Re: Blaxploitation : For the badass mother fuckers
Publié : 14 sept. 13, 19:35
L'impact qu'a eu ce courant sur la black music est aussi très intéressant à observer. On peut le voir facilement dans le hip-hop, aux pochettes des rappeurs américains, qui reprennent les mêmes codes graphiques et les composantes en terme de personnage et de style que les bonnes vieilles productions black old school.
For exemple:
Cotton Comes to Harlem de Ossie Davis
Bobby Digital du Dj et Mc (membre du wu-tang clan) RZA:
Mais cette reprise des codes du genre ne se limite pas aux looks qu'arborent les rappeurs, il se retrouve aussi bien sûr dans la musique, comme Ice-t qui sample PusherMan de Curtis Mayfield du film Superfly par exemple, ou qu'une majorité de rappeurs cite comme référence ultime les mots de Iceberg Slim (dont celui ci a jouit d'une adaptation sur grand écran de son chef d'oeuvre Trick Baby sorti en 1972 réalisé par Larry Yust. Adaptation qui ne retranscrit pas selon moi la puissance, l'ambiance de l'oeuvre originale, mais qui reste agréable à regarder.
For exemple:
Cotton Comes to Harlem de Ossie Davis
Bobby Digital du Dj et Mc (membre du wu-tang clan) RZA:
Mais cette reprise des codes du genre ne se limite pas aux looks qu'arborent les rappeurs, il se retrouve aussi bien sûr dans la musique, comme Ice-t qui sample PusherMan de Curtis Mayfield du film Superfly par exemple, ou qu'une majorité de rappeurs cite comme référence ultime les mots de Iceberg Slim (dont celui ci a jouit d'une adaptation sur grand écran de son chef d'oeuvre Trick Baby sorti en 1972 réalisé par Larry Yust. Adaptation qui ne retranscrit pas selon moi la puissance, l'ambiance de l'oeuvre originale, mais qui reste agréable à regarder.