Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
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Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Le 7 décembre prochain, mon nouveau livre, Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement, sortira dans la collection "raccords" de Rouge Profond. Il s'agit d'un ouvrage grand format (21,5 cm sur 26,5 cm) qui, s'appuyant sur un gros travail de recherche débuté en 2011, contient de nombreux "scoops".
Plus de 350 pages.
Quatrième de couverture : "Avec une audace peu commune, Samuel Fuller a réalisé des films noirs (Le Port de la drogue), des westerns (Quarante tueurs) et des films de guerre (Au-delà de la gloire), genre qu’il nourrit de sa longue expérience de soldat durant la Seconde Guerre mondiale. De l’ensemble de sa filmographie, il est bien entendu question dans Samuel Fuller, jusqu’à l’épuisement, mais aussi de différents textes – pulp fictions écrites dans les années 1930 et 1940, nouvelles et articles – qui ont posé les jalons de son cinéma. Il a eu en effet plusieurs vies : il a été journaliste, romancier, scénariste, producteur et réalisateur, mais aussi attaché de presse, dessinateur politique et bien d’autres choses encore.
Ce sont donc les multiples facettes d’un homme infatigable que Frank Lafond a mis en lumière grâce à un patient travail de recherche. Tout au long de Samuel Fuller, jusqu’à l’épuisement, les analyses formelles et thématiques s’entremêlent à une approche historique et génétique. Cette vision de Fuller au travail s’appuie sur un vaste ensemble de documents (archives du code Hays, scénarios et traitements, lettres et télégrammes, interviews oubliées, etc.) qui contribue à dégager l’originalité fondamentale de ses films. Deux d’entre eux, J’ai vécu l’enfer de Corée et Dressé pour tuer, font l’objet de récits complexes, où viennent s’entrechoquer des questions d’ordre esthétique, social et politique. Enfin, l’influence du New York Evening Graphic et de la tradition dont relève ce tabloïd où a travaillé le jeune Sammy est complètement réévaluée : poser la question du journalisme et, concrètement, du journal, c’est ici parler de cinéma.
L’iconographie du livre, abondante, a bénéficié de la plus grande attention, pour permettre au lecteur de découvrir dans les meilleures conditions des visuels des films et des documents rares ou inédits."
Plus de 350 pages.
Quatrième de couverture : "Avec une audace peu commune, Samuel Fuller a réalisé des films noirs (Le Port de la drogue), des westerns (Quarante tueurs) et des films de guerre (Au-delà de la gloire), genre qu’il nourrit de sa longue expérience de soldat durant la Seconde Guerre mondiale. De l’ensemble de sa filmographie, il est bien entendu question dans Samuel Fuller, jusqu’à l’épuisement, mais aussi de différents textes – pulp fictions écrites dans les années 1930 et 1940, nouvelles et articles – qui ont posé les jalons de son cinéma. Il a eu en effet plusieurs vies : il a été journaliste, romancier, scénariste, producteur et réalisateur, mais aussi attaché de presse, dessinateur politique et bien d’autres choses encore.
Ce sont donc les multiples facettes d’un homme infatigable que Frank Lafond a mis en lumière grâce à un patient travail de recherche. Tout au long de Samuel Fuller, jusqu’à l’épuisement, les analyses formelles et thématiques s’entremêlent à une approche historique et génétique. Cette vision de Fuller au travail s’appuie sur un vaste ensemble de documents (archives du code Hays, scénarios et traitements, lettres et télégrammes, interviews oubliées, etc.) qui contribue à dégager l’originalité fondamentale de ses films. Deux d’entre eux, J’ai vécu l’enfer de Corée et Dressé pour tuer, font l’objet de récits complexes, où viennent s’entrechoquer des questions d’ordre esthétique, social et politique. Enfin, l’influence du New York Evening Graphic et de la tradition dont relève ce tabloïd où a travaillé le jeune Sammy est complètement réévaluée : poser la question du journalisme et, concrètement, du journal, c’est ici parler de cinéma.
L’iconographie du livre, abondante, a bénéficié de la plus grande attention, pour permettre au lecteur de découvrir dans les meilleures conditions des visuels des films et des documents rares ou inédits."
Dernière modification par Holden le 12 oct. 17, 08:59, modifié 1 fois.
- Jack Carter
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Vivement le 7 decembre, donc.
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Bravo. Voilà une idée à souffler pour mon Noël
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Merci. C'est un livre qui me tient tout particulièrement à coeur et je peux d'ores et déjà annoncer que j'en ferai une présentation à Paris.
Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Félicitations ! Rendez-vous est pris.
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Merci à tous. En fait, je ferai deux interventions autour du livre à Paris et non une. Et j'espère évidemment avoir l'occasion de parler de Fuller en dehors de la capitale…
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Le livre vient de partir à l'imprimerie et une mise à jour s'impose donc. Il fait 356 pages grand format (21,5 cm sur 26,5 cm), comporte plus d'un million de signes et environ 600 images (noir & blanc et couleur) ainsi qu'une préface écrite par Jim Jarmusch. Tout cela pour 45 euros (ne pas se fier au prix actuellement donné sur les sites de vente).
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Presque un mois après la sortie de mon livre, le jeudi 4 janvier 2018 donc, je ferai une conférence sur Samuel Fuller à la Cinémathèque française : http://www.cinematheque.fr/seance/28001.html
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Et pourquoi pas une présentation du livre et une dédicace, les 26 et 27 janvier 2018 aux " Cinglés du cinéma " à Argenteuil ?
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Pourquoi pas en effet ? Si je suis invité, je ferai très volontiers le déplacement.
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Re: Samuel Fuller, jusqu'à l'épuisement
Pour les impatients, le livre est déjà en stock sur Amazon…