Jack Sullivan a écrit :J'ai parcouru ce topic en diagonale, je m'étonne un brin de ne pas y trouver Michael Connelly, auteur de Créance de sang adapté par Eastwood, mais pas que: sa série tournant autour du détective Harry Bosch, dans un L.A. poisseux et sombre, vaut le détour!
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En ce qui concerne Créance de sang, je ne le répèterai jamais assez : le bouquin est beaucoup moins abracadabrantesque et accumule moins de coïncidences grincentes que le film de Eastwood.
Sinon, je n'ai pas dû arriver à la 100ème page du dernier Bosch. Je ne les ai pas tous lu, mais jusqu'à présent, ceux que j'ai lu, je les ai terminé.
Mais là j'ai eu du mal : on sent la recette. C'est vraiment dommage, parce que la voie empruntée dans le précédent était intéressante et promettait d'apporter un vrai renouvellement à la série. Et là on assiste à un retour en arrière, justifié de façon totalement bancale.
Nimrod a écrit :
Sinon, je n'ai pas dû arriver à la 100ème page du dernier Bosch. Je ne les ai pas tous lu, mais jusqu'à présent, ceux que j'ai lu, je les ai terminé.
Mais là j'ai eu du mal : on sent la recette. C'est vraiment dommage, parce que la voie empruntée dans le précédent était intéressante et promettait d'apporter un vrai renouvellement à la série. Et là on assiste à un retour en arrière, justifié de façon totalement bancale.
Merdouille. Je l'ai pas encore celui-là (enfin, sauf si je l'ai lu en anglais, je m'y perds un peu..). C'est lequel?
Nimrod a écrit :
Sinon, je n'ai pas dû arriver à la 100ème page du dernier Bosch. Je ne les ai pas tous lu, mais jusqu'à présent, ceux que j'ai lu, je les ai terminé.
Mais là j'ai eu du mal : on sent la recette. C'est vraiment dommage, parce que la voie empruntée dans le précédent était intéressante et promettait d'apporter un vrai renouvellement à la série. Et là on assiste à un retour en arrière, justifié de façon totalement bancale.
Merdouille. Je l'ai pas encore celui-là (enfin, sauf si je l'ai lu en anglais, je m'y perds un peu..). C'est lequel?
Margo a écrit :J'en profite pour conseiller un de mes bouquins favoris, polar bien tordu comme il faut, avec de gros morceaux de Perec dedans.
Je le cherche dans chaque librairie que j'ouvre et impossible de mettre la main dessus
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
phylute a écrit :Je le cherche dans chaque librairie que j'ouvre et impossible de mettre la main dessus
Ah, toi aussi. Ce livre est introuvable en occase comme en bibliothèque (soupir).
Comem me le faisait remarquer Margo, on peut le trouver sur alapge sans problème
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
Disons qu'en période d'austérité financière, cela ferait mieux mon affaire de le trouver en occasion ou, mieux, en bibliothèque.
En passant, il y en a un exemplaire en vente sur price-minister à 7 €. Pas intéressant pour moi : les frais de port sont surmajorés pour la Belgique et ça double pratiquement le prix du volume.
Bartlebooth a écrit :Disons qu'en période d'austérité financière, cela ferait mieux mon affaire de le trouver en occasion ou, mieux, en bibliothèque.
En passant, il y en a un exemplaire en vente sur price-minister à 7 €. Pas intéressant pour moi : les frais de port sont surmajorés pour la Belgique et ça double pratiquement le prix du volume.
J'ai cru en voir un d'occasion sur Alapage à 6euros50. Je ne connais pas les frais de port pour la Belgique par contre.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
Margo a écrit :J'en profite pour conseiller un de mes bouquins favoris, polar bien tordu comme il faut, avec de gros morceaux de Perec dedans.
A l'origine, le bouquin devait prendre la forme d'une boîte de puzzle contenant les chapîtres séparés sans indications sur l'ordre de lecture, mais l'éditeur n'a pas voulu suivre.
Swan a écrit :A l'origine, le bouquin devait prendre la forme d'une boîte de puzzle contenant les chapîtres séparés sans indications sur l'ordre de lecture, mais l'éditeur n'a pas voulu suivre.
Swan a écrit :A l'origine, le bouquin devait prendre la forme d'une boîte de puzzle contenant les chapîtres séparés sans indications sur l'ordre de lecture, mais l'éditeur n'a pas voulu suivre.
Wow, quelle belle idée
Preuve décidément que les éditeurs sont vraiment des gros cakes en marketing.
Avec une telle idée, la promo, la couverture presse et la mise en avant du livre chez les libraires étaient assurées.
Je comprends que les éditeurs les plus dynamiques soient Taschen et La Martinière qui, eux, n'ont pas peur du marketing. ça n'est pas un gros mot.
Contrairement à vous je ne suis pas sur que chercher le prochain chapitre m'interesse vraiment quand je lis un livre.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit :Contrairement à vous je ne suis pas sur que chercher le prochain chapitre m'interesse vraiment quand je lis un livre.
Mais si celui-là est conceptuel et peut se lire dans n'importe quel ordre ? Obliger une lecture dirigée va à l'encontre de ce que l'auteur aurait souhaité.
Sergius Karamzin a écrit :Mais si celui-là est conceptuel et peut se lire dans n'importe quel ordre ? Obliger une lecture dirigée va à l'encontre de ce que l'auteur aurait souhaité.
Dans ce cas l'éditeur peut tout simplement faire comme La foire aux atrocités de Ballard, où les chapitres étaient plus ou moins dans le désordre...