Notez les films Février 2011
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Notez les films Février 2011
Tequila Sunrise (Robert Towne, 1988)
Honnêtement, j'ai trouvé ce film très mauvais. Difficile de croire qu'il s'agit bien du grand scénariste et script-doctor Robert Towne qui soit l'auteur de ce petit polar californien atrophié et rempli de clichés. Où sont passés les dialogues exquis de Shampoo ? Où sont passées les astuces de Chinatown ? Où est passée la subtilité de Yakuza ? Towne est manifestement ici en panne sèche d'inspiration, son scénario éculé n'est pas bon et en plus, il n'arrive même pas à le sauver par sa mise en scène, qui est d'une platitude déconcertante. On trouve le temps très, très long. Roi de la complexification narrative, Towne récidive encore ici, sauf qu'à la différence d'un Chinatown dont l'intrigue labyrinthique était autant un modèle d'écriture qu'un hommage plein de panache aux scénarios à tiroirs des grands films noirs classiques, il emberlificote inutilement un script qui est finalement très simple, et qui est loin de casser des briques. Je dirais même franchement qu'il est inintéressant. Les dialogues - très pauvres pour du Towne - rendent ainsi de plus en plus opaque la trame, sans raison, sans grande justification. A séduit B qui est également attirée par C dont A ne sait pas si B travaille avec C qui est son ami mais pas trop etc... Les scènes s'imbriquent très mal entre elles, on dirait que Towne a oublié comment écrire un scénario. Ça en devient au final parfaitement grotesque (exemple au hasard : Raul Julia et Gibson sur le bateau à la fin). On sent l'ambition souterraine de Towne, qui tente de concilier différentes sous-intrigues (romance à trois, frères ennemis, indics, traîtres, etc) mais le trait est bien trop grossier, surtout en provenance d'un scénariste d'une telle envergure, cédant d'ailleurs aux sirènes de l'opportunisme, comme un cahier des doléances à remplir auprès du studio : scène de baise, happy-end, stars suffisamment glamour pour camoufler les énormités... Mel Gibson nous fait du Mel Gibson, Kurt Russell sauve les meubles comme il peut, et la grâce de la divine Michelle Pfeiffer reste bien le seul point d'attrait que puisse inspirer ce film raté et lénifiant.
Honnêtement, j'ai trouvé ce film très mauvais. Difficile de croire qu'il s'agit bien du grand scénariste et script-doctor Robert Towne qui soit l'auteur de ce petit polar californien atrophié et rempli de clichés. Où sont passés les dialogues exquis de Shampoo ? Où sont passées les astuces de Chinatown ? Où est passée la subtilité de Yakuza ? Towne est manifestement ici en panne sèche d'inspiration, son scénario éculé n'est pas bon et en plus, il n'arrive même pas à le sauver par sa mise en scène, qui est d'une platitude déconcertante. On trouve le temps très, très long. Roi de la complexification narrative, Towne récidive encore ici, sauf qu'à la différence d'un Chinatown dont l'intrigue labyrinthique était autant un modèle d'écriture qu'un hommage plein de panache aux scénarios à tiroirs des grands films noirs classiques, il emberlificote inutilement un script qui est finalement très simple, et qui est loin de casser des briques. Je dirais même franchement qu'il est inintéressant. Les dialogues - très pauvres pour du Towne - rendent ainsi de plus en plus opaque la trame, sans raison, sans grande justification. A séduit B qui est également attirée par C dont A ne sait pas si B travaille avec C qui est son ami mais pas trop etc... Les scènes s'imbriquent très mal entre elles, on dirait que Towne a oublié comment écrire un scénario. Ça en devient au final parfaitement grotesque (exemple au hasard : Raul Julia et Gibson sur le bateau à la fin). On sent l'ambition souterraine de Towne, qui tente de concilier différentes sous-intrigues (romance à trois, frères ennemis, indics, traîtres, etc) mais le trait est bien trop grossier, surtout en provenance d'un scénariste d'une telle envergure, cédant d'ailleurs aux sirènes de l'opportunisme, comme un cahier des doléances à remplir auprès du studio : scène de baise, happy-end, stars suffisamment glamour pour camoufler les énormités... Mel Gibson nous fait du Mel Gibson, Kurt Russell sauve les meubles comme il peut, et la grâce de la divine Michelle Pfeiffer reste bien le seul point d'attrait que puisse inspirer ce film raté et lénifiant.
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Re: Notez les films Février 2011
Il s'agirait plutôt d'un cahier des charges...
Ceci dit,je n'ai pas vu le film,sur lequel je n'ai pas lu beaucoup d'avis favorables...
A noter qu'il est cité très brièvement,à la fin d'Entretien avec un vampire,quand Brad Pitt explique qu'il a trouvé le moyen de voir levers (et couchers ...) de soleil , en allant au cinéma.On le voit entrer (dans les années 20) dans une salle qui projette l'Aurore (Murnau) et ressortir ,de nos jours, de la projection de Tequila Sunrise...
Ceci dit,je n'ai pas vu le film,sur lequel je n'ai pas lu beaucoup d'avis favorables...
A noter qu'il est cité très brièvement,à la fin d'Entretien avec un vampire,quand Brad Pitt explique qu'il a trouvé le moyen de voir levers (et couchers ...) de soleil , en allant au cinéma.On le voit entrer (dans les années 20) dans une salle qui projette l'Aurore (Murnau) et ressortir ,de nos jours, de la projection de Tequila Sunrise...
Dernière modification par riqueuniee le 1 févr. 11, 16:54, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films Février 2011
Ah oui, tiens. Déformation estudiantine.riqueuniee a écrit :Il s'agirait plutôt d'un cahier des charges...
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Re: Notez les films Février 2011
Personnellement ça ne m'étonne pas. Polanski le décrivait comme un mec très, très, très talentueux certes, mais aussi une feignasse content de soi plus occupé à lire un bouquin ou son journal en fumant sa pipe (ou ses cigares, je sais plus) qu'à réécrire ou rayer les passages inutiles de son scénario (en l'occurrence Chinatown que Polanski a passé à l'essorage). Donc l'opposé de Polanski, habitué avec Brach à passer des journées entières à réfléchir sur un seul mot du scénario. J'ai pu lire le scénario original de Chinatown. Dès la première scène, il y a deux pages de dialogues en plus où Gittes résonne son client qui veut vraiment buter sa femme (ça devenait cliché). C'est très intéressant parce qu'il y a travail de fou derrière (Towne y a certainement consacré des mois ou des années de sa vie), mais la première chose qui vient à l'esprit c'est que ça tient vraiment du roman.
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Re: Notez les films Février 2011
Il me semble que c'est dans Le Nouvel Hollywood de Biskind qu'on révélait que la mouture à peu près finale de Chinatown (avant que Polanski n'arrive sur le film), que Towne a écrit et remanié pendant des années, était aussi épaisse qu'un annuaire téléphonique.
Sinon, oui, ce scénario de Tequila Sunrise semble bien correspondre au portrait que Polanski semble dessiner de l'auteur. L'ambition de l'édifice s'écroule piteusement à force de tours de passe-passe "par ici que j't'embrouille", de personnages torchés, de mauvais dialogues et d'intrigue policière tellement rabâchée, mille fois vue en mieux, que ça en devient gênant. A en lire le bouquin de Biskind, Towne avait l'air d'être, à l'instar de ses contemporains, une sacrée personnalité, une sacrée tête de mule, sûr de son talent, capable d'imaginer des scénarios géniaux mais incapable de coucher la moindre ligne sur papier. D'où sa préférence à jouer les script-doctors confidentiels sur les scénarios de ses potes (Bonnie & Clyde, Le Parrain, A Cause d'un assassinat, Huit millions de façons de mourir...). Son meilleur ami Warren Beatty a fini par en avoir plus que marre, de l'attitude désinvolte de Towne. Biskind montre d'ailleurs bien la "chute" de Towne à partir des années 1980, avec les films où il était ouvertement scénariste - les méli-mélos Greystoke et The Two Jakes. Tequila Sunrise me semble bien représentatif de cette dégringolade de Towne. Seul maître à bord, il n'est plus bon à rien.
C'est quelqu'un qui, je crois, doit avoir pour collaborateur un cinéaste suffisamment fort et talentueux dans l'écriture pour le recadrer. Je pense bien sûr à Polanski, qu'il a discrètement retrouvé pour Frantic, à la même époque que Tequila Sunrise. Mais avec nettement plus de bonheur.
Sinon, oui, ce scénario de Tequila Sunrise semble bien correspondre au portrait que Polanski semble dessiner de l'auteur. L'ambition de l'édifice s'écroule piteusement à force de tours de passe-passe "par ici que j't'embrouille", de personnages torchés, de mauvais dialogues et d'intrigue policière tellement rabâchée, mille fois vue en mieux, que ça en devient gênant. A en lire le bouquin de Biskind, Towne avait l'air d'être, à l'instar de ses contemporains, une sacrée personnalité, une sacrée tête de mule, sûr de son talent, capable d'imaginer des scénarios géniaux mais incapable de coucher la moindre ligne sur papier. D'où sa préférence à jouer les script-doctors confidentiels sur les scénarios de ses potes (Bonnie & Clyde, Le Parrain, A Cause d'un assassinat, Huit millions de façons de mourir...). Son meilleur ami Warren Beatty a fini par en avoir plus que marre, de l'attitude désinvolte de Towne. Biskind montre d'ailleurs bien la "chute" de Towne à partir des années 1980, avec les films où il était ouvertement scénariste - les méli-mélos Greystoke et The Two Jakes. Tequila Sunrise me semble bien représentatif de cette dégringolade de Towne. Seul maître à bord, il n'est plus bon à rien.
C'est quelqu'un qui, je crois, doit avoir pour collaborateur un cinéaste suffisamment fort et talentueux dans l'écriture pour le recadrer. Je pense bien sûr à Polanski, qu'il a discrètement retrouvé pour Frantic, à la même époque que Tequila Sunrise. Mais avec nettement plus de bonheur.
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Re: Notez les films Février 2011
Le Retour de la Momie (Stephen Sommers, 2001)
Exemple typique du film que t'es allé voir au ciné, que t'as maté en boucle dans ta jeunesse et qui te fait bien mal à la révision 10 ans plus tard. Si le premier volet était plutôt un bon film d'aventures (avec un score épique de Jerry Goldsmith), sa suite, comme souvent dans ces cas-là, a été torchée à la va-vite : il faut battre le fer tant qu'il est encore chaud. On reprend donc les mêmes et on recommence dans les grandes largeurs, mais avec plus de momies à trucider, plus de décors en CGI, plus de personnages secondaires, plus de révélations tordantes, plus d'Égypte ancienne pour les sous-doués bouffeurs de pop-corn (ironie inside). Sommers met le paquet sur les scènes d'action qui se succèdent à un rythme soutenu (et sont lisibles), mais se contrefout de la qualité ou même de la présence de son histoire. Évoluant dans un minimalisme scénaristique, les personnages, plutôt sympathiques dans le premier volet, perdent ici du coup toute saveur, affublés qu'ils sont d'un festival de dialogues confondants d'indigence et d'une pseudo sous-intrigue grotesque, qui tente de se raccrocher à l'épisode précédent pour mieux nous prendre pour des débiles. Du coup, la parade, c'est : "faisons comme si on s'amusait tous pour faire oublier que le scénariste s'est fait kidnapper par les E.T. après l'encaissement de son chèque". Le film devient par la même occasion un festival de cabotinages franchement saoulants. John Hannah nous fait son Jar Jar Binks, le pilote noir et faux borgne nous fait son Eddie Murphy, Arnold Vosloo nous fait la même trogne de méchant cruel et content d'être cruel, Rachel Weisz se demande ce qu'elle fout là. Le vieillissement fatal des CGI est ici particulièrement visible (le roi Scorpion : beurk !).
Exemple typique du film que t'es allé voir au ciné, que t'as maté en boucle dans ta jeunesse et qui te fait bien mal à la révision 10 ans plus tard. Si le premier volet était plutôt un bon film d'aventures (avec un score épique de Jerry Goldsmith), sa suite, comme souvent dans ces cas-là, a été torchée à la va-vite : il faut battre le fer tant qu'il est encore chaud. On reprend donc les mêmes et on recommence dans les grandes largeurs, mais avec plus de momies à trucider, plus de décors en CGI, plus de personnages secondaires, plus de révélations tordantes, plus d'Égypte ancienne pour les sous-doués bouffeurs de pop-corn (ironie inside). Sommers met le paquet sur les scènes d'action qui se succèdent à un rythme soutenu (et sont lisibles), mais se contrefout de la qualité ou même de la présence de son histoire. Évoluant dans un minimalisme scénaristique, les personnages, plutôt sympathiques dans le premier volet, perdent ici du coup toute saveur, affublés qu'ils sont d'un festival de dialogues confondants d'indigence et d'une pseudo sous-intrigue grotesque, qui tente de se raccrocher à l'épisode précédent pour mieux nous prendre pour des débiles. Du coup, la parade, c'est : "faisons comme si on s'amusait tous pour faire oublier que le scénariste s'est fait kidnapper par les E.T. après l'encaissement de son chèque". Le film devient par la même occasion un festival de cabotinages franchement saoulants. John Hannah nous fait son Jar Jar Binks, le pilote noir et faux borgne nous fait son Eddie Murphy, Arnold Vosloo nous fait la même trogne de méchant cruel et content d'être cruel, Rachel Weisz se demande ce qu'elle fout là. Le vieillissement fatal des CGI est ici particulièrement visible (le roi Scorpion : beurk !).
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Re: Notez les films Février 2011
Le roi Scorpion en CGI était déjà mal foutu à l'époque.
J'ai toujours trouvé cette suite décevante, par rapport au premier opus qui était une jolie surprise.
Par contre La Momie 3, c'était même pas le peine d'espérer quelque chose de potable.
J'ai toujours trouvé cette suite décevante, par rapport au premier opus qui était une jolie surprise.
Par contre La Momie 3, c'était même pas le peine d'espérer quelque chose de potable.
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Re: Notez les films Février 2011
Jericho a écrit :Par contre La Momie 3, c'était même pas le peine d'espérer quelque chose de potable.
Celui-là, je ne l'ai pas encore vu. Mais il part avec un handicap sérieux : l'absence de Rachel Weisz. Au moins, dans Le Retour de la Momie, il y avait matière à passer le temps. Quoiqu'elle n'y soit pas aussi jolie que dans The Fountain.
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Re: Notez les films Février 2011
J'ai bien aimé cette Momie 3.J'ai même trouvé ce film bien plus intéressant que le dernier Indiana Jones,sorti à la même période.
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Re: Notez les films Février 2011
Ajoutez à cela la présence de Rob Cohen derrière la caméra, et celle de Randy Edelman (!?) à la musique...et on obtient du navet pur jus (malgré Maria Bello que j'aime bien).Demi-Lune a écrit :Jericho a écrit :Par contre La Momie 3, c'était même pas le peine d'espérer quelque chose de potable.
Celui-là, je ne l'ai pas encore vu. Mais il part avec un handicap sérieux : l'absence de Rachel Weisz
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Re: Notez les films Février 2011
riqueuniee a écrit :J'ai bien aimé cette Momie 3.J'ai même trouvé ce film bien plus intéressant que le dernier Indiana Jones,sorti à la même période.
Justement, c'est le film à comparer pour dire qu'en terme de mise en scène, le Spielberg est loin d'être mauvais !
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Re: Notez les films Février 2011
Quand t'auras l'opportunité de le voir, tu remarqueras que la non présence de Rachel Weisz est complètement accessoire au regard du ratage intégral qu'est le film.Demi-Lune a écrit :Jericho a écrit :Par contre La Momie 3, c'était même pas le peine d'espérer quelque chose de potable.
Celui-là, je ne l'ai pas encore vu. Mais il part avec un handicap sérieux : l'absence de Rachel Weisz. Au moins, dans Le Retour de la Momie, il y avait matière à passer le temps. Quoiqu'elle n'y soit pas aussi jolie que dans The Fountain.
Rob Cohen fait n'importe quoi à la réalisation, c'est peut être ce qu'il a fait de pire dans sa médiocre carrière. Et Jet Li sert strictement à rien à part cachetonner. Le pauvre il a une scène d'action, mais même là il n'est pas mis en valeur: puisque c'est mis en scène et monté avec les pieds.
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Re: Notez les films Février 2011
Mince alors, je me suis bien amusé devant le retour de la momie, mais aussi devant le troisième opus, qui est sans doute plus "série B" dans son approche, avec les bestioles loufoques et des péripéties peu crédibles, mais ces deux films m'ont fait l'impression de donner une suite plaisante à un premier film qui, de toute façon, ne tutoie pas vraiment les sommets (si l'on excepte peut-être la BO de Goldsmith).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Notez les films Février 2011
Enfin un qui a aimé...Certes,ces films ne "tutoient pas les sommets".Mais ils remplissent bien leur contrat : des films peut-être pas très ambitieux,mais pas débiles,avec des effets spéciaux spectaculaires,et très distrayants.
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Re: Notez les films Février 2011
Pas débiles ?
Et des effets spéciaux spectaculaires ? Ca, par contre ça veut tout dire.
Et des effets spéciaux spectaculaires ? Ca, par contre ça veut tout dire.