Et si on faisait partager les photographies qui nous touchent, qui nous émeuvent, qui nous font rire, bref, les clichés des autres (photographes connus ou non) qui ne nous laissent pas indifférents ?
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
M_RiK a écrit :Jolie manière de dire que les autres (que j'ai postées) sont moches
Tête de moule !
Mais non, mais c'est vrai qu'elles me touchent moins
Swan a écrit :Xuxu, tu as d'autres posts qui ont disparu ?
Tu as raison (cf topic Hack), mes messages sont bien là. J'ai l'impression que ça va mieux mais tout à l'heure c'était un beau foutoir, même en ayant redémarré mon ordi. Là, c'est mieux.
One of the most unusual assignments that McNally was given during his stint at Life, was to photograph four people who had been subjects of Pulitzer Prize winning photographs. One of those was Kim Phuc who, twenty-five years earlier as a nine-year-old girl, had made front pages around the globe in Huynh Cong "Nick" Ut's extraordinary photograph of her running naked down a road in Viet Nam, covered in napalm. Ut's photograph of Phuc was one of the images that brought the inhumanity of war to millions of people.
In order to make a connection to Ut's historic photograph, McNally knew that he had to reveal her ravaged and scarred body.
"Sometimes you have to just ask someone, you have to be very direct," he says. "I said to her, 'Kim, to make this picture work, I have to be able to see the scars.' And she knew that. Thankfully she had what was maybe the most wonderful baby in the world at the time, Thomas, and she was still breast feeding him which gave us a very natural way to show her life, her positive nature, her love for this new child and still show the scars that war had left on her physically
Mon peintre contemporain préféré : le canadien Jeff Wall. Ses photos sont toujours exposés en grand format sur des caissons éclairés, identiques à ceux qui servent pour les pubs dans le métro ou les abribus. Derrière l'apparente simplicité de l'image, un travail extrêmement poussé sur la mise en scène et les références picturales. Chaque photo est souvent le fruit de plusieurs jours de prises de vue et de préparatif, avec parfois l'usage de l'outil informatique pour mettre ensemble des éléments disparates.
Celle-ci est ma préférée (là j'ai rien trouvé de mieux comme repro).
