par une grande envie à faire de la narration visuelle. Le réalisateur multiplie les motifs (passé lumineux, plongée dans l'obscurité, reflets, confinement dans l'espace) afin de conter son histoire et ça m'a assez captivé.

Netflix a acquis les droits hors Corée de l'adaptation en prises de vues réelles de Jin-Roh : la brigade des loups par Kim Jee-Woon. L'histoire se déroulera désormais en 2029, dans une Corée sur le point de se réunifier. Une brigade est créée pour faire face à une opposition violente à cette réunification. Brigade ironiquement elle aussi contre. (source)

Ça donne envie.
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nobody smith a écrit :Sinon, je viens juste de mater Una avec Rooney Mara et Ben Mendelsohn. Pas non plus une grande réussite entre une gestion passé/présent pataude et une conclusion expéditive. Cependant, le long-métrage est porté par une grande envie à faire de la narration visuelle. Le réalisateur multiplie les motifs (passé lumineux, plongée dans l'obscurité, reflets, confinement dans l'espace) afin de conter son histoire et ça m'a assez captivé.

Plutôt bien apprécié, pour ma part. Le réal' parvient à éclater la structure théâtrale du récit avec une mise en scène travaillée et oppressante, qui joue énormément avec la géométrie et la luminosité des lieux.
La fin est effectivement assez expédiée, mais le face à face Mara/Mendelsohn vaut vraiment le coup d'oeil.

Bien aimé également ce Una.
La fin est effectivement un peu trop expédiée. Pas trop trouvé d'utilité à cette sorte d'intrigue secondaire avec cette réunion/annonce de licenciements, Mendelsohn recherché dans l'usine par son boss ou Riz Ahmed (qui d'ailleurs au final ne servira pas à grand chose à part amené Mara chez Mendelsohn).
Mais bon bonne surprise quand même !