Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Farnaby
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Farnaby »

odelay a écrit :
Farnaby a écrit : morse de la lampe (mais là aussi : on aurait pu nous expliquer pourquoi la lumière du couloir peut-être pilotée de l'abri atomique) etc.
Pourquoi ? A t on vraiment besoin de tout savoir ? Il y a une incongruité dans le système, ça arrive sans que personne ne sache pourquoi.

Ce qui me trouble plus c'est le fait qu'on nous dise que les riches ont très souvent des abris atomiques en cas d'attaque du nord et que dans une telle maison on ne cherche pas à savoir si c'est le cas. Sinon je pense que c'est un grand film qui mérite son prix mais qui aurait gagné à s'arrêter après la garden party. Le reste aurait très pu être laissé à notre imagination.
Oui, ça m’a vraiment gêné : le principe est qu’il n’y a aucune communication entre l’abri et la maison, à part la porte blindée et cachée, donc pourquoi peut-on allumer la lumière du couloir de l’abri ? Avec un bouton dédié ? Je pense qu’il n’était pas difficile ni long de faire comprendre que soit l’abri prévoyait un système de communication, soit le premier captif l’avait bricolé lui-même... sans cela la belle idée du morse reste... une belle idée de scénario.

Pour l’existence même de l’abri, je pense que le problème est inverse : le film s’explique (« les riches font souvent construire des abris etc »), mais cette explication est maladroite et conduit à ton « reproche » : s’il est d’usage pour les riches d’avoir des abris, pourquoi ces riches-là n’ont-ils pas cherché à savoir s’il y en avait un. Il aurait été plus simple je pense de faire comprendre que l’abri était une obsession / secret de l’architecte.
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Alexandre Angel
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Alexandre Angel »

Farnaby a écrit : Oui, ça m’a vraiment gêné : le principe est qu’il n’y a aucune communication entre l’abri et la maison, à part la porte blindée et cachée, donc pourquoi peut-on allumer la lumière du couloir de l’abri ? Avec un bouton dédié ? Je pense qu’il n’était pas difficile ni long de faire comprendre que soit l’abri prévoyait un système de communication, soit le premier captif l’avait bricolé lui-même... sans cela la belle idée du morse reste... une belle idée de scénario.

Pour l’existence même de l’abri, je pense que le problème est inverse : le film s’explique (« les riches font souvent construire des abris etc »), mais cette explication est maladroite et conduit à ton « reproche » : s’il est d’usage pour les riches d’avoir des abris, pourquoi ces riches-là n’ont-ils pas cherché à savoir s’il y en avait un. Il aurait été plus simple je pense de faire comprendre que l’abri était une obsession / secret de l’architecte.
Même si je conçois que les invraisemblances peuvent nuire à la crédibilité d'un film, pourquoi est ce que tu t'évertues à chercher la petite bête là où nous avons affaire à une parabole?
Pour rester dans le cinéma asiatique, c'est comme si tu voulais absolument démontrer que le trou béant et suintant, dans The Hole, de Tsai Ming liang était irréaliste en termes de maintenance d'étanchéité.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Farnaby
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Farnaby »

Alexandre Angel a écrit :
Farnaby a écrit : Oui, ça m’a vraiment gêné : le principe est qu’il n’y a aucune communication entre l’abri et la maison, à part la porte blindée et cachée, donc pourquoi peut-on allumer la lumière du couloir de l’abri ? Avec un bouton dédié ? Je pense qu’il n’était pas difficile ni long de faire comprendre que soit l’abri prévoyait un système de communication, soit le premier captif l’avait bricolé lui-même... sans cela la belle idée du morse reste... une belle idée de scénario.

Pour l’existence même de l’abri, je pense que le problème est inverse : le film s’explique (« les riches font souvent construire des abris etc »), mais cette explication est maladroite et conduit à ton « reproche » : s’il est d’usage pour les riches d’avoir des abris, pourquoi ces riches-là n’ont-ils pas cherché à savoir s’il y en avait un. Il aurait été plus simple je pense de faire comprendre que l’abri était une obsession / secret de l’architecte.
Même si je conçois que les invraisemblances peuvent nuire à la crédibilité d'un film, pourquoi est ce que tu t'évertues à chercher la petite bête là où nous avons affaire à une parabole?
Pour rester dans le cinéma asiatique, c'est comme si tu voulais absolument démontrer que le trou béant et suintant, dans The Hole, de Tsai Ming liang était irréaliste en termes de maintenance d'étanchéité.
Je ne "m'évertue" pas, bien au contraire : j'aurais préféré que cela passât comme une lettre à la poste. Et ta comparaison avec The Hole me permet de mettre le doigt sur l'essentiel : un film peut assumer frontalement et simplement une invraisemblance, tout en étant très pointilleux sur la vraisemblance des 1001 détails qui en découlent. Jamais, en regardant The Hole, je ne me suis posé la question de la vraisemblance, une fois accepté le principe de base. Parasite n'a rien à voir : le film se présente comme une comédie sociale puis prend un virage plus "merveilleux / invraisemblable / parabolique" avec le sous-sol : cela ne me pose aucun problème de fond, j'accepte parfaitement de "gober" les 4 ans et tout le reste... au profit de la parabole ou simplement de la jouissance narrative. Simplement, dans ce cadre, comme dans celui de la mise en scène, je trouve qu'il y a des choses grossières, mal faites, bâclées.
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Que le fils lise dans la neige la lettre de son père en morse me bouleverse. Que le cinéaste n'ait pas jugé bon auparavant de m'expliquer comment et pourquoi de l'abri on peut contrôler le plafonnier de l'escalier de la maison me gâche le plaisir.
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Alexandre Angel
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Alexandre Angel »

Farnaby a écrit :un film peut assumer frontalement et simplement une invraisemblance, tout en étant très pointilleux sur la vraisemblance des 1001 détails qui en découlent.
C'est juste.
Pour autant, chez Bong Joon-ho, rien ne me semble mal fait ou bâclé. Je dirais qu'il appartient à une certaine catégorie de cinéastes exubérants et baroques comme pouvait l'être le Kusturica d' Underground qui réjouissait pas son inventivité et la puissance de son imaginaire à défaut de toujours faire montre de finesse.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Pomponazzo
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Pomponazzo »

Les dyptères qui passeraient par là feraient bien de serrer les fesses :)
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Alexandre Angel
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Alexandre Angel »

Pomponazzo a écrit :Les dyptères qui passeraient par là feraient bien de serrer les fesses :)
Oui...à part ça, ça va ?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Pomponazzo »

Ca va au poil, je te remercie.
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Billy Budd
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Billy Budd »

Supfiction a écrit :
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J’ai une question pour qui veut : je ne suis pas sûr de la raison pour laquelle le père/chauffeur tue le père bourgeois car ça va très vite à ce moment là. Est-ce par colère en le voyant partir à l'hôpital avec son fils simplement évanoui alors que sa fille est par terre avec un couteau dans la poitrine ?
Tu n'as pas compris le film en fait.

Supfiction a écrit :Je confirme qu'il y a bien deux coups sur la tête.
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Certes, la guérison du fils m'a surpris, j'aurai plutôt parié sur la fille, mais je n'ai pas trouvé ça si incroyable que ça (on a vu tellement pire au cinéma) sur le moment. Ce qui est gros surtout c'est la flaque de sang bien davantage que les deux coups.
Je confirme qu'il n'y en a qu'un.
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La seconde fois, la pierre tombe clairement à côté de la tête et le choc sur le sol provoque un mouvement de l'avant-bras.
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Supfiction
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Supfiction »

Billy Budd a écrit :
Supfiction a écrit :
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J’ai une question pour qui veut : je ne suis pas sûr de la raison pour laquelle le père/chauffeur tue le père bourgeois car ça va très vite à ce moment là. Est-ce par colère en le voyant partir à l'hôpital avec son fils simplement évanoui alors que sa fille est par terre avec un couteau dans la poitrine ?
Tu n'as pas compris le film en fait.
T'es un peu gonflé sur ce coup là. Que ce soit une histoire d'odeur ou ma perception de l'action sur le moment, cela ne change rien au fond des choses.

Billy Budd a écrit :
Supfiction a écrit :Je confirme qu'il y a bien deux coups sur la tête.
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Certes, la guérison du fils m'a surpris, j'aurai plutôt parié sur la fille, mais je n'ai pas trouvé ça si incroyable que ça (on a vu tellement pire au cinéma) sur le moment. Ce qui est gros surtout c'est la flaque de sang bien davantage que les deux coups.
Je confirme qu'il n'y en a qu'un.
Spoiler (cliquez pour afficher)
La seconde fois, la pierre tombe clairement à côté de la tête et le choc sur le sol provoque un mouvement de l'avant-bras.
Vu la vitesse à laquelle ça va et ne l'ayant vu qu'une fois, vous avez peut-être raison. On est au moins deux à en avoir vu deux. Le fait est qu'il y a bien deux coups sur la tête, c'était le sujet de la discussion dont on a fini par conclure qu'elle n'avait pas d'importance. :P
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Farnaby
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Farnaby »

Je suis certain que la tête est secouée une seconde fois (et persuadé qu'elle tombe la seconde fois à l'arrière de la tête). Mais je ne risque pas de regarder le film une seconde fois, car je ne l'ai pas vraiment aimé et en outre il vieillit très mal dans ma mémoire...
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par EuhBah »

Je profite de ce second jet de pierre pour rendre compte de mon visionnage car aussi anecdotique soit-il, il me parait cristalliser ce qui m'a gêné dans le film. Je vois cette scène comme une vrai coquetterie de BJW qui n'a pas hésité la garder au montage alors que le geste ne sert à rien voir même dessert le film, venant quelque peu gonfler la liste des imprécisions dont le script fait montre. Tout juste a-t-il dû s'amuser de nous voir nous effrayer au moment où la pierre menace de faire exploser plein champ cette tête comme une courge. Je ne vois pas d'autre explication logique. Imprécisions disais-je que j'observe dans cette façon un peu hâtive de jeter la fille de bonne famille dans les bras de son professeur, de garder au montage la très mauvaise prestation de Park So Dam lors de la scène (globalement trop longue) où elle est saoule, ou, enfin, d’amener trop rapidement le retournement du père contre son maître. Jongler à ce point entre le burlesque, le drame, la terreur et la poésie, implique une lisibilité parfaite de ce à quoi on assiste et des mouvements conjointement menés au risque de passer à côté des enjeux. Si soudain le spectateur arrive à se demander s'il a affaire à un changement de ton ou une incongruité, il y a un risque qu'il sorte du film. Et la je trouve que la mayonnaise ne monte jamais aussi haut qu'avec Memories of murder qui pour entrelacer les mêmes registres, fait montre d'une précision époustouflante.

Si le film n'emporte pas tout à fait mon adhésion, je reste toutefois admiratif de la belle verticalité de la mise en scène et des quelques séquences formidables qui nous sont proposées comme la recherche de réseau téléphonique, la scène érotique (et ce qu'il y a autour) ou encore la sortie des profondeurs du père... Et pour finir, j'ai le sentiment d'avoir appris quelque chose de la société Coréenne dont j'ignore tout : il semblerait qu'elle sorte d'une certaine candeur sociale pour peut être s'approprier le concept de lutte de classe. A moins qu'il ne s'agisse d'une fable.
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harry
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par harry »

The Boogeyman a écrit :Je sais que vous l'attendiez tous impatiemment. Il l'a fait :
L'analyse au 1er degré - ah non même pas - du "master of critique" :uhuh:
D'habitude ça lui prend 30 ou 50 minutes pour - dire des conneries - analyser, cette fois il y arrive en 7 minutes 30 parce qu'il n'a rien a dire sur le film... il y a du progrès :D

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Bon en même temps « j’ai pleuré devant Lucy ». What did you expect?
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Message par Nozaki_Moro »

Si l’on peut, en surface, cerner instinctivement le « fond de l’affaire » – qu’on considérera un peu hâtivement comme une futilité –, c’est que le propos n’est pas caché : Parasite est un film sur le remplacement. En se parant d’une surface dualiste, presque simpliste, façonnée par les couples d’opposés (entités en écho, mondes du dessus et du dessous, riche et pauvre, etc.), Parasite n’est qu’observation acérée d’un comportement humain systématique : la succession générationnelle (par supplantation ou substitution) et la question d’une dégénérescence possible. Ainsi, en lieu de la lutte duale, le film, qui n’est qu’allégorie, se doit avant tout d’être examiné sous l’angle chronologique et évolutionnaire.

1) L’instant primordial : L’Architecte (le Créateur) et Moon-Gwang (la créature), maîtresse de maison (le monde clos et premier). S’amorce l’émigration de l’Architecte ; dans le récit, tout « départ » (mort physique ou symbolique) amène un lègue en vue d’un remplacement (une maison, une pierre d’un ancêtre, une future épouse, etc.).
2) L’âge d’or : Le couple primitif Moon-Gwang et Geun-Se vivant l’idylle fugace dénuée de contraintes (maison immaculée sans « dette »).
3) Le déclin : La famille Park qui transmute le « Créateur » en « Propriétaire ». On entre dans l’ère du désir mimétique et des rivalités. Le « couple primitif » est asservit et remplacé par les figures du « Père » et de la « Mère », des mortels opulents se voulant créateurs divinisés (la société « Another Brick » opère dans la réalité virtuelle). L’accaparement et la servitude font loi en vue de créer un nouvel ordre ; on passe de la divinisation de l’ancien au « respect » du moderne parce qu’il poursuit les devoirs envers les asservis (nourrir et protéger de la « dette »).
4) L’accaparement : La famille Ki-Taek (prédateurs audacieux et adaptés) est l’écho de la famille Park (proies crédules et impréparées). Elle émerge du sous-sol (sans réseau, chaussettes du plan introductif), milieu vil (désinfection, odeur imprégnée) et conflictuel (voisinage urinant, employeur exploiteur, enchevêtrement des câbles, etc.) ; dans la volonté de s’élever, par sélection naturelle, vers les cieux (haute villa abritée de l’intempérie, lieu de jouissance et dénué de promiscuité).
5) L’échéance : La famille Allemande, élément étranger manipulable (« arnaque » de l’agence immobilière), pure entité de figuration (portraits identiques à la famille Park, objets simplement commués, formes filmées à distance) ; dans l’attente onirique d’un accaparement définitif des Ki-Taek par la réussite du fils (un Park-père en devenir) et la sortie du tombeau (« Merry Christmas » au-dessus de l’entrée) de Ki-Taek-père (acquitté de la « dette »).
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Supfiction »

Supfiction a écrit :
Jack Griffin a écrit :Première bonne semaine pour Parasite avec 376 842 entrée...Il devrait finir avec un score au delà des 600 000 ce qui le placerai comme le film coréen le plus vu en France.
S’il a fait 376000 entrées, il fera bien davantage que 600000. On est pas dans un modèle Avengers. Je pense qu’il peut finir aux alentours du million.
Et voilà.


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En outre, et je ne le savais pas, le film va désormais avoir une version française.
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Flol
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Re: Parasite (Bong Joon-ho - 2019)

Message par Flol »

Supfiction a écrit :En outre, et je ne le savais pas, le film va désormais avoir une version française.
Et son remake américain. #Fatigue
http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cine ... reparation
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