c'est vrai qu'il y a un petit suspense.Mac Lean a écrit :Bah justement, j'ai toujours eu envie de le voir au cinéma, ce doit être une sacré expérience, en particulier avec les changements de formats et les passages au scope.Tuck pendleton a écrit :
celui là à la limite...
C'est vraiment fascinant, puis il y a des processus cinématographique intéressant comme les jeux avec la durée de la bobine ou le chrono que tient Clouzot. .
Femme Fatale (Brian De Palma - 2002)
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Ahhhh, "le mystère Picasso"... Ça m'avait bien fait chier ce film là lorsque je lai découvert en classe de filmo.Tuck pendleton a écrit :c'est vrai qu'il y a un petit suspense.Mac Lean a écrit :
Bah justement, j'ai toujours eu envie de le voir au cinéma, ce doit être une sacré expérience, en particulier avec les changements de formats et les passages au scope.
C'est vraiment fascinant, puis il y a des processus cinématographique intéressant comme les jeux avec la durée de la bobine ou le chrono que tient Clouzot. .
Ça m'a d'ailleurs fait penser à quelque chose de finalement très très proche...
Croat Romano Choukaleskou.
Désolé.
Hum... Tuck, Mac et Martin écrivent plus ici que sur le forum de BdP ou j'hallucine?
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Non, aujourd'hui, je me suis tapé la discute avec mon ami Hughes, le seul à être resté! Il y a de nouveaux topics sur MISSION TO MARS (pour un coup que j'en parle en bien!), LE BÛCHER DES VANITÉS, nos De Palma qu'on a le plus vu, etc. Et, bon, BASIC de McTiernan.Tuck pendleton a écrit :BdP c'est un peu le désert...et je contribue à sa desertification...désolé
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je vais faire un tourThe Rider a écrit :Non, aujourd'hui, je me suis tapé la discute avec mon ami Hughes, le seul à être resté! Il y a de nouveaux topics sur MISSION TO MARS (pour un coup que j'en parle en bien!), LE BÛCHER DES VANITÉS, nos De Palma qu'on a le plus vu, etc. Et, bon, BASIC de McTiernan.Tuck pendleton a écrit :BdP c'est un peu le désert...et je contribue à sa desertification...désolé
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Ouais, mais faut qu'il y ait une histoire qui tienne la route...sinon, ça fait exercice de style purement gratuit (et là, c'est le cas).Nikita a écrit :Pour reprendre encore Godard, je préfère largement ça à du vouloir dire et plus généralement, je me fous de savoir si un film signifie quelque choseO'Malley a écrit :Désolé, j'ai pas lu ce que vous avez écris précedemment car trop long;
En tout cas, mon jugement est sans appel: un gros NAVET qui ne veut strictement rien dire (ridicule de l'ouverture jusqu'au dernier plan).
Je pensais que De Palma avait atteint le fond avec L'esprit de Caen. Et ben non, il m'a prouvé qu'il pouvait encore creuser.
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J'arrive tard dans le débat mais il y a une phrase qui m'a fait tiquer:
Pour en revenir au sujet du topic, ce que je reprocherai à Femme Fatale serait plutôt son récit bien trop prévisible et ses indices voyants, sa direction d'acteurs catastrophique, sa photo laide à pleurer. Surtout, la force de De Palma a toujours été l'alliage de la vulgarité et de l'intensité émotionnelle, leur mariage rendant ses films uniques: ici, le film est virtuose mais c'est une virtuosité sans émotion.
Pourquoi réduire la littérature à ça? C'est faire comme si il n'y avait pas eu Céline, Faulkner, le Nouveau Roman... Le Festin Nu par exemple ne raconte rien mis à part les hallucinations et la paranoïa de son narrateur. La littérature peut aussi plonger le lecteur dans un océan de sensations sans passer par une narration romanesque classique. Et c'est pareil pour le cinéma: Millenium Mambo ne raconte pas grand chose mais le film a réussi à me faire ressentir par son rythme, sa mise en scène les émotions crées par la techno et la vie nocturne. Dois-je pour autant dire que ce n'est pas du cinéma?:)Cosmo Vitelli a écrit : Le cinéma ne sert pas uniquement à raconter (la littérature fait ça très bien). Je m'en fout que FF ne raconte pas grand chose, ce qui m'intéresse c'est qu'il me montre tant.
Pour en revenir au sujet du topic, ce que je reprocherai à Femme Fatale serait plutôt son récit bien trop prévisible et ses indices voyants, sa direction d'acteurs catastrophique, sa photo laide à pleurer. Surtout, la force de De Palma a toujours été l'alliage de la vulgarité et de l'intensité émotionnelle, leur mariage rendant ses films uniques: ici, le film est virtuose mais c'est une virtuosité sans émotion.
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