Dvdclassik : cinéma et DVD

Ramona est un délice pour toutes les raisons qu'avance Ann Harding, frisant parfois il est vrai, l'écoeurement pour qui n'est pas très sensible à ce cinéma profondément chrétien. On goûte avec délectation à ces moments de grâce qui exsudent au rythme serein des choeurs angéliques (on pense parfois à The song of Bernadette, autre réussite habitée et envoutante du réalisateur), une lumière ocre et dorée (très juste remarque d'Ann) d'un naturel stupéfiant, le propos pas si neutre que ça pour un film de type americana qui évite cependant l'écueil du manichéisme. (il y a du vice également chez cette servante indienne amoureuse du même homme que Ramona)

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le 6 avril

Jack Carter a écrit :le 6 avril

Vu qu'il figurait parmi les films du mois de pas mal d'entre vous, hâte de le découvrir !

Cycle Le monde selon Charlot en avril

Les feux de la rampe
Monsieur Verdoux
Le cirque
Le dictateur

et un doc inédit Sydney, l'autre Chaplin

le 17 avril

Yes !

Et à noter samedi 31 mars, une émission Retour de Flamme spécial W.C. Field on dirait

Jack Carter a écrit :le 6 avril

et le 20



deux films à ne pas louper !

le 24 avril, un western que je ne suis pas sur d'avoir vu chroniqué par Jeremy


Violence au Kansas (Melvin Frank, 1959)

Jack Carter a écrit :le 24 avril, un western que je ne suis pas sur d'avoir vu chroniqué par Jeremy


Violence au Kansas (Melvin Frank, 1959)

Jamais entendu parler : ça m'intéresse sacrément

Avec Bezzerides et Fenton au scénario ça peut le faire. Je suis curieux.

Rashomon a écrit :Avec Bezzerides et Fenton au scénario ça peut le faire..

Indeed

Cycle Belmondo en mai

Pierrot le fou
A bout de souffle
L'héritier
L'alpagueur
Stavisky
Les distractions
Les tricheurs

Jack Carter a écrit :le 24 avril, un western que je ne suis pas sur d'avoir vu chroniqué par Jeremy


Violence au Kansas (Melvin Frank, 1959)

Vraiment très sympa. La réalisation est pour ainsi dire sans intérêt mais le scénario est vraiment bien fichu avec des personnages complexes et ambigus, appuyés par quelques bons dialogues et un Jeff Chandler charismatique à souhait. Assez original au final.

Bof ; plus que moyen pour ma part ; hormis un postulat de départ et des personnages intéressants, j'ai trouvé ça terne à tous les niveaux. Quand Chandler n'est pas dirigé par un grand réalisateur, je ne lui trouve aucun charisme ; c'est le cas ici me concernant.