La Chèvre / Les Compères / Les Fugitifs (Francis Veber - 1981/83/86)

[Jordan White]

Voilà du cinéma comique comme on en fait plus. Du cinéma vif, imaginatif, décalé, avec des dialogues aux petits oignons.
Le duo Depardieu/Richard était truculent, les blagues et les fous rires pleuvaient. Comme le disait Depardieu : " Mais Pignon, vous n'arrêtez jamais ?"
Certes au niveau de la réalisation les années 90 ont outrepassé les qualités techniques de ses films, mais il manque quelque chose, un je ne sais quoi je trouve qui faisaient le charme resté intact de ses films.
Quel est votre préféré des trois ?

[Roy Neary]

La Chèvre fait partie de ces films qui m'on fait rendre mon repas tellement j'étais plié en quatre.
Je ne pense pas que ce film soit limité techniquement (à part la photo qui est d'une platitude extrême, et c'est encore pire avec Les compères). Les gags sont parfaitement étudiés dans le temps et l'espace.

[Swan]

Voilà du cinéma comique comme on en fait plus.

Malheureusement, certains essaient d'en refaire, voir le navrant Boulet. Je ne les ai pas revus depuis longtemps, mais je me souviens que j'avais une préférence pour Les Compères, quoique Les Fugitifs soit aussi excellent. "Il a pris une balle ? Il a avalé la baballe ?"

"T'es très jolie, maman"

[mezhia]

J'ai revu la chêvre il y a peu de temps. Franchement, le duo campana - Perrin est inaltérable. Le rythme est parfaitement calé pour rire sans en perdre une miette, avec la précision d'un métronome. J'aime beaucoup les fugitifs aussi mais je reste un peu moins enthousiaste avec Les Compères. Pas que la recette est éprouvée mais le résultat est moins surprenant comparé aux deux autres.
Mais il reste fort sympathique tout de même

[Swan]

Je ne pense pas que ce film soit limité techniquement (à part la photo qui est d'une platitude extrême, et c'est encore pire avec Les compères).

N'oublions pas que depuis Les Fugitifs, Francis Veber emploie Luciano Tovoli, ex chef-op de Dario Argento. Les résultats divergent...

[mannhunter]

c'est sûr,quand on passe de la photo de SUSPIRIA et TENEBRES à celle des COMPERES ou des FUGITIFS...
sinon,j'aime beaucoup le duo Depardieu-Richard et mon préféré reste peut être LES COMPERES...même si LES FUGITIFS a l'avantage d'une "discrète" émotion...par contre la carrière de Veber a été inégale par la suite: LE DINER DE CONS est réussi mais LE PLACARD...

[Kurtz]

c'est sûr,quand on passe de la photo de SUSPIRIA et TENEBRES à celle des COMPERES ou des FUGITIFS...
sinon,j'aime beaucoup le duo Depardieu-Richard et mon préféré reste peut être LES COMPERES...même si LES FUGITIFS a l'avantage d'une "discrète" émotion...par contre la carrière de Veber a été inégale par la suite: LE DINER DE CONS est réussi mais LE PLACARD...

nan, Le placard, c un bon film avec des bons acteurs même si ça vaut pas le dîner de cons (rien ne vaut le dîner de cons de toute façon).

par contre, Le jaguar, c'est déja moins bien.

[Momo la crevette]

Mon préféré reste "La chèvre", un modèle absolu d'écriture au cordeau, de mise en scène précise et d'interprétation parfaite.
mais j'aime beaucoup aussi "Les fugitifs" qui ajoute l'émotion au rire.

Momo

[mannhunter]

[Jack Carter]

Tu as attendu 14 ans juste pour nous poster des extraits ?

[mannhunter]

Merci France 3 !

[Major Tom]

La Bande des trois, animée par l'excellent Christian Defaye, reçoit le trio Depardieu/Richard/Veber (22 décembre 1986), et c'est évidemment passionnant.

[Strum]

Ses deux suites ne déméritent pas, mais La Chèvre est une des meilleures comédies françaises jamais réalisées et l'emporte haut la main.

[Jeremy Fox]

Décidément je n'accroche à aucun des trois : non seulement ils ne me font pas rire mais je les trouve très mal réalisés.

[Rick Blaine]

Décidément je n'accroche à aucun des trois : non seulement ils ne me font pas rire mais je les trouve très mal réalisés.

Faudrait que je revois les deux autres. C'est vrai que ma dernière vision de la chèvre m'avait déçu, même si ça me fait rire, la mise en scène de Veber est tout de même très faible. Du coup j'ai un peu peur de revoir les deux autres et d'être à nouveau déçu.