Quiz contemporain en images du confinement

[Karras]

[Demi-Lune]

Indice : le mec sur la cap' est juste l'un des plus grands musiciens de la seconde moitié du XXe siècle.

Bisous

[El Dadal]

[Major Tom]

[Jack Carter]

il trouve avec l'indice et il la ramene

[Major Tom]

Merci pour la capture.
J'ai eu du mal à reconnaître Dizzy Gillespie (ou Tahar Rahim, je ne sais plus), mais confinement ou pas, j'ai une vie chargée. Je retourne à ma partie de Candy Crush.
Tschüß.

[El Dadal]

Le mec qui révèle tout avec ses gifs !

[Major Tom]

[Demi-Lune]

Il reste deux places.

[Zelda Zonk]

Dégoûté, je débarque que maintenant, c'est trop simple quand on est fan de jazz

Je l'aurais eu dans la minute

[Demi-Lune]

C'est fini.

[Demi-Lune]

Capture n°24

Il fallait reconnaître Herbie Hancock, qui joue dans le film et en a supervisé la bande originale, qui remporta à la fois le César et l'Oscar de la meilleure musique de film en 1987. Entraînant au passage une petite polémique sur le caractère de création originale, notamment au regard des pronostics qui donnaient Ennio Morricone vainqueur pour Mission. La scène en question, située à la fin du film, me file des frissons à chaque fois (et pourtant, dieu sait si je ne suis pas un grand amateur de Tavernier) : appelant le public à rendre hommage à Dale Turner, vaincu par ses démons, il reprend sur scène le morceau que ce dernier avait composé pour sa fille, "Chan's song". La scène, avec son crescendo musical et son raccord sonore et temporel (figurant parmi les plus brillants qu'il m'ait été donné de voir, alors qu'il est tout simple), me donne foi dans le Cinéma.



Autour de minuit (Bertrand Tavernier, 1986)

Le suspense reste toujours entier avec cette nouvelle victoire d'El Dadal !
Il est suivi par cinéfile, Karras, Vic Vega, Thesix, Jack Carter, Major Tom, Alexandre Angel, Zelda Zonk et John Holden.

[Zelda Zonk]

Oui, très bon choix Demi-Lune

Et Herbie Hancock est juste l'un des cinq plus grands pianistes de jazz de tous les temps

[Thesix]

Oui, et bien envie de le voir maintenant.
Je ne l'ai jamais vu.

[El Dadal]

Au passage :
- un Dexter Gordon bicéphale dont le rôle est joué avec un naturel flagrant pourtant contredit par une constante sensation de malaise. J'y vois un signe de pudeur de la part de l'interprète, mais qui sait, Gordon avait aussi peut-être quelques scrupules à "jouer" avec les démons de certains de ses vieux copains (Bud Powell en première ligne)
- Cluzet plombe quasiment toutes les scènes où il apparaît
- les production et sound design sont effectivement très solides, et on sent l'humilité de Tavernier, heureux comme un enfant de transmettre un peu du monde de ses héros