Danielle Darrieux (1917-2017)
Publié : 1 mai 06, 18:44
Ayant revu récemment le film de Henri Decoin "La Vérité sur Bébé Donge" avec Jean Gabin et Danielle Darrieux. Evoquons ensemble le parcours cinématographique de cette dernière dont les premiers pas au cinéma remontent à 1931.
Danielle Darrieux, née en 1917 à Bordeaux, fille d'un médecin et d'une chanteuse, elle vécut très jeune à Paris, où elle entreprit des études universitaires avant de s'inscrire aux cours du Conservatoire.
Comme précisé ci-dessus, elle débuta à l'écran en 1931 dans des rôles d'ingénue (La crise est finie de Robert Siodmak, Mayerling de A. Litvak, Tarass Boulba de A. Granowsky) mais le point culminant se fera sous la direction de son mari (de 1935 à 1941) le réalisateur Henri Decoin après leur rencontre pour le film Domino vert (1935). Citons de cette période les films suivants : Mademoiselle ma mère (1936); Abus de confiance (1937); Retour à l'aube (1938); Battements de coeur (1939); Premier rendez-vous (1941)
Pendant la guerre, elle continua à tourner pour la firme allemande 'La Continental' devenant la vedette n°1. Elle participa en mars 1942 (comme nombres d'acteurs et d'actrices) à un voyage en Allemagne pour représenter le cinéma français...
En 1946, elle tourne sous la direction de P. Billon 'Ruy Blas' où elle a pour partenaire Jean Marais. S'ensuivent des rôles différents de ceux d'avant -guerre qui voit l'ingénue se transformer en femme forte, amoureuse et déterminée dans : Le Plaisir (1951) et Madame de ... (1953) de Max Ophuls, L'Affaire Cicéron (1952) de J.L Mankiewicz, Le Rouge et le noir (1954) de Claude Autant-Lara, l'Affaire des poisons (1955) de Henri Decoin, Marie-Octobre (1959) de Julien Duvivier.
Les années ont passé pour cette grande dame du cinéma français mais sa vitalité reste intacte comme le prouve ses dernières prestations cinématographiques, entre autres, Quelques jours avec moi de Claude Sautet (1988), Ca ira mieux demain de Jeanne Labrune (2000) 8 femmes de François Ozon (2002)
Danielle Darrieux, née en 1917 à Bordeaux, fille d'un médecin et d'une chanteuse, elle vécut très jeune à Paris, où elle entreprit des études universitaires avant de s'inscrire aux cours du Conservatoire.
Comme précisé ci-dessus, elle débuta à l'écran en 1931 dans des rôles d'ingénue (La crise est finie de Robert Siodmak, Mayerling de A. Litvak, Tarass Boulba de A. Granowsky) mais le point culminant se fera sous la direction de son mari (de 1935 à 1941) le réalisateur Henri Decoin après leur rencontre pour le film Domino vert (1935). Citons de cette période les films suivants : Mademoiselle ma mère (1936); Abus de confiance (1937); Retour à l'aube (1938); Battements de coeur (1939); Premier rendez-vous (1941)
Pendant la guerre, elle continua à tourner pour la firme allemande 'La Continental' devenant la vedette n°1. Elle participa en mars 1942 (comme nombres d'acteurs et d'actrices) à un voyage en Allemagne pour représenter le cinéma français...
En 1946, elle tourne sous la direction de P. Billon 'Ruy Blas' où elle a pour partenaire Jean Marais. S'ensuivent des rôles différents de ceux d'avant -guerre qui voit l'ingénue se transformer en femme forte, amoureuse et déterminée dans : Le Plaisir (1951) et Madame de ... (1953) de Max Ophuls, L'Affaire Cicéron (1952) de J.L Mankiewicz, Le Rouge et le noir (1954) de Claude Autant-Lara, l'Affaire des poisons (1955) de Henri Decoin, Marie-Octobre (1959) de Julien Duvivier.
Les années ont passé pour cette grande dame du cinéma français mais sa vitalité reste intacte comme le prouve ses dernières prestations cinématographiques, entre autres, Quelques jours avec moi de Claude Sautet (1988), Ca ira mieux demain de Jeanne Labrune (2000) 8 femmes de François Ozon (2002)