Une guitare est un instrument vivant, qui mêle électronique et lutherie. L'électronique est sujette aux vieillissements (oxydation, faux contacts, fils dessoudés...) tandis que la lutherie évolue (courbure du manche, usure du sillet, déréglage du chevalet ou des pontets...).
La solution la plus simple et la plus coûteuse consiste à confier sa guitare à un professionnel. Il est également possible de se former soi-même aux diverses techniques nécessaires à son entretien. Les ouvrages techniques sont nombreux mais presque tous en anglais, ce qui n'est guère évident compte tenu de la spécificité du jargon des luthiers.
Un exemple :
Les francophones peuvent aussi se reporter sur ce DVD indispensable pour éviter de faire des bêtises :
Au menu :
Recoller un manche cassé
Choisir ses cordes
Régler le manche
Régler le sillet
Régler les micros
Trucs et astuces
Régler le vibrato
Régler la justesse (chevalet / pontets)
24 heures après
Conclusion et conseils
"Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti" (Albert Camus)
AlexRow a écrit :Parmi les musiciens qui ne sacrifient pas la musicalité à leur technique pourtant époustanflante, je retiens Andy McKee
J'avoue que c'est impressionnant (surtout "Drifting") même si ce n'est pas forcément ma tasse de thé ("Rylynn", c'est un peu de la soupe et reprendre "Rosanna", ça n'est pas forcément du meilleur goût).
pseudonyme a écrit :il faut que je rebranche ma Musicman StingRay... mais toujours la même question: dans quelle finalité? quoi jouer?
Lassé des reprises ?
Les idées viennent de deux façons principales :
- 1 : on est une bête de conservatoire et la théorie musicale n'a plus aucun secret pour soi. On s'assoit avec une rame de papier réglé et un crayon à la conquête de nouveaux horizons musicaux.
- 2 : on n'a pas pas la moindre idée de ce qu'on veut faire. On joue, pendant des heures et des heures et on enregistre sur un dictaphone les idées les plus saugrenues même si elles ne vont nulle part. Après, on réécoute les chutes et on essaye de développer certaines idées ou d'en associer plusieurs. Un métronome est utile. Une boîte à rythme programmable est encore plus indiquée pour essayer des motifs un peu délirants qui fournissent une bonne base.
-3 : tu trouves des gens avec qui jouer. Ton voivin, ta petite soeur, ton collègue de bureau, n'importe qui avec qui tu te sens des affinités musicales. Ca reste la meilleure façon de progresser sans s'ennuyer et sans avoir l'impression de faire ça "pour rien". Et c'est le pied.
oui non mais merci hu hu hu je sais tout ça, c'est juste que la basse tout seul ça peut être vite chiant, que faire de la musique avec des gens faut les trouver et pour composer de la musique il faut être inspiré. bref, je ne me fait pas trop d'illusion, je continuerais à gratouiller de temps en temps, comme depuis 10 ans
oui non mais merci hu hu hu je sais tout ça, c'est juste que la basse tout seul ça peut être vite chiant, que faire de la musique avec des gens faut les trouver et pour composer de la musique il faut être inspiré. bref, je ne me fait pas trop d'illusion, je continuerais à gratouiller de temps en temps, comme depuis 10 ans
Sinon tu as la solution de me revendre ton instrument et ton ampli pour, disons, 100€? On peut négocier. MP si intéressé
Melmoth a écrit :-3 : tu trouves des gens avec qui jouer. Ton voivin, ta petite soeur, ton collègue de bureau, n'importe qui avec qui tu te sens des affinités musicales. Ca reste la meilleure façon de progresser sans s'ennuyer et sans avoir l'impression de faire ça "pour rien". Et c'est le pied.
Absolument ! D'ailleurs, l'idée numéro 2 est compatible avec l'idée numéro 3
"Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti" (Albert Camus)
