L'histoire de Mark Hogancamp, victime d'une amnésie totale après avoir été sauvagement agressé, et qui, en guise de thérapie, se lance dans la construction de la réplique d'un village belge durant la Seconde Guerre mondiale, mettant en scène les figurines des habitants en les identifiant à ses proches, ses agresseurs ou lui-même.
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Watkinssien a écrit :Difficile à dire, c'est un film tellement iconoclaste, barré et plein de bons sentiments, décalé, violent et métaphysique. Il y a des défauts, mais tellement d'idées en même de temps de pure mise en scène. Pas une oeuvre majeure, mais un film intéressant, qui va sûrement se coltiner un bide cosmique, comme la plupart des films de Zemeckis de ces dix dernières années.Alexandre Angel a écrit : Bon cru? Tu le places comment par rapport au reste de la filmo?
Flol a écrit :Welcome to Marwen : 7/10
Le retour en grâce de ce magnifique conteur doublé d'un grand technicien qu'est Zemeckis.
Un très beau film plein de douceur et d'inventivité visuelle, sur le pouvoir de la fiction et l'imagination comme refuge.
Et un excellent boulot de Silvestri.
Spongebob a écrit : Tout à fait d'accord. Je ne comprends vraiment pas le très mauvais accueil critique aux US. Et le film est bien parti pour bider. Quel dommange...
Flol a écrit :Je ne comprends pas non plus. Il y a 25 ans, Forrest Gump faisait un carton auprès des critiques et du public. Aujourd'hui, Zemeckis fait un film dans la même mouvance (je pense même le préférer à Forrest Gump) : tout le monde s'en fout.
Et Aquaman qui cartonne tranquillou pendant ce temps-là.
Roilo Pintu a écrit :Bienvenue à Marwen - Robert Zemeckis (2019) : 7,5/10
En racontant l’histoire d’un homme qui va se reconstruire grâce à son imagination, Zemeckis livre une réflexion passionnante sur son métier, sa carrière, le pouvoir de l’imagination (canaliser ses angoisses, ses psychoses, addictions) les idées font ricochet dans une virtuosité technique impressionnante (la première scène ; les allers retour entre les deux univers ; la fluidité dans les changements d’échelles) qui fait se rejoindre le cinéma de performance capture dont il est l’un des pionniers, avec un cinéma traditionnel. La candeur, et les bons sentiments sont présents dans ce portrait émouvant, porté par Steve Carrel. Un film qui ne ressemble à aucun autre (sauf dans la filmographie de Zemeckis).
Mosin-Nagant a écrit :
Bienvenue à Marwen
Vu ce soir, en VO à 22h00, la dernière séance dans mon centre-ville. Petite salle, on était 7 au total.
Je ne regrette pas de l'avoir vu in extremis. Ça aurait été dommage de rater un si beau film.
Maitrisé du début à la fin, une vrai leçon de mise en scène. Une histoire vraiment singulière.
Je suis resté scotché par le travail de Zemeckis. Steve Carell sonne très juste et Alan Silvestri aussi !
Bref, à part cette fin un peu trop mielleuse à mon goût, je n'ai rien à redire.
7,5 / 10