Top Opéra

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Billy Budd
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Re: Top Opéra

Message par Billy Budd »

Aragorn Elessar a écrit :Merci :wink: Je pense qu'on ira voir La Bayadère. Les places à 50 euros permettent d’apprécier le ballet correctement ?
Oui, La Bayadère est à La Bastille - à Garnier, les deuxièmes ou troisièmes rangs des loges sont en revanche catastrophiques.

Prends des jumelles de théâtre, pour certains détails, c'est pratique.
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Re: Top Opéra

Message par Aragorn Elessar »

Merci :wink:
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Re: Top Opéra

Message par julien »

Ça craint La Bayadère.
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Billy Budd
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Re: Top Opéra

Message par Billy Budd »

julien a écrit :Ça craint La Bayadère.
Sauf si on aime la danse classique.
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Re: Top Opéra

Message par julien »

Oui enfin c'est surtout la musique de Leon Minkus que je trouve ronronante. Bon c'était pas encore la grande période des Ballets Russes. Oui après pour le type qui apprécie la danse avant tout, ça peut être sympa.
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-Kaonashi-
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Re: Top Opéra

Message par -Kaonashi- »

Zut, à Amsterdam va se jouer fin février un opéra de Rimski-Korsakov que je rêve de voir sur scène, La Légende de la ville invisible de Kitège. Et je ne peux pas y aller, du tout.
J'espère que ce sera rejoué bientôt et pas trop trop loin ! En attendant je ré-écouterai l'enregistrement dirigé par Gergiev.

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Re: Top Opéra

Message par julien »

Il existe aussi un dvd, édité chez Naxos, filmé au théâtre lyrique de Cagliari et dirigé par Alexander Vedernikov. Il parait que la production scénique est assez décevante mais la qualité de l'orchestre de bon niveau.

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Re: Top Opéra

Message par Xavier »

Je crois qu'il n'y a pas de sous-titres français...

Mais le plus important c'est que cet opéra va être joué à Bastille prochainement. :) (dans 2 saisons je crois)
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-Kaonashi-
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Message par -Kaonashi- »

Xavier a écrit :Je crois qu'il n'y a pas de sous-titres français...

Mais le plus important c'est que cet opéra va être joué à Bastille prochainement. :) (dans 2 saisons je crois)
Bonne nouvelle ! J'avais justement lu sur ton forum que Nicolas Joël prévoyait Kitège pour bientôt à l'Opéra de Paris. Je me demande juste quelle est la source de ces propos.
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Re: Top Opéra

Message par Xavier »

Je n'ai pas la source précise mais apparemment ça vient de plusieurs recoupements assez fiables. Ca serait pour 2015.

Pour le DVD, on voit le verso sur Amazon, j'ai vérifié, il n'y a que des sous-titres anglais, vraiment dommage.
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Re: Top Opéra

Message par julien »

Oui. Enfin, à défaut, on peut toujours se rapporter aux traduction qu'il y a sur le livret du cd ou encore, celles que l'ont peut trouver sur la revue de l'Avant scène. Oui sinon, c'est intéressant cette nouvelle production de Kitège à la Bastille, d'autant que les opéras de Rimski-Korsakov sont quand même rarement donnés en France. Espérons juste, que ça ne sera pas chanté en français !
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Re: Top Opéra

Message par Xavier »

Vu les chanteurs russes qui sont prévus, ça m'étonnerait!

Pour le DVD, je trouve ça vraiment lamentable... on ne regarde pas un DVD pour être rivé sur une traduction papier alors qu'il y a un système de sous-titres qui est normalement fait pour...
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Re: Top Opéra

Message par Jordan White »

-Kaonashi Yupa- a écrit :Zut, à Amsterdam va se jouer fin février un opéra de Rimski-Korsakov que je rêve de voir sur scène, La Légende de la ville invisible de Kitège. Et je ne peux pas y aller, du tout.
J'espère que ce sera rejoué bientôt et pas trop trop loin !
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Il y a eu des représentations depuis début février en fait. La dernière est donnée le 1er mars à 18h30. C'est grillé aussi pour toi le 1er mars ?
L'opéra est situé à Waterlooplein, à quatre cent mètres du (très beau) zoo de la ville.
Depuis la gare centrale (Amsterdam Centraal), le plus simple je pense pour le trouver : descendre Zeedjik qui est une longue artère commerciale (restaurant, cafés, boutiques, etc) de la ville jusqu'à Nieuwmarkt, continuer sur Antoniesbreestraat, jusqu'à Rembrandthuis (la maison natale de Rembrandt) jusqu'à l'Opéra. Et tu seras passé par deux quartiers en même temps : le quartier chinois et juif de la ville.
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Message par -Kaonashi- »

Jordan White a écrit :Il y a eu des représentations depuis début février en fait. La dernière est donnée le 1er mars à 18h30. C'est grillé aussi pour toi le 1er mars ?
Je sais tout ça, je parlais en connaissance de cause, j'avais mis "fin février" pour faire court, mais tu conviendras qu'entre cette expression et 1er mars (un jeudi, donc), il n'y a pas une énorme différence.
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Re: Top Opéra

Message par julien »

EINSTEIN ON THE BEACH
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Une reprise de l’une des œuvres mythiques du XXe siècle
À l'Opéra Berlioz du Corum de Montpellier le spectacle légendaire de Robert Wilson, Philip Glass et Lucinda Childs, vient de renaître, le temps de trois représentations. Vingt ans que l'œuvre n'avait plus été jouée, et sa musique, écrite en 1975, reste toujours aussi fascinante par son déferlement sonore hypnotique.

L’opéra prend pour thème le scientifique que tout le monde connaît, héros du siècle dernier, pacifiste et père de la théorie de la relativité qui a conduit à la bombe atomique. Einstein est représenté par un violoniste moustachu à la tignasse blanche, situé en surplomb de la fosse d’orchestre, incarné par le musicien David Silverman. Parfois absent, il revient d’une manière récurrente pendant toute l’œuvre en jouant du violon, instrument que pratiquait le scientifique durant ses heures de divertissement.

Dés l’entrée en salle, on est embarqué ! Avant même l’arrivée des premiers spectateurs, l’œuvre débute tout de go par le premier « knee play » ; sorte d’ interlude lyrique, interprété par le chœur et les récitants ; et qui assure la transition entre chacun des actes.
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«Einstein» de retour à la plage.
Indifférentes au brouhaha qui persiste tandis que le public termine de s'installer, Helga Davis et Kate Moran, les deux comédiennes, à l’allure irréelles et mécaniques récitent des phrases étranges, répétées à l’infini comme murmurées à l’oreille du spectateur. L'une déclame des chiffres, sans ordre particulier, l'autre dit un texte surréaliste d'un poème de Christopher Knowles ; un jeune autiste, ami du metteur en scène Bob Wilson, auteur d’une partie du livret d’Einstein on the Beach.

Pendant prés de cinq heures, sans aucune interruption, on s’immerge progressivement dans une sorte de rêve éveillée, entre le caractère hypnotique de la répétitivité, la force des lumières de Bob Wilson, et la fluidité des chorégraphies de Lucinda Childs qui fait fusion entre le son et l’image.

Quelques extraits vidéos de la représentation du Samedi 17 Mars, agencés dans l’ordre chronologique de la représentation.
Même s’il est difficile de se faire une idée globale de la qualité du spectacle sur ces quelques extraits ; la richesse plastique de l’œuvre s’accorde en effet assez mal à la captation vidéo, qui fragmente le cadre et en diminue l’intensité visuelle ; la maîtrise plastique de Bob Wilson atteint des sommets, avec l’économie de moyens qui caractérise sa manière. On peut y voir aussi un hommage à la précision des travaux scientifiques d’Einstein., évoqués aussi par les litanies de chiffres psalmodiés ainsi qu’aux peintres minimalistes new-yorkais des années 70 ou de l’école surréaliste européenne. Quand aux interprètes, ils sont vêtus d’une chemise blanche, d’un pantalon à taille haute tenu par de fines bretelles qui se réfère aux portraits que l’on connaît du scientifique.
« La principale particularité d’Einstein on the Beach, c’est que ça ne raconte rien. »
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L'acte surréaliste du "Procés", qui n'aurait sans doute pas déplu à Lewis Carroll.
Au début, le public semble demeurer particulièrement perplexe et médusé devant les premiers tableaux, où il ne se passe quasiment aucune action ni dramaturgie ; seulement des corps, des projections d’images ou des objets en mouvement, passant de gauche à droite ou de haut en bas de la scène… Chacun des quatre tableaux de l’opéra, en totale fusion avec la partition tonitruante et répétitive de Glass, qui ne s’interrompt jamais, évoque différentes manières de représenter l’espace ; par exemple une locomotive stylisée qui avance et recule. C’est en effet avec un train que le savant expliquait la relativité.

Bien sûr, on pourrait reprocher au spectacle de cultiver un trop plein d’abstraction allant parfois jusqu’à l’ incohérence la plus totale. Les textes écrit par Samuel M. Johnson et Christopher Knowles n’arrangent rien à l’affaire et tiennent plus du rébus ou du casse tête chinois. Ils n’entretiennent quasiment aucune quelconque parenté avec l’œuvre d’Einstein et la direction de l’opéra de Montpellier n’a d’ailleurs pas jugé bon de mettre des sous-titres.
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A Montpellier, l’expérience « Einstein on the Beach »
Lors de la conférence qui avait eu lieu peu avant la représentation, on s’attendait aussi à ce que Wilson nous révèle sa propre interprétation de l’œuvre mais la seule explication à laquelle on a eu droit était qu’il n’y avait aucun sens dans Einstein on the Beach et que c’était à tout un chacun de le trouver… Évidemment ceux qui venait là principalement par intérêt pour les travaux du scientifique, on dû en rester comme deux ronds de flancs ; ce sont probablement les mêmes qui sont partis dés la fin du 1er acte. Ils étaient déjà bien achevés lors de la scène du premier procès, interminable de statisme et qui devait bien duré jusqu’à 25mn.

Il faut préciser aussi que l’une des particularités d’Einstein on The Beach, comme l’indique le panneau, placardé à l’entrée de la salle, est, que le spectateur a la liberté d’entrer et de sortir pendant n’importe quel moment de la représentation ; ce qui a pour effet de semer un peu le trouble et la confusion dans les rangées, puisque qu’à tout bout de champ, les spectateurs se lèvent, quittent leur fauteuil, se rassoient en dérangeant toute les spectateurs ; mais eux aussi, d’une certaine manière, participent à cette notion de mouvement, et de renversement des règles, qui jalonne l’ensemble de l’œuvre. Le spectacle était donc également dans la salle et il était par ailleurs intéressant de relever les réactions de certains spectateurs outrés par le bruit et les conversations des gens ; probablement des abonnés, accoutumés aux concerts de musiques plus traditionnels.
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Le rêve éveillé de Bob Wilson.
L’une des autres singularités de l’opéra réside également dans la diversité des tableaux, qui se révèlent chacun très différents, permettant ainsi de dynamiser le spectacle scénique. Ainsi après l’ambiance glaciale et austère du premier acte, on passe à une fulgurante chorégraphie de Lucinda Childs au rythme et à la beauté envoûtante. La salle commence à se chauffer enfin, en applaudissant vivement les danseurs, dés la fin du mouvement, qui devait bien duré quand même dans les 20 minutes…

Les chorégraphies originales d’Andy De Groat, à l’exception des solos de Lucinda Childs, sont désormais totalement à la charge de cette dernière depuis les reprises de 1984 et 1996. De même nature que celle de « Dance », ce chef d’œuvre que Lucinda Childs composa également sur des pages de Phil Glass en 1978, en collaboration avec l’artiste minimaliste Sol Lewitt.
« Mais c’est Infernal ! » Réaction d’une spectatrice apeurée, durant la représentation de Dance I.
Jamais narratif, l’opéra se veut davantage une succession de chocs esthétiques, assez proche de la poésie du théâtre Nô que de la conception classique du théâtre à l’européenne. La partition de Glass, qui reste quand même l’un des principal centre d’intérêt de l’œuvre, se réfère elle même également à l’orient puisque le compositeur indien, Ravi Shankar fut l’une des principale influence du compositeur, qui trouvera dans l’utilisation de formules mélodiques greffées sur des rythmes perpétuels, une nouvelle manière de composer. Il élabore cette technique, tout au long de la décennie 70, qu’il parachève dans le fameux Music in 12 parts, que l’ont peut considérer comme la matrice des compositions ensorcelantes d’Einstein on the Beach.
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« Dans un spectacle, le texte, la musique, les gestes des acteurs ou des danseurs, la lumière, le décor, tout existe indépendamment ; mais c’est la combinaison de l’ensemble qui fait l'œuvre. » Bob Wilson.
Pour cette nouvelle production, toute une équipe nouvelle a été réunie mais la musique et les chœurs époustouflants sont toujours sous la direction de Michael Riesman, un fidèle du compositeur, qui travaille avec lui depuis les débuts de la création du Philip Glass Ensemble, et que l’on pouvait reconnaître dans la fosse en train de diriger les choristes. Par rapport au disque ; la musique, constitué principalement de bois, d’un violon et de synthétiseurs possède en live beaucoup plus de relief et même si a certains moment le chœur à quelque peu du mal à suivre le rythme incantatoire et monomaniaque de la partition musicale, il arrive néanmoins à relever le même niveau d’excellence, de la version enregistré chez Nonesuch en 1993.

Le public, un brin circonspect au début, est finalement conquis au cours du superbe Train de Nuit, du deuxième Acte, que l’ont peut interpréter comme une parodie du duo d’amour de l’opéra romantique. Ici, à la place des traditionnelles effusions sentimentales de rigueur, on a droit à une énumération répétitive avec des interprètes comptant les rythmes (1-2-3-4, 1-2-3) ou chantant les noms des notes de musique (do-si-do-si-do-si-la…). Dans l’esprit de dérision, on n’est même pas bien loin du fameux duo des chats de Rossini.
L’opéra culmine ensuite lors du superbe aria, pour voix et orgue, magnifiquement interprété par la soliste Hai-Ting Chinn, où pendant prés de 20mn, un rectangle lumineux sur fond noir, s’élève lentement dans les airs. Puis dés l’apparition de l’impressionnante peinture du Building, la salle applaudit à tout rompre, de ce qui restera comme l’un des passage musical les plus fascinant de la soirée, avec cet enivrant solo de saxophone surfant par-dessus des arpèges continues de notes synthétiques, et d’un chœur à l’unisson.
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La scène étonnante du "Building", avec ses personnages qui pénètrent sur scène et se figent sur place tels des statues de cires.
Puis vient la grande scène finale flamboyante, représenté par un gigantesque échafaudage, composé de cases superposées où des personnages s’activent face à des cadrans circulaires, qui font un peu penser à la salle des machines du Métropolis de Lang ; tandis qu’un personnage démoniaque entonne une danse hystérique : la « FlashDance » comme la surnomme Bob Wilson, et qu’il interprétait lui-même dans la représentation originale de 1976. Le spectacle s’achève comme il a commencé ; par le dernier Knee Play, qui met en scène les deux personnages féminins du début, assises sur un banc, attendant l’arrivée d’un bus mystérieux…

« Le spectacle commence avec un train du XIXe siècle et s’achève sur une explosion atomique avec un vaisseau spatial du XXe siècle. S’il fallait imaginer un symbole pour le XXIe siècle, ce serait évidemment internet. Mais il est certain que le plus important pour Bob est que la bombe atomique représente l’entrée définitive dans le monde moderne. Et là, on est obligés d’être d’accord. » Philip Glass.
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Philip Glass et Robert Wilson, photographiés en 1976 par Robert Mapplethorpe.
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Les mêmes trente ans plus tard. Le temps a passé mais l’énergie créatrice demeure intacte.
La tournée qui suit conduit le spectacle jusqu'à l'Opéra d'Amsterdam en janvier 2013 en passant par Reggio Emilia en Italie, où il se joue actuellement, puis Londres en mai avant d'aller jusqu'à Toronto, New York, Berkeley et Mexico.
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A noter également, la publication prochaine, prévue pour le moi d'avril, d’un ouvrage sur Einstein on The Beach, publié aux éditions Dilecta Eds.

Plus d'infos, sur cette page.
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