Woody Allen

[lecoinducinéphage]

"Woody Allen - a documentary" sur Arte+7 : http://www.arte.tv/guide/fr/060176-000- ... autoplay=1

[Spongebob]

Excellent documentaire qui est aussi disponible sur Netflix.

[Jeremy Fox]

Hollywood Ending - 2002

Et bien si ! Woody Allen malgré toute l'estime que je lui porte a fait de mauvais films ; en voici le plus parfait exemple. Et c'est uniquement de sa faute en plus. Quelle mauvaise idée d'avoir fait de la cécité de son personnage principal un gag pas drôle de plus d'une heure d'où en découle un film laborieux aux séquences toutes bien trop longues. J'avais rarement vu un film de Woody Allen aussi mal rythmé et aussi laborieux. Alors bien évidemment qu'il reste quelques répliques tordantes, un sympathique background musical et de très bons comédiens (Treat Williams notamment)... mais que ce fut pénible de voir l'un de mes cinéastes préférés réaliser un film presque aussi mauvais sur la forme et sur le fond que celui qui fait l'objet de l'intrigue ce Hollywood Ending.

[Supfiction]

Hollywood Ending - 2002

Et bien si ! Woody Allen malgré toute l'estime que je lui porte a fait de mauvais films ; en voici le plus parfait exemple. Et c'est uniquement de sa faute en plus. Quelle mauvaise idée d'avoir fait de la cécité de son personnage principal un gag pas drôle de plus d'une heure d'où en découle un film laborieux aux séquences toutes bien trop longues. J'avais rarement vu un film de Woody Allen aussi mal rythmé et aussi laborieux. Alors bien évidemment qu'il reste quelques répliques tordantes, un sympathique background musical et de très bons comédiens (Treat Williams notamment)... mais que ce fut pénible de voir l'un de mes cinéastes préférés réaliser un film presque aussi mauvais sur la forme et sur le fond que celui qui fait l'objet de l'intrigue ce Hollywood Ending.

C'est le denier dans film pour lequel il se donne le premier rôle comme au temps de ses premières comédies déjantées. On y retrouve le même rythme trépidant et la même appétence pour les bons mots qui fusent toutes les 60 secondes. A ce rythme, évidemment il y a des hauts et beaucoup de gags (très) lourdingues (mais ça a toujours été partie prenante de son comique). Certains font sourire d'autres franchement pas mais ça reste bizarrement plaisant à regarder tant c'est soutenue sans être soulant. C'est une comédie ultra-narcissique puisqu'il parle énormément de lui, ou plutôt de son image et fait de multiples clins d’œil très appuyés. Le ton y est plus sarcastique que jamais comme si Woody Allen avait des comptes à régler. Jouant un mari écarté, il a rarement été aussi teigneux. Mais son duo comique avec Tea Léoni fonctionne. Bien qu'elle soit évidemment beaucoup plus jeune que lui, on croit à ce couple hors norme. La classe naturelle et le sens de la comédie de l'actrice apporte beaucoup je trouve pour contrebalancer la méchanceté et la lourdeur du jeu de Woody. Elle sauve pratiquement le film.

[AtCloseRange]

Hollywood Ending - 2002

Et bien si ! Woody Allen malgré toute l'estime que je lui porte a fait de mauvais films ; en voici le plus parfait exemple. Et c'est uniquement de sa faute en plus. Quelle mauvaise idée d'avoir fait de la cécité de son personnage principal un gag pas drôle de plus d'une heure d'où en découle un film laborieux aux séquences toutes bien trop longues. J'avais rarement vu un film de Woody Allen aussi mal rythmé et aussi laborieux. Alors bien évidemment qu'il reste quelques répliques tordantes, un sympathique background musical et de très bons comédiens (Treat Williams notamment)... mais que ce fut pénible de voir l'un de mes cinéastes préférés réaliser un film presque aussi mauvais sur la forme et sur le fond que celui qui fait l'objet de l'intrigue ce Hollywood Ending.

C'est le denier dans film pour lequel il se donne le premier rôle comme au temps de ses premières comédies déjantées. On y retrouve le même rythme trépidant et la même appétence pour les bons mots qui fusent toutes les 60 secondes. A ce rythme, évidemment il y a des hauts et beaucoup de gags (très) lourdingues (mais ça a toujours été partie prenante de son comique). Certains font sourire d'autres franchement pas mais ça reste bizarrement plaisant à regarder tant c'est soutenue sans être soulant. C'est une comédie ultra-narcissique puisqu'il parle énormément de lui, ou plutôt de son image et fait de multiples clins d’œil très appuyés. Le ton y est plus sarcastique que jamais comme si Woody Allen avait des comptes à régler. Jouant un mari écarté, il a rarement été aussi teigneux. Mais son duo comique avec Tea Léoni fonctionne. Bien qu'elle soit évidemment beaucoup plus jeune que lui, on croit à ce couple hors norme. La classe naturelle et le sens de la comédie de l'actrice apporte beaucoup je trouve pour contrebalancer la méchanceté et la lourdeur du jeu de Woody. Elle sauve pratiquement le film.

Une des pires actrices de sa génération.

[Jeremy Fox]

Trépidant !? Soutenu !? Son film le moins bien rythmé avec Le Scorpion de Jade. La période la plus mauvaise de Woody que ce début des années 2000.

[Supfiction]

C'est le denier dans film pour lequel il se donne le premier rôle comme au temps de ses premières comédies déjantées. On y retrouve le même rythme trépidant et la même appétence pour les bons mots qui fusent toutes les 60 secondes. A ce rythme, évidemment il y a des hauts et beaucoup de gags (très) lourdingues (mais ça a toujours été partie prenante de son comique). Certains font sourire d'autres franchement pas mais ça reste bizarrement plaisant à regarder tant c'est soutenue sans être soulant. C'est une comédie ultra-narcissique puisqu'il parle énormément de lui, ou plutôt de son image et fait de multiples clins d’œil très appuyés. Le ton y est plus sarcastique que jamais comme si Woody Allen avait des comptes à régler. Jouant un mari écarté, il a rarement été aussi teigneux. Mais son duo comique avec Tea Léoni fonctionne. Bien qu'elle soit évidemment beaucoup plus jeune que lui, on croit à ce couple hors norme. La classe naturelle et le sens de la comédie de l'actrice apporte beaucoup je trouve pour contrebalancer la méchanceté et la lourdeur du jeu de Woody. Elle sauve pratiquement le film.

Une des pires actrices de sa génération.

Ce n'est pas une actrice qui tourne beaucoup, elle a fait pas mal de blockbusters et du coup je l'ai vu surtout dans des comédies (Family Man, Spanglish, Holluwood Ending) dans lesquels je l'ai trouvé juste (par contre je n'ai pas pu supporter Fun with Dick and Jane plus d'une demi-heure mais l'original n'était déjà pas bon). Face à Woody Allen, elle apporte une sobriété (voire une froideur) et une classe bienvenues qui permettent une respiration dans le rythme soutenu.

Car oui, à la fois je suis d'accord que l'on puisse trouver les gags pas drôles, mais question ryhtme je ne trouve rien à redire à ce film.

[odelay]

JE viens de découvrir le dernier Woody Allen que je n'avais jamais vu : TO ROME WITH LOVE.

Vu les mauvaises critiques ici et là, je m'étais préparé à une énorme déception et du coup, comme souvent dans ces cas-là, j'ai été un petit peu (UN PETIT PEU) agréablement surpris. Ca reste gentillet même s'il sera clairement en bas de la liste de mon top. Evidemment de sa part on attend plus que gentillet ou même gentil, mais bon, je ne me suis pas trop ennuyé même s'il est de toute évidence en mode automatique. C'est dommage notamment pour le segment avec Begnini sur la célébrité du vide car même si on sourit on sent qu'il a vite fait le tour et on regrette qu'il n'approfondisse pas un peu plus, on reste très en surface. La partie Eiseinberg a été vue et revue dans plein d'autres films et celle de Cruz et du couple italien tourne vite en rond; Reste celle d'Allen et Judy Davis qui nage totalement aussi en terrain connu mais qui a un gag grandiose qui m'a bien fait rigoler à chaque fois qu'il apparaissait. Rien que pour ça, sa vision valait le coup (oui, et le fait que le blu ray ma couté 5 euros, donc forcément on fait moins la grimace qu'une place de ciné à 12). Le film est une succession de courts métrages qui s'entremêlent sans relations entre eux, c'est très très léger (dans le sens il ne s'est pas foulé), ça aurait demandé beaucoup plus de travail, mais au bout du compte ce n'est pas désagréable.
On se rappellera du film pour un gag. Sur une filmo de presque 50 films dont beaucoup de chefs d'oeuvre, on lui pardonnera facilement.

[El Dadal]

on lui pardonnera facilement.

Je ne lui pardonne toujours pas d'avoir sacrifié Greta

[odelay]

Greta qui? Scacchi? Elle a été virée du film?

[El Dadal]

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[Supfiction]

on lui pardonnera facilement.

Je ne lui pardonne toujours pas d'avoir sacrifié Greta

C'est un peu un rendez-vous manqué ces deux-là.

[Flol]

Reste celle d'Allen et Judy Davis qui nage totalement aussi en terrain connu mais qui a un gag grandiose qui m'a bien fait rigoler à chaque fois qu'il apparaissait

C'est quoi le gag ? Pardon, je ne me rappelle évidemment plus de ce film (si ce n'est qu'il m'avait bien gonflé).

[Alexandre Angel]

C'est quoi le gag ?

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Celui du chanteur d'opéra qui ne chante bien que sous la douche, je pense

Gag génial

[Flol]

Ah. Sur le papier, oui c'est drôle. Mais dans le film, ça ne m'a jamais fait rire.