Inferno (Dario Argento - 1980)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Major Tom
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Major Tom »

Anorya a écrit :Je crois qu'ils ne t'ont pas attendu pour se rebalancer les croquettes dessus. :mrgreen:
En fait, chaque année, ils s'amusent à ça, c'est devenu le Roland Garros de DVDClassik. :mrgreen: :arrow:
:lol: Ah mais pour le coup ce n'est pas ma faute, j'ai revu Inferno et donné mon avis en argumentant. ;)
mannhunter a écrit :
Major Tom a écrit : Voilààà, j'avais 17 ans. :) Je me "consacre" à autre chose depuis belle lurette.
ton site existe plus? :cry:
tu renies De Palma??? :D
  • nuancer, verbe transitif
    Sens Exprimer en prenant en considération les différentes nuances de quelque chose.
    Ex J'ai tenté de nuancer son jugement. Anglais to qualify
Il arrive, Manny, que des gens admirent un cinéaste sans devenir des fanatiques bornés. :lol:
J'aime toujours De Palma, mais il y a tellement d'autres choses formidables dans le cinéma...
mannhunter
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par mannhunter »

Major Tom a écrit :j'ai revu Inferno et donné mon avis en argumentant. ;)
Les comparaisons avec Lucky Luke,Von Stronstonehenge machin,Kubrick,De Palma,Schlesinger,c'est pas des arguments ça :o

Bon en tout cas ce n'est pas toi qui va acheter mon dvd Anchor Bay d'"Inferno" :cry:
Major Tom a écrit :J'aime toujours De Palma, mais il y a tellement d'autres choses formidables dans le cinéma...
ben oui mais il n'y a pas de honte à avoir des cinéastes de prédilection,des cinéastes "de chevet"... :)
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Major Tom
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Major Tom »

mannhunter a écrit :
Major Tom a écrit :j'ai revu Inferno et donné mon avis en argumentant. ;)
Les comparaisons avec Lucky Luke,Von Stronstonehenge machin,Kubrick,De Palma,Schlesinger,c'est pas des arguments ça :o
Tu n'as quand même pas des œillères à ce point-là? t'es quand même pas couillon ou tu ne lis pas tout, mais regarde (que tu sois d'accord ou non avec le propos c'est autre chose) ça, c'est mon avis argumenté...
Major Tom a écrit :Dès le début, j'ai trouvé le temps long et la manière de raconter assez insipide, les éclairages bleu et rouge étant pour le coup plutôt ringards. Autant le kitsch marchait avec le décor Art Nouveau de Suspiria à Fribourg, autant ici dans le New York d'Inferno, avec le mauvais jeu des comédiens qui enfonce le clou, cela ressemble à un mauvais téléfilm. Ça devient même très chiant au bout d'un moment, car beaucoup de choses se répètent à l'instar de cette phrase inutile en OFF au début: "La seconde clé est cachée dans la cave." On ne se surprend même pas de répondre à la télévision: "Sans blague? Merci, j'avais déjà oublié." Par contre, la mort de Sarah est marrante, c'est vrai. C'est étiré en longueur avec Carlo qui tombe sur elle et on voit bien qu'elle fait exprès de rester sous lui, elle essaie de le repousser, lui bave du sang, la réalisation en fait des tonnes (en champ/contre-champ sans varier les cadrages, mais bon, tout le film est comme ça), bref... :) Dans le comique, citons en vrac la fin avec le squelette de BD (d'ailleurs les lumières rouge/bleu ici m'ont fait penser à du Lucky Luke), la scène des rats qui attaquent l'antiquaire ou celle des chats qui attaquent Élise, ou encore la scène où Rose parle (ou plutôt essaie de parler) à son frère Marc au téléphone (dans le premier plan montrant la sœur, on voit sur l'écran un écriteau "New York, la même nuit en avril", fort utile). :mrgreen:
Si Argento est un mec avec de bonnes idées, il est loin d'être d'un perfectionnisme à la Von Stroheim c'est le moins qu'on puisse dire: il y a toujours beaucoup de défauts de mise en scène et même de montage. Le film date de 1980 et Argento a déjà plusieurs années de réalisation derrière lui. Mais je peux citer une longue liste de films contemporains des films d'Argento à côté desquels les siens font déjà "vieillot", et pas forcément une liste avec des noms comme Kubrick, Hooper, Schlesinger, Polanski ou De Palma. Mais je le redis, il a souvent de bonnes idées et ça donne souvent des scènes intéressantes. Cela dit, je n'en retiens pas beaucoup de ce film. Et je suis de moins en moins "touché" par ce genre de cinéma d'épouvante, ça n'aide pas.
La musique de Keith Emerson n'est pas terrible non plus.
Au départ, je voulais aussi revoir Phenomena, mais finalement après cette vision d'Inferno, j'abandonne Argento pour un long moment.
Major Tom a écrit :C'est plutôt la manière de raconter une histoire. Du point de vue des principes narratifs, Argento est très classique, indiscutablement. Ce qui est loin de me déranger. Suivre un modèle de narration simple, sans générateurs de suspens gratuits comme par exemple les montages parallèles, peut s'avérer efficace et payant, mais ici c'est très banal, et le film en devient même soporifique. Du coup, que la petite voix OFF du début ou que le carton soient là pour "dévier" le spectateur, alors que c'est bête comme chou, permets-moi de te dire que je n'y crois pas du tout. :) Pourquoi n'est-il justement pas allé au bout de ce délire, en présentant davantage les choses de façon irréelle?...

Il ne pouvait pas faire mieux que Suspiria, le premier volet de la trilogie des mères a un scénario plus dense, plus intéressant et le film est graphiquement à tomber. La voix du narrateur se noyant dans le générique du début ne me dérange pas parce que l'étrangeté qu'il veut apporter est réussie, ça démarre à peine et il y a ça pendant le générique. Les scènes d'extérieur où Jessica Harper discute avec le type sur la sorcellerie avec le zoom sur leur reflet derrière, de la vieille qui illumine le couloir avec un morceau de cristal, la scène des larves tombant du plafond, etc. je ne retrouve rien de tout ça, ou alors de façon nettement amoindrie, dans Inferno, où les quelques bonnes scènes sont souvent étirées malheureusement, jusqu'à en devenir trop longues et forcément risibles au bout d'un moment, comme la scène des rats ou même les scènes des personnages angoissés, marchant dans des couloirs. Mais cela dit, Argento le faisait déjà avant. Il est un tantinet trop long dans les scènes purement d'épouvante et parfois, la mayonnaise ne prend pas, comme la mort de l'aveugle dans Suspiria (tellement longue qu'on voit le sort du pauvre homme arriver à des kilomètres) ou la course-poursuite du chien dans Ténèbres mais bon, celle-là, c'est vraiment le comble pour moi. :lol: ;)
Major Tom a écrit :[...] je parlais de la réalisation d'Argento dans Inferno que je ne trouve pas assez approfondie et c'était bien dommage, car Argento a de sacrément bonnes idées. Il pouvait faire mieux et je ne parle pas d'un point de vue de contemporain (d'où la seconde phrase sur laquelle je reviendrai). Le "symbole" du perfectionnisme au cinéma est connu pour être Von Stroheim. Je n'y peux rien. :) Je ne le compare pas à lui, c'est juste une formule. [...] je citais justement ces réalisateurs-là pour dire qu'il n'y a pas besoin d'être ces noms-là (effectivement reconnus comme étant "majeurs" dans le cinéma), pour montrer qu'à l'époque du film, Inferno est déjà un peu daté. Il y a des effets de montage dans les enchaînements d'images qui m'ont fait sortir du film, surtout au début (l'immeuble montré sous différents angles). C'est comme les jump-cuts de quelques millimètres (ex.: la disparition des bouquins), pas très utiles non plus. :)
... et ça ce sont les conneries que tu m'as répondu:
mannhunter a écrit :ça doit être la copie youtube que t'as maté qui doit faire ça. :mrgreen:
mannhunter a écrit :tu es gentil Ben j'apprécie ton soutien :) mais ça sert à rien avec Major quand il a un cinéaste dans le collimateur il ne changera pas d'un iota :)
mannhunter a écrit :oui et De Palma ne vaut pas Hitchcock qui lui-même ne vaut pas Fritz Lang et Tobe Hooper ne vaut pas Jacques Tourneur qui lui-même..on peut aller loin comme ça,attention à ton abus deTélérama avec leur hiérarchisation des "Majeurs" et des "mineurs",attention! :uhuh:
mannhunter a écrit :sors de ce corps,Nicolas Saada! :uhuh:
mannhunter a écrit :ben oui,tout comme d'autre consacre un site depuis 10 ans consacré à son idole barbue :),avec photos,interviews,comptes rendus de tournage... :)
sinon je ne saisis toujours pas tes comparaisons avec Johnny Hallyday,Schlesinger,Polanski,Kubrick,bref...
ah si Kubrick a piqué des idées à Sergio Martino et Dan Curtis pour "Shining",ça doit vouloir dire qu'il est daté lui aussi question narration...
Finalement, j'ai trouvé une seule phrase plus intelligente que le reste:
mannhunter a écrit :c'est un film plus "écrit" oui,là où "Inferno" a une narration plus libre et éclatée.
Là, pourquoi pas, mais tu devrais m'expliquer en quoi le récit d'Inferno est "libre" et "éclaté". Par ailleurs, comme c'est le deuxième opus d'une trilogie, on le compare automatiquement à son prédécesseur.
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Major Tom
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Major Tom »

Pour que la coalition reste centrée sur un topic :) :
Jack Griffin a écrit :Je n'ai pas revu Inferno mais j'ai découvert Giallo sur un ordinateur portable. C'est un film doté d'éléments narratifs tout juste crédibles.
J'ai revu Inferno dans de bonnes conditions, en bonne qualité, VOST, non censuré. Que demande le peuple? Alors oui, évidemment, mon avis aurait été sûrement meilleur en le voyant dans une salle de ciné, mais on n'a pas toujours ce qu'on veut.

Bref, je n'arrive pas à comprendre pourquoi vous parlez encore de la "crédibilité d'éléments narratifs". Comment pouvez-vous tout mélanger, confondre ça avec ma perplexité face à des informations que je trouvais inutiles?... Ce sont des éléments narratifs mais je trouvais que l'information qu'ils révélaient n'étaient pas intéressante et m'a même fait rire. Libre à moi de le penser... À moins de parler en "petit nègre", je ne vois pas comment le dire plus clairement... Ce serait mon seul argument ou mon argument principal pour expliquer ma déception, je comprendrai qu'on en discute. Mais il y a dans votre petit comité cette attitude, très imbécile, consistant à ne retenir qu'un seul élément du texte sur lequel un non-admirateur a passé plus ou moins de temps à écrire. Vous retenez le truc qui vous ne paraît pas intéressant, ou le moins crédible, pour casser l'interlocuteur sans vous intéresser au vrai fond, je vous reconnais bien là. :D

Comme je disais de toute façon, Dario Argento et moi, c'est fini pour un moment donc, promis, je ne posterai plus rien. ;)
Tancrède
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Tancrède »

c'est génial, on se croirait revenu y a 7 ans.
The rider, tu veux pas te remettre un avatar Tarantino de trois kilomètres de haut avec signature qui va bien?
Borislehachoir
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Borislehachoir »

Je ne sais pas si tu te rends compte à quel point tu es un type horripilant de condescendance et dont chaque message donne envie de te frapper, cher skippy.
Ben Castellano
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Ben Castellano »

Bon ça y est voilà le complot... :lol:
Major, tu parles quand même beaucoup de ces éléments là en les portant en ridicule dans le gros premier paragraphe de ton texe; pour le reste tu reviens sur une évocation du ringuard et du kitch (et du "téléfilm") que je trouve très vague et plus de l'ordre du ressenti je dirais en relevant des détails que tu trouves ridicules, ou encore le jeu des comédiens... C'est limite un ton nanarland, qui prend quelques détails pour les porter en ridicule et il y en a pas mal dans ce que tu écris.

Je témoignais juste de mon agacement parce que pour moi le film a sur le plan psychique et sensoriel, et quand à la puissance inconsciente de ses images très singulières, beaucoup d'atouts. Pour prendre Inferno, le film joue nettement plus que Suspiria de l'hétérogénéité de ses différents tableaux, de l'ésotérisme de son sujet, des décalages dans le temps et dans l'espace entre ce New-Yorck et les autres lieux de résidence des sorcières. Suspiria est souvent à juste titre considéré comme un film assez langien dans son utilisation sommes-toute restreinte et paranoïage de l'espace; Inferno par contre ne suis pas du tout cette logique, c'est un dédale moins fléché, plus ouvert même si j'en conviens très déséquilibré et parfois avec de grosses tâches dans le dernier tiers... Mais à mon sens les oeuvres ne sont pas des objets, ni le cinéma de la pure fabrication plastique et narrative, qui évoluerait en parrallèle aux failles, au sensible et aux ambiguîtés du vivant. Donc ça ne me dérange pas!
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Major Tom
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Major Tom »

Ben Castellano a écrit :Major, tu parles quand même beaucoup de ces éléments là en les portant en ridicule dans le gros premier paragraphe de ton texe; pour le reste tu reviens sur une évocation du ringuard et du kitch (et du "téléfilm") que je trouve très vague et plus de l'ordre du ressenti je dirais en relevant des détails que tu trouves ridicules, ou encore le jeu des comédiens... C'est limite un ton nanarland, qui prend quelques détails pour les porter en ridicule et il y en a pas mal dans ce que tu écris. Je témoignais juste de mon agacement parce que pour moi le film a sur le plan psychique et sensoriel, et quand à la puissance inconsciente de ses images très singulières, beaucoup d'atouts. Pour prendre Inferno, le film joue nettement plus que Suspiria de l'hétérogénéité de ses différents tableaux, de l'ésotérisme de son sujet, des décalages dans le temps et dans l'espace entre ce New-Yorck et les autres lieux de résidence des sorcières. Suspiria est souvent à juste titre considéré comme un film assez langien dans son utilisation sommes-toute restreinte et paranoïage de l'espace; Inferno par contre ne suis pas du tout cette logique, c'est un dédale moins fléché, plus ouvert même si j'en conviens très déséquilibré et parfois avec de grosses tâches dans le dernier tiers... Mais à mon sens les oeuvres ne sont pas des objets, ni le cinéma de la pure fabrication plastique et narrative, qui évoluerait en parrallèle aux failles, au sensible et aux ambiguîtés du vivant. Donc ça ne me dérange pas!
Voilà, c'est justement ce que je n'arrive pas à penser d'Inferno! ;) Et je ne trouve pas que tu rentres plus dans les détails que moi. :mrgreen: Le film n'a pas un sens, ne propose pas de questions, ni de morale heureusement, ni peu importe... J'ai du mal à le voir autrement que comme un simple d'horreur, tel que m'apparaît déjà moins son prédécesseur. Inferno, je le perçois un peu comme le film prémonitoire de la dernière partie de carrière d'Argento, de l'horreur basique avec le goût pour l'esthétique qui s'efface (presque au fur et à mesure d'Inferno d'ailleurs, avec les décors de plus en plus neutres, sauf à la fin mais qui est hélas ratée), révélant peu à peu une sorte de noyau fade, un récit où il ne se passe pas grand-chose et conduisant souvent à un final sans intérêt. Je n'ai rien contre les trilogies où chaque film est différent, mais la différence entre ces films (La Terza Madre, n'en parlons pas) ne me parait pas si volontaire que ça. Au contraire, j'ai surtout cette impression qu'Argento n'a plus rien à dire, ni par l'histoire ni bientôt par les images. Ça commence pour moi dès Inferno, même si je retiens toujours des scènes pas mal. Par ailleurs, je doute que cette idée de départ d'une saga (trois sorcières dans trois villes) certes très intéressante sur le papier, c'est vrai, soit réellement une si bonne idée quand on part d'un film comme Suspiria. Il plaçait la barre très haut, quand même, niveau horreur, esthétique, univers, et on vivait effectivement quelque chose. Mais je sens quand même qu'il n'y a plus grand-chose à ajouter après. Pour moi, Suspiria aurait suffit, je trouve. Et même si on prend les autres films sans les comparer à celui-là, je demeure assez insensible face à eux. Comme je disais, ce sont des films d'horreur où scénaristiquement l'imagination n'est plus vraiment là.
Dans Inferno, sans en rajouter une couche, ce n'est pas du tout ça, mais côté "éléments risibles pour les uns", il y a par exemple ce regard-caméra de Carlo à un moment donné. Je crois me souvenir que ce moment m'avait peut-être impressionné, il y a quelques années. C'est de l'ordre du ressenti mais c'est aussi le principe d'un avis ;) , cependant ici, ça m'a fait sourire. Ça m'évoque un peu le film de vampires où le personnage principal tourne lentement la tête pour effrayer le public. J'utilise cet exemple pour dire que l'angoisse ne fonctionne peut-être plus sur moi du fait qu'on change avec le temps, mais bon, c'est assez relatif, Argento étant un cinéaste m'ayant très peu touché.
Tancrède a écrit :c'est génial, on se croirait revenu y a 7 ans.
The rider, tu veux pas te remettre un avatar Tarantino de trois kilomètres de haut avec signature qui va bien?
D'accord, et toi tu te rebaptiseras Kurtz? :D
Borislehachoir a écrit :Je ne sais pas si tu te rends compte à quel point tu es un type horripilant de condescendance et dont chaque message donne envie de te frapper, cher skippy.
Ah bah c'est la fête. :D Tous mes messages vraiment? ou juste dans les topics Argento?... Manifestement, c'est un moyen pour finir par parler du film, même plus ou moins sérieusement, mais sans mannhunter pour sortir ses vannes de collège ou répondre à côté de la plaque. C'est lui que je trouve un peu horripilant à force. :)
Dernière modification par Major Tom le 18 juin 10, 13:37, modifié 2 fois.
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AtCloseRange
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par AtCloseRange »

Ah, heureusement qu'il y a des sujets sur Argento :)
ça nous change un peu de l'unanimité sur Doris Day, tiens...
Borislehachoir
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Borislehachoir »

Major, je ne m'adressais pas à toi, je trouve la discussion entre mannhunter et toi est un peu houleuse mais c'est le jeu de la cinéphilie de confronter des avis tranchés. Je m'adressais à Tancrède dont chaque message ne fait que renforcer son inutilité et dont l'habitude de venir pourrir des débats intéressants en faisant son troll imbécile me gonfle.
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Major Tom
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Major Tom »

Borislehachoir a écrit :Major, je ne m'adressais pas à toi, je trouve la discussion entre mannhunter et toi est un peu houleuse mais c'est le jeu de la cinéphilie de confronter des avis tranchés. Je m'adressais à Tancrède dont chaque message ne fait que renforcer son inutilité et dont l'habitude de venir pourrir des débats intéressants en faisant son troll imbécile me gonfle.
Aaah toutes mes confuses. :oops:
mannhunter
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par mannhunter »

Major Tom a écrit :je le perçois un peu comme le film prémonitoire de la dernière partie de carrière d'Argento, de l'horreur basique avec le goût pour l'esthétique qui s'efface
ni bientôt par les images. Ça commence pour moi dès Inferno
tu trouves vraiment qu'il n'y aucune recherche esthétique dans des films (qu'on les juge réussis ou ratés,peu importe),comme "Inferno","Ténèbres","Phenomena","Trauma","Le syndrome de Stendhal" et les autres?
Ne serait-ce que les influences picturales de peintres De La Tour pour "le fantôme de l'opéra",Bosch et Caravage pour "La Terza Madre","Trauma",la peinture romantique pour "Phenomena",l'influence surréaliste sur "Suspiria" et "Inferno",etc...après c'est sûr on est pas obligés d'aimer tel ou tel peintre,le travail de tel ou tel chef op ou l'approche de tel ou tel réalisateur même :wink: mais je pense qu'il y a une démarche de créer une esthétique sur ces films,de chercher à renouveler son approche visuelle (d'où aussi le choix de varier ses directeurs de la photo,de Vittorio Storaro à Benoit Debie,du vétéran Ronnie Taylor au jeunot Frederic Fasano)
Major Tom a écrit :mais sans mannhunter pour sortir ses vannes de collège ou répondre à côté de la plaque. C'est lui que je trouve un peu horripilant à force. :)
bon alors sur ce je me tais :) et je :arrow:
Dernière modification par mannhunter le 18 juin 10, 14:21, modifié 3 fois.
Nomorereasons
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Nomorereasons »

Borislehachoir a écrit :Je m'adressais à Tancrède dont chaque message ne fait que renforcer son inutilité et dont l'habitude de venir pourrir des débats intéressants en faisant son troll imbécile me gonfle.
Tu prends toi-même ton impatience un peu trop au sérieux. Les posts de Tancrède sont courts, lapidaires, mais inutiles, jamais (ceci dit sans vouloir froisser aucune susceptibilité).
Borislehachoir
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Borislehachoir »

yaplusdsaisons a écrit :
Borislehachoir a écrit :Je m'adressais à Tancrède dont chaque message ne fait que renforcer son inutilité et dont l'habitude de venir pourrir des débats intéressants en faisant son troll imbécile me gonfle.
Tu prends toi-même ton impatience un peu trop au sérieux. Les posts de Tancrède sont courts, lapidaires, mais inutiles, jamais (ceci dit sans vouloir froisser aucune susceptibilité).
La solidarité entre trolls n'est donc pas une légende.
Nomorereasons
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Re: Inferno (Dario Argento)

Message par Nomorereasons »

Borislehachoir a écrit :
yaplusdsaisons a écrit :
Tu prends toi-même ton impatience un peu trop au sérieux. Les posts de Tancrède sont courts, lapidaires, mais inutiles, jamais (ceci dit sans vouloir froisser aucune susceptibilité).
La solidarité entre trolls n'est donc pas une légende.
Certes! Mille caresses, ami Boris.
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