Dvdclassik : cinéma et DVD

Ah oui ! Moi aussi, le Darrieux !

EDIT. Changement de page : je remets le message initial :

Commissaire Juve a écrit :7 janvier...

Le Danielle Darrieux me fait de l'œil. Je pourrais aussi me laisser tenter par le Lamoureux.

Plutôt tenté par le Constantine pour ma part.

Commissaire Juve a écrit :7 janvier...

Le Danielle Darrieux me fait de l'œil. Je pourrais aussi me laisser tenter par le Lamoureux.

Je recommande chaudement le Darrieux critiqué par mes soins ici.

Ok. Merci.

Commissaire Juve a écrit :

Reçu et survolé.

Comment dire ? Image d'époque (1936). On sait à quoi s'en tenir dès les premières secondes du générique.

Le noir & blanc et la définition sont de qualité aléatoire. Vous prenez un Gaumont à la demande années 30 et voilà (au passage : chez René Chateau, on a trois Danielle Darrieux de 1935 qui offrent une image de qualité supérieure ; le 1936 n'est donc pas une excuse).

Cela dit, j'ai vu bien pire. Je m'en contenterai donc.

Le 07/02 :

Bientôt :

rosay a écrit :Bientôt :

Si tu m'aimes

Intéressant. Merci du tuyau.

Commissaire Juve a écrit :

Commissaire Juve a écrit :

Reçu et survolé.

Comment dire ? Image d'époque (1936). On sait à quoi s'en tenir dès les premières secondes du générique.

Le noir & blanc et la définition sont de qualité aléatoire. Vous prenez un "Gaumont à la demande" années 30 et voilà (au passage : chez René Chateau, on a trois Danielle Darrieux de 1935 qui offrent une image de qualité supérieure ; le 1936 n'est donc pas une excuse).

Cela dit, j'ai vu bien pire. Je m'en contenterai donc.

Il faut tourner sept fois son clavier sur son bureau avant d'écrire des choses définitives ! J'ai donc édité.

Je suis devant, là, maintenant. Je ne reviens pas sur "image d'époque", mais il y a quand même du noir, du gris foncé, du gris clair, du blanc. Ce n'est pas aussi déprimant que pouvait le laisser penser mon premier message.

Mais, comme je le disais : "Gaumont à la demande" années 30... si on aime l'archéologie cinématographique, c'est bon.

Allez : j'y retourne. Bonne nuit, les petits.

Club de femmes (1936)

Vu la nuit dernière.

On suit -- sur une année -- les aventures de plusieurs jeunes femmes logeant dans une pension interdite aux hommes. On passe de l'une à l'autre, il leur arrive des histoires tantôt nunuches, tantôt dramatiques.

Danielle Darrieux (19 ans), qui ne change pratiquement pas de tenue de toute l'année, est évidemment la grosse mali(g)ne de la bande.

A l'opposée, Josette Day (22 ans... très nunuche ici) est victime des assiduités d'un Nosferatu femelle qui fait froid dans le dos ! Et même si on est en 1936, j'avoue avoir croisé les doigts pour elle jusqu'au bout.

Globalement, ça se laisse regarder. Mais c'est quand même un film relativement "misogyne" (il suffit de voir la volière et les oiseaux du générique... façon délicate de nous expliquer que les femmes n'ont pas plus de cervelle que les oiseaux !). Avec quelques facilités qui évoquent certains films de Fernandel et des audaces que la morale de l'époque réprouvait certainement (étonnamment : les notules critiques proposées dans la rubrique "suppléments" -- notules extrêmement laudatrices -- n'en parlent absolument pas).

Commissaire Juve a écrit : Globalement, ça se laisse regarder. Mais c'est quand même un film relativement "misogyne".

Le film est écrit, réalisé et produit par Jacques Deval. Ce dernier était surnommé à l'époque "Divan le terrible", ce qui vous laisse imaginer de quelle manière il recrutait les jeunes actrices...

Le fils de Jacques Deval a fait carrière sous le nom de Gérard de Villiers. Souvenez-vous des filles dénudées qui ornaient systématiquement la couverture de chaque nouvelle aventure de SAS imaginée par ce Gérard de Villiers. Elles avaient d'ailleurs toujours une arme à la main, symbole phallique.



C'est ce même Gérard de Villiers qui a lancé, dans les années 60, la rumeur selon laquelle la chanteuse Sheila était un garçon !

Ni le père, ni le fils ne semblaient donc briller par leur respect de la gent féminine...

Tout s'explique ! Bien vu, Tantine !

J'ai un problème... J'ai des envie de Max Pécas

Du coup je me demandais : quelqu'un ici aurait le coffret LCJ du bonhomme ?
Comment est il présenté ? Est ce qu'on a le droit à une jaquette et un boîtier pour chaque film ?

Merci d'avance (aux courageux )

Le 8 mars :

- MADAME ET SES PEAUX-ROUGES (1948) de Serge T. de Laroche, avec Arletty
- MONSIEUR FABRE (1951) de Henri Diamant-Berger, avec Pierre Fresnay
- TEMPÊTE SUR LES MAUVENTS (1952) de Gilbert Dupé et Alejandro Perla, avec Charles Vanel

Sinon ils rééditent À tout casser de John Berry (déjà dispo chez Studio Canal) et Les Borsalini de Michel Nerval (DVD One plus one qu'on trouve dans les bacs promo à un euro). C'est gentil mais il y a quand même pas mal de nanars inédits qui attendent leur tour pour être édité.

Quelques nouveaux visuels...