Comme beaucoup d'autres, si on me dit
années 80 et
films bourrins dans la même phrase voire question, je vais répondre
sans réfléchir ( je sais, ça s'rait courant chez moi ) et pour preuve de qualité
"COMMANDO" ( 1985 ) de Lester avec Shwarzie au top de sa forme
Des agents spéciaux dessoudés de milles et une façon ( beaucoup moins, je sais ) dont une mention spéciale pour le
plongeoir final, un père de famille pas comme les autres et dont on pouvait rêver tous, non, car ne l'oublions pas
si Schwarzie accepte de se foutre dans une telle merde, c'est bien pour sa fifille la très jolie Alyssa Mylano qui pour une fois était plus que servie...
Sans parler de ces textes
inoubliables du genre "tu sais quand j'avais dit que je te tuerai le dernier... et bien, je t'avais menti" dans des scènes elles aussi i-nou-blia-bles !!!
Non, sans déc',
"COMANDO" c'est un condensé de testostérones pures pour une piqure d'adrénaline en plein coeur et de l'action en veux-tu en voilà comme notre Bebel national n'a jamais su nous en donner.
Sans oublier, qu'il y a
urait une certaine connation gay dans les tortures qui sont infligées à notre blond Autrichien de héros
"COMMANDO" EST LE FILM BOURRIN DES ANNÉES 80
"ALIENS, LE RETOUR" ( 1986 ) de James Cameron était lui aussi un de ces films qui
dépote à grands coups de sulfateuses et autres pistolets-mitrailleurs rendant ainsi ce film de science-fiction plus réaliste que fantastique : pas de
ziiiip ziiiip et autres pistolasers colorés indignes d'un
"STAR WARS" 
Avec Cameron, on débarquait
protégé par une escouade de GIs plus fous les uns que les autres, prêts à démater de l'alien tueur, sur une station loin d'être aussi blanche et aspetisée que l'univers interalactique d'un déjà
déclinant George Lucas... Une boucherie ambulante qui releguait le Nostromo du premier volume à la cocinnelle de la p'tite soeur !
Avec James le futur
King of the World, les soldats du futur devenaient aussi hétéroclites que peuvent l'être ceux d'une armée alors contemporaine et non de futurs et éventuelles
clowns comme aurait voulu l'
imposer l'ancêtre Lucas
Non, chez Cameron et dans cet
"ALIENS" plus particulièremenr, ça vide ses chargeurs dans des cris de rage, de la sueur, du sang et une odeur de souffre prête à vous pêter à la gueule : les aliens en eux-mêmes en deviendraient presque
secondaires
Et là, où se démarque encore une fois votre Zombie
préféré, c'est en se souvenant
queue les années 80 se fut aussi...
"L'ARME FATALE 2" ( 1989 ) avec toujours
Danny Glover et Mel Gibson pour une suite que je trouve
personnellement bien
plus bourrin que le premier opus : Riggs ( Gibson ) y laissant éclater toute sa hargne et sa colère lorsqu'il comprend pourquoi sa femme est morte et qui l'a tuée ( drame
survolée dans le premier film ), tout en sachant qu'il n'y aura rien de mal à aller casser de la gueule à ces enculés de racistes d'afrikaners si proches des
bons critères aryens.
Il est vrai que certains personnages secondaires ou gags ici et là font de ce film
un buddy movie mais je pense qu'on ne peut pas nier que
"L'ARME FATALE 2" est aussi un film de bourrins...
Bon peut-être pas autant que celui qui suit et dont je me targue d'être le seul à s'en souvenir
"PIÈGE DE CRISTAL" ( 1988 ) de John Mc T. ayant été
une véritable claque pour les jeunes spectateurs que nous étions à l'époque : une claque qui faisait accèder Bruce Willis, ce détective de série télé à la calvitie naissante, au statut d'acteur de
film d'action
Claque également dans le monde des scénaristes et autres réalisateurs de tous pays... quand on tente de compter ou/et de se souvenir du nombre de
remakes et autres scènes plagiées sans vergogne issues de ce
must des films d'action et d'huis-clos : combien ont repris l'idée d'une tour piégée et d'un seul ( anti ) héros
inside 
Une référence des films d'action à venir par la suite avec son
héros malgrè lui plus proche du
looser qui va devoir
tout seul, faire face à la situation et tenter d'empêcher le pire tout en devant affronter
une armée de méchants hyper bien organisés
Et qui ne se souvient pas de ce flic en vacances pieds nus devant traverser un salon jonché de morceaux de verre ou du sourire de Gruber et les autres
yppikaye motherfucker ou
i've got a machine-gun oh oh oh oh
Enfin
sur 40 000 terroristes dans le monde, ( il ) en tue un qui a les pieds plus petits que ( sa ) soeur et sur les milliers de films d'action sortis lors de cette décennie
Reagan "DIE HARD" n'est pas loin derrière le "COMMANDO" de Schwarzie
Quant à un cinquième film qui éclatait tout sur son passage, il faut encore que je réfléchisse un peu
Comme quoi ça m'arrive... parfois
Pourquoi ne pas avoir cité le premier alors ? ) mais The Killer... Le film va au delà du principe de faire de l'action pour de l'action quand même... Mais comme tu cites trois films avec Chow Yun fat, je supposes que tu l'assimiles au Schwarzy asiatique de l'époque ?
