Dvdclassik : cinéma et DVD

Père Jules a écrit :Alors moi, c'est bien simple, si vous voulez me faire chialer, il faut au moins qu'un chat meure.

Tu dois en baver devant Itchy & Scratchy...

pol gornek a écrit :

Père Jules a écrit :Alors moi, c'est bien simple, si vous voulez me faire chialer, il faut au moins qu'un chat meure.

Tu dois en baver devant Itchy & Scratchy...

La race des seigneurs (1974)

C'est pas loin d'être très mauvais, mais il y a Sydne Rome. Voilà.

Tiens… mon top Granier Deferre

Solides :

Adieu, Poulet
Une étrange affaire
Le Chat


Bons :

La Horse
Le Toubib
L’étoile du nord
La Veuve Couderc


Ouais, bof :

L’Ami de Vincent
Cours privé
Noyade interdite


Le Zero dark souvenir :

La Métamorphose des cloportes


A l’exception peut-être des trois titres de tête, du cinoche un peu ronflant quand même, parfois relevé de castings féminins attractifs.

Après, faudrait peut-être que je réactualise tout ça. Tous les films de cette liste, je me rend compte que je les ai vu il y a plus de 20 ans !

Père Jules a écrit :La race des seigneurs (1974)

C'est pas loin d'être très mauvais, mais il y a Sydne Rome. Voilà.

J'ai le souvenir d'un drame politique assez agréable malgré une mollesse dans la mise en scène (que je rapproche de celle de Mille milliards de dollars d'Henri Verneuil). Je garde en mémoire la scène finale (assez touchante) et la musique de Sarde.

manuma a écrit : Le Zero dark souvenir :
La Métamorphose des cloportes

C'est très bien ça La Métamorphose des cloportes. Pas un grand film mais ça reste hautement recommandable, ne serait-ce que pour les dialogues d'Audiard, toujours aussi bien affutés.

Le chat

Pas revu depuis une quinzaine d'années.Grand film,aussi déprimant que Série Noire ou Buffet Froid quelques années plus tard.La mise en scène est pleine de délicatesse et l'idée de situer l'intrigue

Spoiler (cliquez pour afficher)

à Courbevoie,lors de la construction de la défense et des grands ensembles est brillante.Le parallèle entre la destruction du vieux Paris et la fin de l'amour entre Gabin et Signoret en dit plus long que n'importe quel dialogue.

Dieu sait que ce film est toujours d'actualité,je n'ai qu'à regarder dans mon entourage pour trouver des cas similaires.
un film intemporel.

manuma a écrit : Le Zero dark souvenir :

La Métamorphose des cloportes

lui “réduire la tranche”, le “miniaturiser”, le “dissoudre”... lui “mettre la tête en bas”, lui “faire vomir ses friandises” et “envoyer sa nana se faire bronzer à Dakar”... ou lui “faire bouffer son passe-montagne”, le “plonger dans l’eau froide” et “attendre que ça gonfle”. Une chose est sûre, faudra que ça fasse date...

Ben, c'est un discours que je me suis fait en pensant à mon ancien supérieur hiérarchique (on y revient).

L'homme aux yeux d'argent 1985

Un homme qui sort de prison après 15 ans et qui vient rechercher le butin d'un hold-up qu'il avait caché avant son arrestation. Un commissaire qui se prend pour un cow-boy et qui n'a qu'une idée en tête : le coincer et le tuer. Son adjoint aussi pervers... Une intrigue policière aussi inintéressante que peu crédible, une direction d'acteurs inexistante (Souchon et Lopert en mode Off ; Trintignant et Lambert Wilson en mode cabotinage éhonté). Néanmoins une ambiance mélancolique assez réussie (Souchon revient après 15 ans de prison dans une campagne transformée en cité dortoir où il ne reconnait rien de son enfance détruite par les promoteurs), un beau thème principal de Philippe Sarde et une jolie campagne française. Ca fait peu d'autant que le cinéaste semble s'être plus intéressé aux voitures des personnages (une DS, une plymouth et une coccinelle) qu'à ses personnages. Vraiment pas terrible.

Très ennuyeux, oui. Déjà qu'à l'époque c'était faiblard, aujourd'hui c'est quasi inregardable.

Discret hommage au Chat dans le dernier album dessiné par Florence Cestac (Un amour exemplaire, écrit par Daniel Pennac).
J'aime beaucoup le dessin "gros nez" de Cestac mais elle a un peu loupé Gabin, on dirait plutôt Daniel Gélin...

La Horse - 1970

Un western franchouillard, maladroit et bourrin qui semble prôner et justifier l'auto-justice et la violence (ou tout du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti) avec pour 'héros', un vieux réac pas du tout aimable ; très peu pour moi. De plus la mise en scène a bien vieilli et le très bon score de Gainsbourg colle assez mal aux images. Bref... je n'ai pas du tout aimé

Jeremy Fox a écrit :La Horse - 1970

Un western franchouillard, maladroit et bourrin qui semble prôner et justifier l'auto-justice et la violence (ou tout du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti) avec pour 'héros', un vieux réac pas du tout aimable ; très peu pour moi. De plus la mise en scène a bien vieilli et le très bon score de Gainsbourg colle assez mal aux images. Bref... je n'ai pas du tout aimé

J'ai le souvenir d'un film qui est sorti au même moment que Les chiens de paille et qui ne souffre paaaas du tout de la comparaison.

Major Tom a écrit :

Jeremy Fox a écrit :La Horse - 1970

Un western franchouillard, maladroit et bourrin qui semble prôner et justifier l'auto-justice et la violence (ou tout du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti) avec pour 'héros', un vieux réac pas du tout aimable ; très peu pour moi. De plus la mise en scène a bien vieilli et le très bon score de Gainsbourg colle assez mal aux images. Bref... je n'ai pas du tout aimé

J'ai le souvenir d'un film qui est sorti au même moment que Les chiens de paille et qui ne souffre paaaas du tout de la comparaison.

C'est le moins que l'on puisse dire. Au moins Peckinpah amorçait une réflexion sur le sujet. Granier-Deferre manque ici bien trop de subtilité.