Dvdclassik : cinéma et DVD

Et voilà ...

1e saison déjà terminée : 7 épisodes c'est court mais ... suffisant pour créer la dépendance !!

Le genre de série dont l'évolution, les personnages et les évènements sont imprévisibles : et cela en fait tout l'intérêt
On est loin du politiquement correct, des bons sentiments obligatoires et les personnages n'en sont que plus attachants.

Meilleure découverte depuis "mad men" pour ma part.

Saison 2 déjà commandée ...
Après, je serai en manque c'est déjà sûr ...

jacques 2 a écrit : Meilleure découverte depuis "mad men" pour ma part.

Mes 2 séries préférées ces 2 dernières années...

zemat a écrit :

jacques 2 a écrit :Meilleure découverte depuis "mad men" pour ma part.

Mes 2 séries préférées ces 2 dernières années...

What else ?..

pol gornek a écrit :

zemat a écrit :Mes 2 séries préférées ces 2 dernières années...

What else ?..

J'ai commencé la première saison (2 premiers épisodes) et même si je suis heureux de retrouver le génial papa de Malcolm, j'ai un peu l'impression de retomber sur un nième série transgressive post-Tarantino (le camping car façon Domino, le cadavre dans la baignoire, le spersonnages sont "décalés").
Je résreve un peu mon avis (à voir sur la longueur) mais j'y vois beaucoup de tics des séries d'aujourd'hui sans y voir l'originalité tant vantée (une version plus grave de "Weeds").

Moi aussi, Mad Men et Breaking Bad sont mes deux séries préférées des dernières années (sur la durée), avec juste derrière Big Love.

AtCloseRange a écrit :

pol gornek a écrit : What else ?..

J'ai commencé la première saison (2 premiers épisodes) et même si je suis heureux de retrouver le génial papa de Malcolm, j'ai un peu l'impression de retomber sur un nième série transgressive post-Tarantino (le camping car façon Domino, le cadavre dans la baignoire, le spersonnages sont "décalés").
Je résreve un peu mon avis (à voir sur la longueur) mais j'y vois beaucoup de tics des séries d'aujourd'hui sans y voir l'originalité tant vantée (une version plus grave de "Weeds").

La série progresse grandement d'une part au fil des épisodes, et d'autre part avec chaque saison. Les personnages prennent de la profondeur et deviennent très attachants. Il faut aussi noter que le rythme assez rapide de la S1 devient largement plus posé à compter de la S2. La faute sûrement à la grève des scénaristes qui avait largement amputé la S1.
Ne s'arrêter qu'aux deux premiers épisodes (même si, de mémoire, je les avais beaucoup aimés) serait vraiment dommage !
La S4 de Breaking Bad, devant arriver en juin prochain, est ce qui me fait le plus saliver niveau TV ces derniers temps.

Concernant Big Love, j'ai les 2 1ères saisons en DVD, et je n'ai toujours pas eu l'envie de m'y mettre...

AtCloseRange a écrit :

pol gornek a écrit : What else ?..

J'ai commencé la première saison (2 premiers épisodes) et même si je suis heureux de retrouver le génial papa de Malcolm, j'ai un peu l'impression de retomber sur un nième série transgressive post-Tarantino (le camping car façon Domino, le cadavre dans la baignoire, le spersonnages sont "décalés").
Je résreve un peu mon avis (à voir sur la longueur) mais j'y vois beaucoup de tics des séries d'aujourd'hui sans y voir l'originalité tant vantée (une version plus grave de "Weeds").

Au delà de la transgression apparente, ce n'est pas une série "mode" remplie de tics ...
Je m'en suis rendu compte environ au milieu la fin de la 1e saison ...

En fait, l'émotion est privilégiée et les acteurs au top : la scène qui m'a marquée le plus est la réunion de famille avec le "coussin de parole" quand Walt explique pourquoi il ne veut pas de chimiothérapie ...

Ce qui n'en fait pas une série larmoyante, bien loin s'en faut ...

Magnifique ...

Faut continuer moi aussi au début je n'etais pas accro

AtCloseRange a écrit :J'ai commencé la première saison (2 premiers épisodes) et même si je suis heureux de retrouver le génial papa de Malcolm, j'ai un peu l'impression de retomber sur un nième série transgressive post-Tarantino (le camping car façon Domino, le cadavre dans la baignoire, le spersonnages sont "décalés").
Je résreve un peu mon avis (à voir sur la longueur) mais j'y vois beaucoup de tics des séries d'aujourd'hui sans y voir l'originalité tant vantée (une version plus grave de "Weeds").

Je ne vois pas Breaking Bad comme une série transgressive (mais je comprends qu'elle donne cette impression dans sa première saison). Difficile d'en parler sans spoiler, mais la notion "d'évolution" y est remarquable. Où comment des gens vont devoir apprivoiser un nouveau milieu et quels seront les conséquences sur eux et leur famille. La série repose avant tout sur les personnages, leurs sentiments et leur psychologie, moins leurs actes. Un geste possède finalement moins d'importance que sa conséquence. C'est dans ce registre que la série trouve sa grandeur, parce qu'elle ne se contente pas d'aligner des séquences chocs (le cadavre dans la baignoire possède quelque de fondamental dans la série, même si ce n'est pas visible à première vue). J'ai rarement vu une série où les personnages se "transforment" aussi rapidement.

Ce n'est peut-être pas encore flagrant dans sa première saison, mais la série possède un rythme (longueur "anormale" des séquences) et une identité visuelle (photo, cadrages) qui lui permet de surclasser énormément de séries.

La comparaison avec Weeds, tout le monde l'a fait (à raison) au cours de la première saison. Seulement là où la série de Showtime se contentait d'être caustique et (faussement) subversive pour critiquer les suburbs américaines (dans ses premières saisons), Breaking Bad joue plutôt du côté de la tragédie. Le discours politique est absent pour ainsi dire, c'est l'homme qui intéresse Gilligan.

Enfin, la première saison a souffert de la grève des scénaristes (raccourcie à 7 épisodes). La seconde saison se développe de façon plus naturelle et la troisième atteint l'apogée.

Oui, Walt c'est un homme ordinaire qui pose des actes avec des conséquences irrémédiables ...

Cela rejoint finalement l'étude de l'"homme nu" de Simenon : cerner ses personnages au plus près de l'os, au plus près de leur vérité ...

Pour les parisiens fans de Breaking Bad :
16 Avril 2011 - 18h00 l FES l Séries Mania saison 2
Rencontre avec Vince Gilligan, créateur de "Breaking Bad"

http://www.forumdesimages.fr/fdi/Festiv ... eaking-Bad

zemat a écrit :Pour les parisiens fans de Breaking Bad :
16 Avril 2011 - 18h00 l FES l Séries Mania saison 2
Rencontre avec Vince Gilligan, créateur de "Breaking Bad"

http://www.forumdesimages.fr/fdi/Festiv ... eaking-Bad

Je dispose d'une place supplémentaire, si qq'un est intéressé(e) --> MP !

"Breaking Bad" saison 4 à partir du... 17 Juillet

http://www.allocine.fr/article/ficheart ... 03463.html

Moi qui espérait voir la série arriver en juin, ils ont pris le slot laissé vacant par Mad Men...

Hello!

Bon, je sais que ce topic mentionne la saison 3, mais je viens de finir la deuxième et j'avais envie de venir mettre ma petite opinion sur celle-ci...

J'avoue que la fin de saison m'a déçu... surtout dans son traitement du personnage de Jane,

Spoiler (cliquez pour afficher)

que je trouve vraiment sacrifié sur la fin, comme s'il fallait s'en débarasser avant la saison 3.

Spoiler (cliquez pour afficher)

Comment justifier qu'elle retombe aussi facilement dans la drogue? Le fait de vouloir accompagner Jesse dans la tristesse d'avoir perdu un 'ami'? Je trouve ce revirement vraiment gros et paradoxal par rapport au côté plutôt 'fort' que Jane donnait l'impression d'avoir...
Idem pour sa mort, vraiment trop 'adéquate' pour la faire disparaître et faire 'avancer' le scénario (je n'ai pas de connaissance dans le domaine, mais je suppose qu'un drogué ne vomit pas dès qu'on le met sur le dos, c'est juste un 'risque')...
Je trouve vraiment dommage d'avoir sacrifié le personnage en tout cas, je le trouvais attachant...
Et que dire du fil rouge de la saison, cet ours en peluche rose... Tout ça pour ça?

Bref, déçu...

D., qui attend cependant la saison 3 avec impatience...