BIFFF 2019
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BIFFF 2019
Le BIFFF approche à grands pas (9 au 21 avril).
Au programme hellboy, Iron Sky 2 et une chiée d'autres films...
Le dossier de presse est dispo ici : http://www.bifff.net/wp-content/uploads ... F-2019.pdf (horaires page 138)
Personnellement, je serai présent normalement le 12 et le 16. J'essaierai peut-être de venir voir Iron Sky 2 - The coming race le 10. J'avais envie de venir le 20, mais je suis de garde...
Prévente dès le 25/03.
Au programme hellboy, Iron Sky 2 et une chiée d'autres films...
Le dossier de presse est dispo ici : http://www.bifff.net/wp-content/uploads ... F-2019.pdf (horaires page 138)
Personnellement, je serai présent normalement le 12 et le 16. J'essaierai peut-être de venir voir Iron Sky 2 - The coming race le 10. J'avais envie de venir le 20, mais je suis de garde...
Prévente dès le 25/03.
- reuno
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Re: BIFFF 2019
Faudrait quand même que je me le fasse une fois ce BIFFF...
Moi je suis Festival de Gérardmer, vu que j'habite à moins d'une heure de route de là-bas.
C'est très bien aussi, on retrouve forcément des titres en commun, mais apparemment l'ambiance est plus festive à Bruxelles et vous avez aussi quelques titres un peu plus gros comme Hellboy ou Simetierre cette année.
De ce que j'ai déjà vu, je conseillerais The Hole in the Ground (rien de bien neuf mais du bon boulot, simple, efficace), Freaks (un des meilleurs films de la sélection 2019 de Gérardmer, très bonne surprise, vaut mieux éviter d'en lire trop pour ne pas se gâcher la surprise/twist) et Aniara (bon film de SF suédois).
Il parait que The Witch part.1 et The Unthinkable valent le détour. J'avais fait l'impasse dessus, au détriment d'autres films qui se sont avérés médiocres.
Et je déconseillerais Zoo et Rampant. Mais d'autres (dont Mad Movies) ont aimé...
Moi je suis Festival de Gérardmer, vu que j'habite à moins d'une heure de route de là-bas.
C'est très bien aussi, on retrouve forcément des titres en commun, mais apparemment l'ambiance est plus festive à Bruxelles et vous avez aussi quelques titres un peu plus gros comme Hellboy ou Simetierre cette année.
De ce que j'ai déjà vu, je conseillerais The Hole in the Ground (rien de bien neuf mais du bon boulot, simple, efficace), Freaks (un des meilleurs films de la sélection 2019 de Gérardmer, très bonne surprise, vaut mieux éviter d'en lire trop pour ne pas se gâcher la surprise/twist) et Aniara (bon film de SF suédois).
Il parait que The Witch part.1 et The Unthinkable valent le détour. J'avais fait l'impasse dessus, au détriment d'autres films qui se sont avérés médiocres.
Et je déconseillerais Zoo et Rampant. Mais d'autres (dont Mad Movies) ont aimé...
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Re: BIFFF 2019
C'est parfois le cas en effet.reuno a écrit :J'avais fait l'impasse dessus, au détriment d'autres films qui se sont avérés médiocres.
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Re: BIFFF 2019
Juste avant Iron Sky 2 il y a The Quake, la suite du film catastrophe The Wake passé il y a 2 ou 3 ans, je crois que tu l'avais vu et bien aimé (si je me trompe c'est l'âge )gnome a écrit :J'essaierai peut-être de venir voir Iron Sky 2 - The coming race le 10.
Dans ceux que j'ai vu et qui devraient faire un malheur au BIFFF (humour de mauvais goût, gore et plans nichons à la pelle) je signale ASSASSINATION NATION et bien sur PUPPET MASTER
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Re: BIFFF 2019
Oui, j'ai vu, c'est tentant, mais du coup, je dois quasiment annuler ma consultation si je veux le voir. J'en ai lu du bien de The Quake. Et non, tu ne deviens pas sénile, j'avais bien aimé The Wave.hellrick a écrit :Juste avant Iron Sky 2 il y a The Quake, la suite du film catastrophe The Wake passé il y a 2 ou 3 ans, je crois que tu l'avais vu et bien aimé (si je me trompe c'est l'âge )gnome a écrit :J'essaierai peut-être de venir voir Iron Sky 2 - The coming race le 10.
Dans ceux que j'ai vu et qui devraient faire un malheur au BIFFF (humour de mauvais goût, gore et plans nichons à la pelle) je signale ASSASSINATION NATION et bien sur PUPPET MASTER
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Re: BIFFF 2019
Premier passage au BIFFF hier :
- The Quake (John Andreas Andersen) :
Quelques années après le tsunami qui failli décimer sa famille, le géologue Kristian Eikjord se remet toujours difficilement du traumatisme. L'éboulement d'un tunnel sous le fjord d'Oslo lui fait craindre un gigantesque séisme sous la ville norvégienne où vit sa famille. Suite de The wave sorti en 2015, The quake assure son cahier des charges. Les scènes de destruction sont impressionnantes et réalistes et le film génère une réelle tension à plusieurs moments. Ça ne révolutionne pas le genre, mais c'est très bien fait et c'est efficace.
- Iron Sky 2 - The Coming Race (Timo Vuorensola) :
La guerre nucléaire totale ayant transformé la terre en no man's land, les dernier survivants de la race humaine se sont réfugiés dans l'ancienne base nazie sur la face cachée de la lune. L'arrivée d'une soucoupe avec quelques survivants russes et surtout un hôte inattendu va rendre l'espoir à cette humanité dépérissant en vase clos dans la base en décrépitude. Suite d'un Iron Sky qui avait déjà fait sold out en 2012 au BIFFF, cet épisode avait généré une certaine attente. C'est dans un salle sold out de nouveau et chauffée à bloc que le film a été projeté hier en présence d'Udo Kier et du réalisateur. Alors, si le film peine un peu (comme le premier d'ailleurs) dans sa mise en place, une fois lancé, c'est un festival badass pas triste du tout fourmillant d'idées toutes plus délirantes les unes que les autres.
- The Quake (John Andreas Andersen) :
Quelques années après le tsunami qui failli décimer sa famille, le géologue Kristian Eikjord se remet toujours difficilement du traumatisme. L'éboulement d'un tunnel sous le fjord d'Oslo lui fait craindre un gigantesque séisme sous la ville norvégienne où vit sa famille. Suite de The wave sorti en 2015, The quake assure son cahier des charges. Les scènes de destruction sont impressionnantes et réalistes et le film génère une réelle tension à plusieurs moments. Ça ne révolutionne pas le genre, mais c'est très bien fait et c'est efficace.
- Iron Sky 2 - The Coming Race (Timo Vuorensola) :
La guerre nucléaire totale ayant transformé la terre en no man's land, les dernier survivants de la race humaine se sont réfugiés dans l'ancienne base nazie sur la face cachée de la lune. L'arrivée d'une soucoupe avec quelques survivants russes et surtout un hôte inattendu va rendre l'espoir à cette humanité dépérissant en vase clos dans la base en décrépitude. Suite d'un Iron Sky qui avait déjà fait sold out en 2012 au BIFFF, cet épisode avait généré une certaine attente. C'est dans un salle sold out de nouveau et chauffée à bloc que le film a été projeté hier en présence d'Udo Kier et du réalisateur. Alors, si le film peine un peu (comme le premier d'ailleurs) dans sa mise en place, une fois lancé, c'est un festival badass pas triste du tout fourmillant d'idées toutes plus délirantes les unes que les autres.
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Re: BIFFF 2019
Alors soit il s'agit du type le plus malchanceux de l'histoire de l'humanité, soit il le cherche un peu quand même.gnome a écrit :- The Quake (John Andreas Andersen) :
Quelques années après le tsunami qui failli décimer sa famille, le géologue Kristian Eikjord se remet toujours difficilement du traumatisme. L'éboulement d'un tunnel sous le fjord d'Oslo lui fait craindre un gigantesque séisme sous la ville norvégienne où vit sa famille.
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Re: BIFFF 2019
Il le dit lui même... Il attire la merde...Flol a écrit :Alors soit il s'agit du type le plus malchanceux de l'histoire de l'humanité, soit il le cherche un peu quand même.gnome a écrit :- The Quake (John Andreas Andersen) :
Quelques années après le tsunami qui failli décimer sa famille, le géologue Kristian Eikjord se remet toujours difficilement du traumatisme. L'éboulement d'un tunnel sous le fjord d'Oslo lui fait craindre un gigantesque séisme sous la ville norvégienne où vit sa famille.
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Re: BIFFF 2019
The Quake = 6,5/10
Première partie bien longuette (on sait où on va mais ça met une heure pour y aller), beaucoup de clichés, un héros un peu fallot,... mais les 40 dernières minutes livrent le grand spectacle de destruction porn attendu façon San Andreas norvégien et dans l'ensemble ça reste très plaisant si on aime les films catastrophes
Première partie bien longuette (on sait où on va mais ça met une heure pour y aller), beaucoup de clichés, un héros un peu fallot,... mais les 40 dernières minutes livrent le grand spectacle de destruction porn attendu façon San Andreas norvégien et dans l'ensemble ça reste très plaisant si on aime les films catastrophes
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Re: BIFFF 2019
Il va où il veut, mais il évite Paris...Flol a écrit :Alors soit il s'agit du type le plus malchanceux de l'histoire de l'humanité, soit il le cherche un peu quand même.gnome a écrit :- The Quake (John Andreas Andersen) :
Quelques années après le tsunami qui failli décimer sa famille, le géologue Kristian Eikjord se remet toujours difficilement du traumatisme. L'éboulement d'un tunnel sous le fjord d'Oslo lui fait craindre un gigantesque séisme sous la ville norvégienne où vit sa famille.
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I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: BIFFF 2019
2ème passage au BIFFF hier :
- Kasane - Beauty and Fate : Les apparences sont parfois trompeuses. Ce qui compte, c'est la beauté intérieure... Vraiment ? Adapté d'un manga, le film suit le parcourt de Kasane, jeune femme défigurée prête à tout pour accéder à son rêve : briller sur les planches comme sa mère, quitte à emprunter le visage d'une autre. Brillamment interprété par les deux actrices principales, le film de Yuichi Sato tient la route, même si'l aurait peut-être gagné à être un peu plus resserré.
- I trapped the devil : Avec son imager granuleuse (on dirait du 16mm gonflé), son pitch séduisant, I trapped the devil est la déception du jour. Peu d'enjeux, des dialogues plats, aucune tension... Pas grand chose à sauver. Je ne sais pas ce qu'en a pensé Cinephage, mais ni moi, ni mon fils n'avons apprécié. Et je suis pourtant bon public.
- Bastaard : Thriller belge rappelant Harry un ami qui vous veut du bien et autres films d'intrusion, Bastaard c'est l'hitoire de Radja, un sans abri qui peu à peu vient prendre la place du fils accidentellement disparu au sein d'une famille bourgeoise flamande. Réalisation et interprétation efficace au service d'un scénario non exempt de défauts mais diablement efficace. Pour un premier film, c'est une belle réussite.
- Daddy's girl : Un ancien marine vivant reclus avec sa belle-fille (avec laquelle il entretien une relation trouble) passe son temps à enlever de jeunes femmes pour les torturer. Scénario de torture porn datant d'il y a 13 ans et remanié notamment à cause du #metoo (ce qui nous vaut un final ridicule). Au final, on a un film qui du coup ne va pas au bout de ses idées. En matière de torture, on nous annonce les pires souffrance, mais à l'écran, on n'a droit qu'à de petites décharges électriques. Pas ou peu de gore (même quand il découpe un corps à la tronçonneuse, il n'est pas éclaboussé de sang). Il y a des idées. Costas Mandylor est impressionnant, mais il manque quelque chose et je l'ai dit, le final politiquement correct flingue le film. 9a se laisse tout de même regarder.
- The furies : Alors là... Pied intégral. Le film parfait pour le festival. Une boucherie généreuse à la Hatchet. Un pitch qui emprunte autant aux Chasses de compte Zaroff qu'à Battle royale. Ici, le film va au bout de ses idées et se révèle assez jouissif. Je le reverrais ben tiens.
- Kasane - Beauty and Fate : Les apparences sont parfois trompeuses. Ce qui compte, c'est la beauté intérieure... Vraiment ? Adapté d'un manga, le film suit le parcourt de Kasane, jeune femme défigurée prête à tout pour accéder à son rêve : briller sur les planches comme sa mère, quitte à emprunter le visage d'une autre. Brillamment interprété par les deux actrices principales, le film de Yuichi Sato tient la route, même si'l aurait peut-être gagné à être un peu plus resserré.
- I trapped the devil : Avec son imager granuleuse (on dirait du 16mm gonflé), son pitch séduisant, I trapped the devil est la déception du jour. Peu d'enjeux, des dialogues plats, aucune tension... Pas grand chose à sauver. Je ne sais pas ce qu'en a pensé Cinephage, mais ni moi, ni mon fils n'avons apprécié. Et je suis pourtant bon public.
- Bastaard : Thriller belge rappelant Harry un ami qui vous veut du bien et autres films d'intrusion, Bastaard c'est l'hitoire de Radja, un sans abri qui peu à peu vient prendre la place du fils accidentellement disparu au sein d'une famille bourgeoise flamande. Réalisation et interprétation efficace au service d'un scénario non exempt de défauts mais diablement efficace. Pour un premier film, c'est une belle réussite.
- Daddy's girl : Un ancien marine vivant reclus avec sa belle-fille (avec laquelle il entretien une relation trouble) passe son temps à enlever de jeunes femmes pour les torturer. Scénario de torture porn datant d'il y a 13 ans et remanié notamment à cause du #metoo (ce qui nous vaut un final ridicule). Au final, on a un film qui du coup ne va pas au bout de ses idées. En matière de torture, on nous annonce les pires souffrance, mais à l'écran, on n'a droit qu'à de petites décharges électriques. Pas ou peu de gore (même quand il découpe un corps à la tronçonneuse, il n'est pas éclaboussé de sang). Il y a des idées. Costas Mandylor est impressionnant, mais il manque quelque chose et je l'ai dit, le final politiquement correct flingue le film. 9a se laisse tout de même regarder.
- The furies : Alors là... Pied intégral. Le film parfait pour le festival. Une boucherie généreuse à la Hatchet. Un pitch qui emprunte autant aux Chasses de compte Zaroff qu'à Battle royale. Ici, le film va au bout de ses idées et se révèle assez jouissif. Je le reverrais ben tiens.
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Re: BIFFF 2019
Pas mieux, le pitch de base est ridicule (un type a "piégé le diable dans sa cave"), rien ne vient lever ce préalable risible. Le tout se fait sur un rythme étiré et inutilement lent, à force de travelling compensé sur le visage de comédiens qui ont du mal à tenir l'expression sur un plan de 3 minutes. Heureusement pour eux, la moitié de la salle dormait, et ça n'aura dérangé personne. Ce film est pour le moment ce que j'ai vu de plus raté cette année...gnome a écrit :- I trapped the devil : Avec son imager granuleuse (on dirait du 16mm gonflé), son pitch séduisant, I trapped the devil est la déception du jour. Peu d'enjeux, des dialogues plats, aucune tension... Pas grand chose à sauver. Je ne sais pas ce qu'en a pensé Cinephage, mais ni moi, ni mon fils n'avons apprécié. Et je suis pourtant bon public.
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Re: BIFFF 2019
- Cutterhead (Rasmus Kloster Bro) BIFFF VO 8/10
Alors qu'elle réalise un reportage sur le chantier du métro de Copenhague, une jeune femme se retrouve coincée suite à un incendie avec deux ouvriers dans la tête de coupe d'un tunnelier. Un petit film efficace jouant sur l'espace confiné et la claustrophobie avec des personnages aux réactions et à la moralité évoluant à mesure que leur situation devient désespérée. Une réussite. Le prototype du film catastrophe anti-spectaculaire mais qui prend le temps avec ses personnages.
- Go Home (Luna Gualano) BIFFF VO 4.5-5/10
Un jeune suprémaciste venu manifester contre un centre de réfugié se trouve obligé de se réfugier dans celui-ci et de s'allier avec ses résidents pour échapper à une invasion de zombies. A partir d'un pitch qui pouvait s'avérer intéressant et donner pas mal de choses (une comédie, une satire politique...) Gualano concocte un film mou, quasi dépourvu de gore ou d'action. Même quand on défonce des crânes à la masse, ça fait "poc"... Je n'ai rien contre les films lents, mais là... Mis à part quelques répliques bien senties (une ou deux notamment quand un réfugié affirme avoir reconnu des zombies et se sûr de lui parce qu'il a vu Walking dead... ), il y a bien peu à sauver de ce film qui se laisse regarder sans enthousiasme. Restent une ou deux chansons de la bande son agréable et une conclusion du moins pour notre suprémaciste bien sentie.
- Believer (Hae-young Lee) BIFFF VO 8.5-9/10
Remake de Drug War de Johnnie To avec un méchant à la Keyser Söze, une réalisation et une interprétation au couteau malgré un début un peu confus (faut le temps de voir qui est qui)...
- Aurora (Yam Laranas) BIFFF VO 5.5/10
Un paquebot s'est échoué au large d'une côte. Les gardes-côtes abandonnent les recherches des derniers corps. Les familles demandent à Léana qui tient une espèce de pension sur la plage en face du paquebot échoué de repêcher les corps qui pourraient être ramenés par la marée. Petit à petit, des apparition vont se faire à mesure qu'on repêche des corps ou des affaires de voyageurs et Léana découvre l'histoire derrière ce naufrage. Pas mauvais, mais pas inoubliable non plus.
Alors qu'elle réalise un reportage sur le chantier du métro de Copenhague, une jeune femme se retrouve coincée suite à un incendie avec deux ouvriers dans la tête de coupe d'un tunnelier. Un petit film efficace jouant sur l'espace confiné et la claustrophobie avec des personnages aux réactions et à la moralité évoluant à mesure que leur situation devient désespérée. Une réussite. Le prototype du film catastrophe anti-spectaculaire mais qui prend le temps avec ses personnages.
- Go Home (Luna Gualano) BIFFF VO 4.5-5/10
Un jeune suprémaciste venu manifester contre un centre de réfugié se trouve obligé de se réfugier dans celui-ci et de s'allier avec ses résidents pour échapper à une invasion de zombies. A partir d'un pitch qui pouvait s'avérer intéressant et donner pas mal de choses (une comédie, une satire politique...) Gualano concocte un film mou, quasi dépourvu de gore ou d'action. Même quand on défonce des crânes à la masse, ça fait "poc"... Je n'ai rien contre les films lents, mais là... Mis à part quelques répliques bien senties (une ou deux notamment quand un réfugié affirme avoir reconnu des zombies et se sûr de lui parce qu'il a vu Walking dead... ), il y a bien peu à sauver de ce film qui se laisse regarder sans enthousiasme. Restent une ou deux chansons de la bande son agréable et une conclusion du moins pour notre suprémaciste bien sentie.
- Believer (Hae-young Lee) BIFFF VO 8.5-9/10
Remake de Drug War de Johnnie To avec un méchant à la Keyser Söze, une réalisation et une interprétation au couteau malgré un début un peu confus (faut le temps de voir qui est qui)...
- Aurora (Yam Laranas) BIFFF VO 5.5/10
Un paquebot s'est échoué au large d'une côte. Les gardes-côtes abandonnent les recherches des derniers corps. Les familles demandent à Léana qui tient une espèce de pension sur la plage en face du paquebot échoué de repêcher les corps qui pourraient être ramenés par la marée. Petit à petit, des apparition vont se faire à mesure qu'on repêche des corps ou des affaires de voyageurs et Léana découvre l'histoire derrière ce naufrage. Pas mauvais, mais pas inoubliable non plus.