Tennis et cinéma

[Frances]

Dans Breezy de C. Eastwood il y a une scène où William Holden joue au tennis.

[manuma]

Personne, pas même Ratatouille, pour citer le Players d'Anthony Harvey...

[Federico]

Sous forme de marabout d'ficelle :

Pierrot le fou ne s'ouvre pas que sur la voix-off de Belmondo évoquant Velázquez mais aussi sur...



.. et je ne me souviens plus dans quel film (ou document ?) des années 80, Godard analysait un match de Roland Garros sur sa télé.

Godard, grand amateur d'échange verbaux comme de petite balle... à l'image de son ami Serge Daney, auteur du très chouette L'amateur de tennis (recueil de ses chroniques sportives pour Libération entre 1980 et 1990)...

...points communs qu'on retrouve dans l'article de Sylvain Dreyer Godard, le tennis et la dialectique publié par la revue Edit...

...pour finir de façon moins prise de tête avec des extraits de Pierrot le fou illustrant le morceau Marathon du groupe... Tennis.

[Kevin95]

.. et je ne me souviens plus dans quel film (ou document ?) des années 80, Godard analysait un match de Roland Garros sur sa télé.

Dans Chambre 666 de Wim Wenders, il parle de cinéma devant une télévision diffusant une match.

[julien]

[riqueuniee]

Dans La famille Tenenbaum, l'un des Tenenbaum est un ex-prodige du tennis.
Ca a peut-être déjà été cité (dans la partie "empoussiérée" de ce topic), mais il me semble que dans Un éléphant ça trompe énormément et sa suite, les personnages jouent au tennis.
Je me souviens aussi d'une comédie américaine (genre potache- le titre m'échappe) où le héros (lycéen ou étudiant) se travestissait pour pouvoir aborder la fille de ses rêves. Il y avait du tennis, la demoiselle pratiquant ce sport (c'est me semble-t-il d'ailleurs à la fin d'un match qu'intervient la "chute" de l'histoire).

Spoiler (cliquez pour afficher)

A la fin du match, joué contre la fille en question -ou avec elle s'il s'agit d'un double- alors qu'il se fait toujours passer pour une fille, celle-ci l'embrasse très amoureusement...Elle préfère en fait les filles !

Edit Federico a donné la réponse page suivante. Ca s'appelle Nobody's perfect. Ca ne vole évidemment pas très haut, mais c'est marrant.

[Federico]

.. et je ne me souviens plus dans quel film (ou document ?) des années 80, Godard analysait un match de Roland Garros sur sa télé.

Dans Chambre 666 de Wim Wenders, il parle de cinéma devant une télévision diffusant une match.

Ça doit être ce docu, merci.

[Flol]

Personne, pas même Ratatouille, pour citer le Players d'Anthony Harvey...

Si j'avais pas été en vacances, je l'aurais fait. Et ce, pour la raison que tu connais (étant donné que je n'ai même pas vu le film).

[Commissaire Juve]

J'avais pas vu que c'était pour une enquête...

Récemment, j'ai vu l'Amour sans préavis (Mark Lawrence, 2002)... il y a une partie de tennis en double avec un combat de hyènes entre Sandra Bullock et Alicia Witt !

EDIT : j'ai surtout pas vu que c'était un méga-vieux topic ! Désolé (c'est quoi, ce déterrage ? )

Il y a quand même Match point (le film n'était pas sorti quand ce topic a été lancé, puis est parti prendre la poussière).

Très grand cru d'Allen... même si on voit peu le "héros" ( ) jouer au tennis... à la différence de celui de La plus belle victoire, sorti l'année précédente mais qui est par contre une sacrée daube.

La plus belle victoire... avec Kirsten en mini-jupe ? , ah non ! c'est tout à fait miam !

Incidemment, les mecs ont carrément recyclé le scénar de "Coup de foudre à Notting Hill" (le mec next door qui tombe amoureux d'une vedette du tennis... ils sont obligés de se cacher, tout ça).

Je signale l'existence d'un BLU UK avec STF et même VF.

[Federico]

Un court-métrage récent qui m'avait bien plu :

Tennis Elbow (2012, Vital Philippot) Où un père un peu à l'Ouest et au look 70's désuet se fait torcher au tennis par son ado de fils. La trame est simplissime mais c'est excellemment joué.

Sa bande-annonce

[Federico]

Là, j'ai peur que ça s'arrête au titre (pouvant concourir à celui du plus crétin) dans cette production familiale Disney avec le jeune Kurt Russell, alors un des enfants-stars de la galaxie Mickey...

L'ordinateur en folie (The computer wore tennis shoes - 1969 - Robert Butler)

[Federico]

J'aurais du y penser tout de suite : ce n'est certes pas un film sur le tennis puisqu'il s'agit des Cavaliers (The horse soldiers) de John Ford (1959)... mais y joua la très grande - au propre comme au figuré - Althea Gibson, à l'époque n°1 mondiale (vainqueur de 5 Grands Chelems en simple comme en double).

Si son rôle, bien que cantonné à celui hélas classique de la brave domestique Noire (comme le fut Billie Holiday en son temps), était plus étoffé que la moyenne (sa mort est même l'un des passages les plus émouvants du film), sur l'affiche, son nom était en tout petit...

...alors que deux ans plus tôt, elle était en une du prestigieux magazine Time.

Si j'en crois cette anecdote tirée d'une biographie de Ford, comme le tournage se déroula dans la très ségrégationniste Louisiane où Gibson aurait été contrainte de vivre séparément du reste de l'équipe, toutes les scènes où elle apparait furent tournées à Hollywood (et on aurait utilisé une doublure pour les plans larges locaux).

Ce sera son unique film de cinéma comme actrice. Elle apparaitra bien plus tard, dans son propre rôle, dans... The player (eh oui) d'Altman.

[Federico]

Trouvé ce machin grâce au génial Ze craignos monsters de Jean-Pierre Putters :


Gog (1954 Herbert L. Strock)
Nanar de SF avec deux robots surdoués contrôlés par un ordinateur et prénommés Gog et Magog.
Deux et six ans plus tard naissaient Bjorn Borg et Ivan Lendl...

[Federico]

Dans Échec à l'organisation (The outfit - 1973) de John Flynn, le big boss du syndicat du crime joué par Robert Ryan apparaît la première fois en train de mater Joanna Cassidy à son cours privé de tennis (son prof n'est autre que le grand champion américain Tony Trabert, vainqueur de 5 Grands Chelems dans les années 50) :

Avantages dehors...*



...et c'est là que se pointe la face de Carey(me) de Tim qui vient justement d'essuyer un revers cuisant
(une balle - pas - perdue pour sévices rendus)

(*) Vanne authentique prononcée par un arbitre qui avait le sens de la répartie lors d'un tournoi féminin des années 70 ou 80 où l'une des joueuses perdit le contrôle des... siens (veuillez aussi remettre de l'ordre dans les lettres de ce dernier mot)

[Lord Jim]

Avant de manier le sabre lazer, Carrie Fisher a tâté de la raquette dans Shampoo :