Breakfast Club (John Hughes - 1985)
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- Zelda Zonk
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C'est très rassurant, car l'un des films-culte de mon adolescence. Et pas revu depuis, de peur d'être déçu.phylute a écrit : - Breakfast Club. C'est toujours aussi bien . Le film est particulièrement marquant par rapport au standard du film de lycée dans sa volonté de ne pas prendre le spectateur pour un con décérébré. Le film est un flot ininterrompu de dialogues et de considérations souvent pertinentes, touchantes et juste. Après avoir revu Feris Bueller, je me rends compte que je vais pouvoir sans peur me refaire les John Hughes de la bonné époque
Don't you
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Attention quand mêmephylute a écrit :Après avoir revu Feris Bueller, je me rends compte que je vais pouvoir sans peur me refaire les John Hughes de la bonné époque
Outre les incontournables Ferris Bueller et Breakfast Club, le seul qui tienne encore la route (et encore, dans un bien moindre mesure) aujourd'hui me semble être La vie en plus, parfois très juste, touchant et drôle, parfois tout tout daubé (la fin à la maternité, summum incroyable de mauvais goût ). Ajoute à ça peut être Planes, Trains and Automobiles, que j'aimais bien ado mais qui risque quand même d'avoir pas mal vieilli (déjà à 13 ans et avec un sens critique tout pourri, je trouvais ça larmoyant, alors aujourd'hui...) et... c'est tout.
Sixteen candles, revu il y a peu, ne tient pas du tout la route (malgré une pure BO, comme souvent chez le bonhomme). Une créature de rêve, c'est tout naze (je sais qu'il y a des fans ici ). Quant à Uncle Buck et La p'tite arnaqueuse... heeeeu, je te défie de les revoir et venir les noter ici objectivement
Même du côté de ses prods, seul Pretty in Pink de "l'immortel" Howard Deutch me semble (légérement) surnager de la mélasse, où tu retrouves quand même pas moins que Maman j'ai raté l'avion I, II & II, Denis la Menace, Flubber & co. Si tu pioches dans sa carrière récente de scénariste, tu trouveras même les 5 Beethoven...
Bref, oublie quand même pas ton masque avant de replonger là-dedans
Marg', grand défenseur de J. Hugues bonne période (soit deux films et demi)
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J'ai découvert ce film il y a un peu moins d'1 an seulement. Et j'ai été étonné de constater que, bien qu'étant ancré dans les 80's, son propos reste toujours aussi juste et pertinent.
Un portrait subtil et émouvant des difficutés de l'adolescence. Et avec des comédiens top niveau (l'a bien grandi, le petit Anthony Michael Hall ! ).
C'est bien dommage que Judd Nelson ait un peu disparu de la circulation...
Un portrait subtil et émouvant des difficutés de l'adolescence. Et avec des comédiens top niveau (l'a bien grandi, le petit Anthony Michael Hall ! ).
C'est bien dommage que Judd Nelson ait un peu disparu de la circulation...
- Zelda Zonk
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Belle analyse Margo !Margo a écrit :Attention quand mêmephylute a écrit :Après avoir revu Feris Bueller, je me rends compte que je vais pouvoir sans peur me refaire les John Hughes de la bonné époque
Outre les incontournables Ferris Bueller et Breakfast Club, le seul qui tienne encore la route (et encore, dans un bien moindre mesure) aujourd'hui me semble être La vie en plus, parfois très juste, touchant et drôle, parfois tout tout daubé (la fin à la maternité, summum incroyable de mauvais goût ). Ajoute à ça peut être Planes, Trains and Automobiles, que j'aimais bien ado mais qui risque quand même d'avoir pas mal vieilli (déjà à 13 ans et avec un sens critique tout pourri, je trouvais ça larmoyant, alors aujourd'hui...) et... c'est tout.
Sixteen candles, revu il y a peu, ne tient pas du tout la route (malgré une pure BO, comme souvent chez le bonhomme). Une créature de rêve, c'est tout naze (je sais qu'il y a des fans ici ). Quant à Uncle Buck et La p'tite arnaqueuse... heeeeu, je te défie de les revoir et venir les noter ici objectivement
Même du côté de ses prods, seul Pretty in Pink de "l'immortel" Howard Deutch me semble (légérement) surnager de la mélasse, où tu retrouves quand même pas moins que Maman j'ai raté l'avion I, II & II, Denis la Menace, Flubber & co. Si tu pioches dans sa carrière récente de scénariste, tu trouveras même les 5 Beethoven...
Bref, oublie quand même pas ton masque avant de replonger là-dedans
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Une créature de rêve : je l'avais oublié celui-là ! Gros catalyseur de libido chez les ados des 80s
Je veux bien croire que ça ait mal vieilli.
Tout comme la bande de "brat pack" des 80's : Andrew McCarthy, Mare Winningham, Anthony Michael Hall, Rob Lowe, Molly Ringwald, Emilio Estevez et Ally Sheedy...Ratatouille a écrit :C'est bien dommage que Judd Nelson ait un peu disparu de la circulation...
Seule Demi Moore s'en est mieux tirée que les autres.
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Ben oui, mais c'est bien ce que j'entends par bonne période de John Hugues. J'y aurais inclus sur mes souvenirs Happy Birthday, mais le reste pfuuuut..Margo a écrit : Attention quand même
Outre les incontournables Ferris Bueller et Breakfast Club, le seul qui tienne encore la route (et encore, dans un bien moindre mesure) aujourd'hui me semble être La vie en plus, parfois très juste, touchant et drôle, parfois tout tout daubé (la fin à la maternité, summum incroyable de mauvais goût ). Ajoute à ça peut être Planes, Trains and Automobiles, que j'aimais bien ado mais qui risque quand même d'avoir pas mal vieilli (déjà à 13 ans et avec un sens critique tout pourri, je trouvais ça larmoyant, alors aujourd'hui...) et... c'est tout.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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J'ai vu ce film a l'école dans le cadre d'un cour de Formation personnel et social.
J'ai bien aimé. Et ca doit pas faire plus de 10 ans que je l'ai vu.
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Tu peux le choper fdp in pour 7 livres. avec Vf et Vostf.
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