Erotik topic

[hellrick]

la prochaine production de Axel Braun...

En tout cas ça a l'air de fonctionner pour lui avec son système de "porn parody". Dire que j'en ai vu aucune

2015 Barbarella XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 Cinderella XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 X-Men XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 Sleeping Beauty XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 24 XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 Spider-Man XXX 2: An Axel Braun Parody (Video)
2014 Snow White XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 Captain America XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2014 This Ain't Game of Thrones XXX (Video)
2013 Thor XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2013 This Ain't Homeland XXX (Video)
2013 Wolverine XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2013 Man of Steel XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2013 This Ain't Star Trek 3 XXX: This Is a Parody (Video)
2013 Iron Man XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2013 She-Hulk XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2013 This Ain't Terminator XXX (Video)
2012 Superman vs. Spider-Man XXX: An Axel Braun Parody (Video)
2012 This Ain't the Expendables XXX (Video)
2012 This Ain't Avatar XXX 2: Escape from Pandwhora (Video)
2012 The Dark Knight XXX: A Porn Parody (Video)
2012 Avengers XXX: A Porn Parody (Video)
2012 This Ain't the Smurfs XXX (Video)
2012 Star Wars XXX: A Porn Parody (Video)
2011 This Ain't Dracula XXX (Video)
2011 Spider-Man XXX: A Porn Parody (Video)
2011 This Ain't Lady Gaga XXX (Video)
2011 This Ain't Ghostbusters XXX (Video)
2011 Superman XXX: A Porn Parody (Video)
2011 Elvis XXX: A Porn Parody (Video)
2011 This Ain't Jeopardy! XXX (Video)
2010 This Ain't Avatar XXX (Video)
2010 This Ain't Glee XXX (Video)
2010 This Ain't I Dream of Jeannie XXX (Video)
2010 Batman XXX: A Porn Parody (Video)
2010 This Ain't Dirty Jobs XXX (Video)
2010 This Ain't Star Trek XXX 2: The Butterfly Effect (Video)
2010 This Ain't Charmed XXX (Video)
2010 This Ain't Cops XXX (Video)
2009 This Ain't Beverly Hills 90210 XXX (Video)
2009 This Ain't Happy Days XXX: Fonzie Luvs Pinky (Video)
2009 This Ain't Saved by the Bell XXX (Video)
2009 This Ain't Star Trek XXX (Video)
2009 This Ain't Happy Days XXX (Video)

[Helena]

Tous ne sont pas des films, il y a énormément de bonus dans ta liste de ses dvds, comme des court-métrages si tu préfères.

Captain America XXX: An Axel Braun Parody et Batman XXX: A Porn Parody, ainsi que le court Terminator sont les meilleurs, mais je ne suis pas objective vu qu'il y a des amies dedans.

[hellrick]

L’ENFER POUR MISS JONES 5

Au début des années ’90, le cinéma porno a vécu, laissant la place à la vidéo de consommation courante. Dans ce contexte, l’industrie se tourne vers des valeurs sûres avec des suites et remakes des plus grands succès des deux précédentes décennies. Gregory Dark (qui se reconvertira ensuite dans la réalisation de clips) partage à ce moment son temps entre le hardcore et le softcore, généralement sous le pseudonyme de Gregory Hippolyte, et inonde les vidéoclubs de sexy thrillers comme les franchises ANIMAL INSTINCTS ou SECRET GAMES. Des produits très classiques, louchant sur le BASIC INSTINCT de Paul Verhoeven, beaucoup moins novateurs que ses X déjantés. Déjà réalisateur de L’ENFER POUR MISS JONES 3 et 4 dix ans plus tôt, Dark propose ainsi BETWEEN THE CHEEKS 2 et 3 (suites de son grand succès de 1985), NEW WAVE HOOKERS 2, 3 et 4 (là aussi des succédanés à un « classique » de 1985). En 1995, Gregory Dark lance ce tardif ENFER POUR MISS JONES 5 qui témoigne des changements (probablement) irréversibles subis par le porno en deux décennies.

Après les prétentions « auteurisantes » et l’ambiance dépressive du premier volet, l’humour du second (un des derniers grands films X pré-Sida et pré-vidéo) et l’ambiance rock & roll déjantée des troisième et quatrième, ce cinquième s’aventure, pour le meilleur et pour le pire, sur les terres de l’expérimentation visuelle tout azimut.

Le physique de la comédienne incarnant Justine Jones trahit, lui-aussi, l’évolution des standards : Georgina Spelvin était une « femme normale » âgée d’une quarantaine d’années dans les deux premiers volets, Lois Ayres rajeunit le personnage dans les deux suivants (elle avait alors la vingtaine et un look de mannequin vaguement punk) et Juli Ashton (une des grandes stars de l’époque) représente la Justine des années ’90 avec son physique de poupée ultra-sexué et sa voracité sexuelle entretenue par un scénario prétexte.

Car Dark, en roue libre, se soucie moins de son intrigue minimale que de ses scènes hard, liées entre elles par quelques vignettes bizarroïdes décrivant les tentatives du diable (Rip Hymen, un cool pseudo) pour corrompre une fois de plus Miss Jones. Après une brève scène introductive (hum !), Dark lance les hostilités en proposant une première séquence mettant en vedette Juli Ashton, l’increvable T.T. Boy, Dave Cummings et Amanda Addams. Le passage est typique du style du cinéaste: gros plans privilégiés, utilisation de sextoy, fascination pour le voyeurisme et, surtout, montage hystérique et esthétique proche des clips de la génération MTV. Dès lors, les plans durent rarement plus d’une ou deux secondes et le cinéaste use de divers procédés vidéo (accélérés, ralentis, image dans l’image, etc.) pour rendre le tout frénétique, bercé par une musique instrumentale agressive mais rapidement énervante.

La vignette suivante concerne à nouveau une Juli Ashton cette fois transposée dans une orgie romaine dans la grande tradition. Jeanna Fine (et son strap-on) s’occupe de la demoiselle en compagnie de quatre chanceux hardeurs. Le passage suivant place Miss Jones en position de voyeuse pour une nouvelle variation sur la « séduction des innocentes » (on doute un peu de ce qualificatif) en compagnie de deux actrices et quatre acteurs dont le vétéran Tom Byron (toujours actif aujourd’hui et ayant plus de 1600 « rôles » au compteur). Inspiration semblable pour la vignette suivante : Juli Ashton reste le plus souvent à l’écart de l’action (elle a néanmoins droit à sa récompense, comprenez le cum-shot final) pour laisser libres la Française Rebecca Lord et la blonde américaine Sindee Coxx, la première en lingerie noire, la seconde en lingerie blanche, toutes deux confinées dans des cages. Une opposition traditionnelle mais toujours plaisante à l’œil. Les trois scènes suivantes sont similaires : cinq ou six participants, beaucoup de toys, une alternance entre les passages saphiques et les moments hétérosexuels, des tenues fétichistes, un rythme effréné.

Bref, visuellement intéressant mais sensuellement limité : le manque d’implication du spectateur, la construction en vignettes non reliées entre elles et le zapping de tout background ou préliminaire rend l’ensemble très mécanique, témoignage d’une nouvelle manière d’envisage le X, autrement dit par scènes indépendantes plutôt que comme un tout construit.
Le problème de L’ENFER POUR MISS JONES 5 réside surtout dans le côté répétitif des passages hardcore, assez semblables au point que l’on finit par s’ennuyer malgré le physique avenant (à condition d’apprécier le style poupées gonflées siliconées et épilées) des comédiennes. La mise en scène de Greg Dark finit, elle aussi, par fatiguer : le montage ultra rapide, les cuts nerveux (les personnages changent de position fréquemment), les incrustations expérimentales, les effets bizarres et la musique lancinante prive la plupart des saynètes de leur potentiel érotique en dépit de leur énergie, également véhiculé par des hardeuses proprement déchaînées.

Dans l’ensemble, L’ENFER POUR MISS JONES 5 s’avère correct mais relativement décevant : en tant que « film » il ne possède pas l’inventivité des précédents et en tant que « porno » il manque un peu de potentiel érotique de par son style outré. Le tout se hisse cependant un peu au-dessus de la moyenne des vidéos interchangeables tournées à la chaine durant la même période.

5/10

[hellrick]

ERUPTION

Classique du porno classieux, ERUPTION marie avec bonheur érotisme et polar puisqu’il reprend entièrement (quoiqu’avec quelques twists bienvenu) la trame narrative du fameux ASSURANCE SUR LA MORT de Billy Wilder réalisé en 1944. Rarement aura-t-on vu, par conséquent, un X aussi solidement écrit.

L’agent d’assurance Pete Wilson (John Holmes) drague sur une plage d’Hawaï la belle Sandra Bevin (Leslie Bovée) qui lui propose rapidement un plan audacieux afin de supprimer son mari, Harry, et de toucher une forte prime. Wilson accepte, rencontre Harry et lui fait signer, par ruse, un juteux contrat. Peu après, les deux amants l’étranglent et dissimulent son corps. Wilson se charge dès lors de personnifier le défunt auprès d’un couple de connaissances de Sandra. Il prétend aussi s’être cassé la jambe et arbore donc un plâtre. Toutefois, il insiste pour effectuer une virée en voilier et, à peine sorti du port, tombe à l’eau sous les yeux de témoin. Quelques heures plus tard la police découvre le cadavre et conclut à une mort accidentelle, sa jambe fracturée lui ayant empêché de regagner le rivage. Cependant un collègue de Wilson flaire le pot aux roses et mène sa propre enquête, persuadé qu’Harry a été assassiné. L’étau se resserre sur Wilson et sa maitresse d’autant que cette dernière pourrait bien jouer double-jeu avec l’amoureux de sa belle-fille.

Témoignage précieux des seventies, ERUPTION semble l’unique réalisation de Stanley Kuran et l’unique scénario de Justin Welton. Peut-être n’étaient-ils motivés que par cet hommage à un classique du film noir et ne souhaitaient-ils pas poursuivre une carrière dans le X ? Quoiqu’il en soit le duo se donne les moyens de ses ambitions et filme adroitement cette intrigue dans les paysages enchanteurs d’Hawaï. La plupart des scènes hard se déroulent, en effet, en extérieur et s’avèrent parfaitement intégrées à l’intrigue. De plus elles ne sont ni trop nombreuses (six, dont quatre donnant la vedette à Holmes) ni trop longues, évitant tout ennui malgré leur caractère un brin répétitif (trois concernent Holmes et Bovée en pleines machinations criminelles). Les moments non sexuellement chargés se révèlent pour leur part aussi intéressant, si ce n’est plus, que les passages érotiques grâce à une interprétation globalement convaincante. Holmes s’y montre, en effet, crédible et prouve que sa notoriété ne provenait pas uniquement de son engin surdimensionné (« 35 centimètres de talent » affirme le titre d’une de ses biographies). Légende de l’âge d’or du X ayant tourné plus de 2 000 films (professionnels et amateurs), Holmes, dont la vie inspira BOOGIE NIGHTS, décéda du Sida en 1988 après son implication dans une sinistre et obscure affaire de meurtres, relatée dans le film WONDERLAND. Dans ERUPTION, Holmes a pour partenaire l’ancienne hôtesse de l’air reconvertie dans l’industrie pour adultes Leslie Bovée (TAKE OFF, SEX WORLD) et Susan Hart dont ce fut l’unique prestation.

Joliment photographié, intelligemment écrit, réalisé de manière compétente et interprété de manière crédible, ERUPTION constitue une véritable capsule temporelle à redécouvrir pour les amateurs de porno de qualité. Un film comme on n’en fait plus (et comme on n’en fera probablement plus jamais) qui nous rappelle le bref âge d’or connu par le genre durant la seconde moitié des années ’70. Une belle réussite.

7/10

[hellrick]

L’INITIATION DE ROSALIE

Connu sous différents titres (notamment “Rosalie se découvre”) cette petite production suit le parcours de Rosalie, jeune fille plutôt timide qui quitte provisoirement sa petite ville de province (et, accessoirement, son fiancé) pour se rendre à Zurich. Là, elle devient assistante du docteur Palmer, un coureur invétéré qui n’est pas insensible à ses charmes.
Typique de son époque, le métrage de l’acteur et réalisateur Michel Lemoine (dissimulé sous son pseudonyme coutumier de Michel Leblanc) déroule le traditionnel récit d’initiation (le titre ne trompe donc pas !) d’une jeune fille prude partie se dévergonder dans la métropole. La demoiselle bénéficie de la plastique de la très belle Olinka Hardiman qui, après ses débuts discrets dans EMMANUELLE A CANNES, joua beaucoup de sa ressemblance avec Marylin Monroe. Dès le début des eighties (et le bien nommé LES NUITS DE MARYLIN), on la vit ainsi incarner une sosie délurée de la star disparue dans une demi-douzaine de pornos d’intérêt variable.

L’INITIATION DE ROSALIE se révèle caractéristique d’une période révolue du hard et, comme le qualifie l’indispensable Christophe Bier dans les bonus, constitue un porno « frais » et joyeux, loin de la vulgarité et des spécificités du X actuel. Bénéficiant d’une intrigue banale mais acceptable saupoudrée d’une pincée d’humour, d’une photographie classieuse, de décors champêtres agréables et d’un réel soin au niveau technique, le film se regarde donc sans le moindre ennui. Les scènes sexy se succèdent donc : dans un cabinet médical, sur le capot d’une voiture, en pleine nature dans les montagnes suisses, dans un magasin de vêtement (l’inévitable et réussi passage saphique), etc. Rien de très original mais un ensemble bien mené et sans temps morts, l’intrigue basique permettant de passer, de manière très fluide, d’un passage chaud au suivant sans négliger un peu de comédie pour occuper le spectateur entre deux galipettes.

Quoique présenté dans sa version soft (comme tous les films de la collection « Erotisme à la française » édité par Bach Films), L’INITIATION DE ROSALIE n’a pas trop à en souffrir (contrairement à LA MAISON DES FANTASMES par exemple qui perd tout son charme ainsi censuré) et demeure suffisamment explicite (l’ensemble frôle souvent le hard mais évite les gros plans gynécologiques) pour contenter l’amateur d’érotisme. La plastique irréprochable d’Olinka (et de ses copines), les saynètes (volontairement ?) clichées (notamment celle de la salle d’attente, à la fois drôle, débile et sexy), le rythme vivifiant et la bonne humeur généralisée (jusqu’à l’inévitable bal masqué final qui vire à l’orgie et la conclusion gentiment moralisatrice) rendent cette INITIATION DE ROSALIE bien sympathique pour les nostalgiques. Plaisant.

[Federico]

Reportage sur la démocratisation du VHS porno vers le début des années 80 où l'on voit un boucher et un bar-tabac proposer la location !
(date précise inconnue, les archivistes de l'INA sont visiblement en vacances puisqu'ils indiquent 2010 )

[-Kaonashi-]

(date précise inconnue, les archivistes de l'INA sont visiblement en vacances puisqu'ils indiquent 2010 )

Sur le site public de l'INA il y a beaucoup de vidéos dont certaines ne sont pas dans le catalogue de l'INA, et d'autres sont ajoutés rapidement. C'est assez mal fait.
Mais pour avoir accès au site pro et avoir à y chercher souvent des archives pour le boulot, je peux te dire que les documentalistes font la plupart du temps un très bon boulot d'archivages et d'indexation.
2010 c'est l'année de diffusion de ce reportage sur le site public de l'INA (cf. le "réalisateur" indiqué). Dommage que les précisions de provenance et de date d'origine des reportages ne figurent nulle part.
En fait ça provient de l'émission d'Antenne 2 "Sexy Folies", du 30 avril 1986, présentée par France Roche.

[hellrick]

J'ai découvert (mais pas vu) l'existence de X-Rated: The Greatest Adult Movies of All Time: Un documentaire sur le hard qui a l'air intéressant et qui date de cette année...comme toujours le film propose la liste des 32 meilleurs films X de tous les temps, la voici:


Deep Throat (1972)

Behind the Green Door (1972)

Devil in Miss Jones (1973)

The Opening of Misty Beethoven (1976)

Barbara Broadcast (1977)

Debbie Does Dallas (1978)

Taboo (1980)

Blonde Ambition (1981)

Neon Nights (1981)

Nothing to Hide (1981)

Roommates (1981)

Café Flesh (1982)

Scoundrels (1982)

Hidden Obsessions (1992)

Nothing to Hide II: Justine (1993)

Latex (1995) (Video)

Flashpoint (1998) (Video)

Looker (1998) (Video)

The Seven Deadly Sins (1999) (Video)

Dark Angels (2000) (Video)

The Fashionistas (2002) (Video)

The Masseuse (2004) (Video)

Pirates (2005) (Video)

The Devil in Miss Jones (2005) (Video)

Corruption (2006) (Video)

Upload (2007) (Video)

Fallen (2008) (Video)

The 8th Day (2009) (Video)

Star Wars XXX: A Porn Parody (2012) (Video)

Wasteland (2012) (Video)

The Submission of Emma Marx (2013) (Video)

Underworld (2013) (Video)

Pleins de films me sont inconnus...(quasi tout ceux post années 80) à découvrir donc

[hellrick]

ECHANGES DE PARTENAIRES

Daté de 1976, ECHANGES DE PARTENAIRES s’inscrit en plein “âge d’or » du porno français et bénéficie du savoir-faire soigné de Claude Mulot à la mise en scène. Responsable (à la fois comme scénariste, réalisateur et producteurs) d’une poignée de classiques du hard franchouillard, Mulot livre ici une sorte de « comédie de mœurs » où les badinages et autres marivaudages laissent la place à des passages explicites. L’intrigue (car il y en a bien une !) concerne un couple, Martine et Bob, fraichement marié en vacances chez des amis, Eric et Joelle, en pleine crise matrimoniale et au bord du divorce. La situation va se compliquer avec l’arrivée d’une nymphette nymphomane, Ange, qui trouble tout ce petit monde sous le soleil (si !) de Deauville.

Vont alors se succéder les passages érotiques qui restent agréables à l’œil en dépit des coupes nécessaires à cette version soft. Le physique des comédiennes, parmi les plus célèbres stars du X des seventies, sont évidemment la principale plus-value du long-métrage, Dawn Cummings (vue dans SENSATIONS et MES NUITS AVEC ALICE, PENELOPE, ARNOLD, MAUD & RICHARD) et Karine Gambier (LA RABATEUSE) exhibant longuement leur anatomie aux côtés de la jouvencelle Olivia Florès (BON CHIC BON GENRE… MAIS SALOPES !). Les trois jeunes femmes multiplient les scènes chaudes : dans une baignoire, sur une moto, avec trois bikers en cuir, avec deux marins caricaturaux, etc. Au final, le titre ayant vendu la mèche, nous aurons droit au prévisible échange de partenaires annoncé…

Loin du porno graveleux, du hard crad ou du gonzo, ECHANGES DE PARTENAIRES demeure un petit film joyeux, plaisant, enjoué et empreint d’un ton libertin sympathique. Aujourd’hui, à l’heure des catégorisations à outrance, il serait sans doute qualifié de « porno chic » voir de « rom porn » tant l’aspect romantique prédomine. L’aspect ludique est également très présent, la plupart des scènes chaudes étant traitées comme autant de jeux « entre adultes consentants » afin d’épicer la vie sexuelle des protagonistes. La bonne humeur est donc de mise et même les inévitables scènes de viol sont traitées sur un ton léger et décontracté. D’ailleurs, forcément, tout finira bien pour notre petite bande d’amis.

Joliment photographié par le très professionnel Roger Fellous (un des grands directeurs photos du cinéma français reconverti sur le tard dans le hard classieux), ECHANGES DE PARTENAIRES bénéficie d’un scénario correct, de comédiennes chevronnées, de jolis décors et d’une mise en scène sans reproche. Bref, nous sommes clairement au-dessus de la moyenne des pornos de la même époque et le film se situe même dans le haut de gamme de la production. Une nouvelle confirmation que les réalisations de Claude Mulot sont à redécouvrir, le cinéaste étant, avec Francis Leroi, Gerard Kikoïne et quelques autres un « véritable label de qualité » pour les amateurs d’érotisme.

Belle copie de la part de Bach Film qui propose le film dans sa version française ou anglaise, en version soft (d’une durée de 65 minutes) assorti d’une sympathique présentation d’une dizaine de minutes assurée par Christophe Lemaire.

[Eusebio Cafarelli]

Plusieurs personnalités (notamment Positif inside, si j'ose dire) proposent une sélection hard

http://www.chaosreigns.fr/les-10-pornos ... -du-monde/

[hellrick]

Plusieurs personnalités (notamment Positif inside, si j'ose dire) proposent une sélection hard

http://www.chaosreigns.fr/les-10-pornos ... -du-monde/

Les listes sont sympas, entre classiques que j'ai vu (et que tout le monde devrait voir ou avoir vu comme Café Flesh ou Miss Jones), films dont j'ai souvent entendus parler sans franchir le pas (le corps de chasse en particuliers) et films obscurs dont certains ont l'air bien tentant...

Les vus:
- Dans la chaleur de St Tropze
- Indécences 1930
- Café Flesh
- Nightdreams
- Devil in miss Jones
- Derrière la porte verte
- Gorge profonde (mouais...)
- Le sexe qui parle
- Rêves de cuir
- Forced Entry
- Les petites écolières
- Defiance of Good
- Waterpower
- Mes nuits avec...
- La femme objet
- New Wave Hookers
- Alice in wonderland XXX
- Le sexe qui parle
- Caligula


Me tentent:
- Fashionistas
- Pirates 2 (pourtant le 1 était juste moyen malgré les gros...moyens)
- Emoções Sexuais de Um Cavalo
- The Masseuse 2
- Let my puppet come (ça à l'air rigolo, je connais depuis longtemps mais jamais vu)
- Smoker
- Petites filles au bordel
- Sex Wish

...et p'tet le corps de chasse dont j'ai tellement entendu parler que j'ai l'impression de l'avoir vu (alors que non )

[1kult]

Plusieurs personnalités (notamment Positif inside, si j'ose dire) proposent une sélection hard

http://www.chaosreigns.fr/les-10-pornos ... -du-monde/

Les listes sont sympas, entre classiques que j'ai vu (et que tout le monde devrait voir ou avoir vu comme Café Flesh ou Miss Jones), films dont j'ai souvent entendus parler sans franchir le pas (le corps de chasse en particuliers) et films obscurs dont certains ont l'air bien tentant...

Le film le plus crade au monde qu'il m'ait été donné de voir. Une demi-molle dessus est inconcevable. Inimaginable.

[Chdx]

Me tentent:
...Pirates 2 (pourtant le 1 était juste moyen malgré les gros...moyens)...

Je te conseille celui la, d'abord pour le casting blindé mais surtout pour la démesure du quadruple DVD:

1 DVD de 2h18 avec le film comprenant les 10 scènes hard en version "courtes" (ça va l'essentiel, le montage très rythmé donnant un film bien dynamique),
1 DVD de 2h40 avec uniquement les 10 scènes hard en version longue (et une en bonus)
et e disques de making of couvrant a peu prés tout de l'entrainement a l'épée aux costumes ( )

Bref, c'est a la fois ambitieux et roboratif.

[Kevin95]

Histoire de briller en société, j'ai une question qui me taraude depuis pas mal de temps : est-ce qu'un pro du boulard sait quel est le film utilisé pour ce sketch des Nuls :

http://www.dailymotion.com/video/x7gw6p ... bassat_fun

Je reconnais que la question est ardue (hormis le fait de reconnaitre Brigitte Lahaie). Et encore, je n'ai pas posé la question pour leur sketch "crac crac"...

Spoiler (cliquez pour afficher)

http://www.dailymotion.com/video/x1pnza_cracotte_fun

Mais si quelqu'un sait, qu'il n'hésite pas !

[Flol]

Spoiler (cliquez pour afficher)

http://www.dailymotion.com/video/x1pnza_cracotte_fun
Mais si quelqu'un sait, qu'il n'hésite pas !

Déjà à gauche, je crois avoir reconnu Alban Ceray. Peux pas plus t'aider.