El Dadal a écrit :Les misérables : 6,5/10
Comme un gros épisode de The Wire à Montfermeil
Complètement. Même si apparemment ça ressemble beaucoup plus à La Haine (en fait ce devait être le second film sur la banlieue vu par beaucoup dans leur vie ).
J'avais aussi vu ça en juin en présence des acteurs (et noté un peu plus haut).
Corrigez-moi si je me trompe mais il me semble qu'El Dadal, tel le Terminator, vit dans le futur et revient régulièrement dans son passé, notre présent, pour nous conter ses avis sur les films à venir.
C'est pour ça que j'ai vu 10 films à tout casser cette année
Mais oui, AP. Je ne suis pas comme ces gens qui notent les films sans les voir, je ne mange pas de ce pain!
Bon, je reviens vous parler du film d'ici deux mois, votre futur, mon présent actuel. Salut
Joker (Todd Phillips) 8,5/10 Papicha (Mounia Meddour) 8/10 Gemini Man (Ang Lee) 7,5/10 Mon chien stupide (Yvan Attal) 7,5/10 La Fameuse invasion des ours en Sicile (Lorenzo Mattotti) 6,5/10 Donne-moi des ailes (Nicolas Vanier) 6,5/10 Alice et le maire ( Nicolas Pariser) 6/10 Chambre 212 (Christophe Honoré) 5/10 J'irai où tu iras (Géraldine Nakache) 5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Parasite 9/10
Douleur et Gloire 9/10
Jeanne 10/10
El Reino 8/10
Grâce à Dieu 9/10
Midsommar 9/10
Roubaix, une lumière 6/10
Green Book 5/10
Edmond 7/10
Un jour de pluie à new-York 8/10
Le Jeune Ahmed 5/10
C'est ça l'amour 9/10
La Favorite 6/10
L'Adieu à la nuit 6/10
Perdrix 7/10
Border 7/10
Le Chant du Loup 5/10
Alice et le maire 7/10
Fête de famille 9/10
La Luttes des classes 6/10
Les Estivants 7/10
Sorry To Bother You 9/10
Raoul Taburin 6/10
Sibyl 3/10
Double vies 6/10
Séduis moi si tu peux 4/10
Yves 6/10
Continuer 8/10
Le Traitre 9/10
JOKER: 6,5/10
Autant la performance de Joaquin Phœnix est impressionnante et la réalisation plutôt réussie, autant je ne suis pas du tout entré dedans et n’ai donc que vaguement apprécié l’ensemble.
LA FAMEUSE INVASION DES OURS EN SICILE: 5,5/10
Beau graphisme et histoire plutôt OK, reste que là j'étais assez fatigué et ce n'est pas passé...
En VOD :
LES ENQUÊTES DU DÉPARTEMENT V : DOSSIER 64 : 7/10
4ème et dernière adaptation (j’ai lu que l’auteur ne les aimait pas et qu’il avait refusé d’en vendre plus au-delà des 4 premiers), pas la meilleure (un petit trou d’air sur le premier tiers) mais très efficace sur les 2/3 suivants. Au final cette série de films s’avère très plaisante, des polars glauques comme Hollywood n’en produit plus, on s'est fait les 4 (les 3 premiers sont disponibles sur Netflix) en moins d'une semaine.
LE VENT DE LA LIBERTÉ : 7/10
Adaptation d’une histoire vraie, très bien menée et engageante.
90'S : 5/10
Le trip skate/tabac/alcool/drogue est tellement éloigné de ma jeunesse que j’ai du mal à trouver ça intéressant... La forme est plutôt réussie par contre.
LES ÉTERNELS : 5,5/10
Assez mou du genou et très longuet.
Nous finirons ensemble – Guillaume Canet (2019) : 4,5/10
Dépourvu d’enjeu, d’une véritable histoire, Guillaume Canet fait avancer péniblement et désinvolture son film, sans idée directrice, si ce n’est celle d’accumuler les scenes, mais de façon bancale, y compris dans la description de ses personnages. Banqueroute, pression financière, tentative de suicide, soirée d’anniversaire, et ça repart! (Pas besoin de Mars). Totalement burlesque. On peut y trouver du plaisir auprès de certains acteurs.
Les plus belles années d'une vie - Claude Lelouch (2019) : 7,5/10
En 2019, Claude Lelouch fait le choix heureux de revenir sur ses personnages fétiches, de quoi faire oublier le film de 1986, jusque dans son récit. Cette parenthèse – vingt ans déjà.. – n’a jamais existé, Claude Lelouch fait table rase, Les plus belles années d’une vie fait oublier rapidement la dernière rencontre manquée (a-t-elle vraiment eu lieu ?). Le couple Jean-Louis Trintignant (son timbre, son regard, sa malice) et Anouk Aimée (sa beauté, ses gestes, sa voix) reste magique. Les sourires malicieux, l’espièglerie, le respect, les souvenirs, l’évidente complicité, inoxydable au bout de 53ans. Ensemble pour toujours. Même si il fut de courte durée, même si il n’a pas duré, on sent que l’amour a toujours duré, prêt à attendre son retour, caché dans les souvenirs d’une mémoire capricieuse, qui n’en fait qu’à sa tête. Il faut rassembler les souvenirs, garder les meilleurs, les assembler, se souvenir, profiter, s’aimer. Les images du passé s’invitent dans le récit, les symboles, tout concourt à entretenir une nostalgie, mais aussi à regarder devant soi. Les souvenirs qui reviennent par brides, qui s’entrechoquent, pour les personnages, et les spectateurs, avec une extrême simplicité, de manière assez fluide, tout ça rend le film assez touchant.
Un homme et une femme n’est pas le seul film à se mêler au montage des Plus belles années… le court métrage sur la traversée folle et à pleine vitesse au cœur de Paris s’invite judicieusement au récit.
Avec une tendresse évidente pour ses acteurs, ses personnages, Lelouch revient à l’essentiel, et permet d’apporter un deuxième chapitre bien plus satisfaisant.
Un film beau, émouvant, optimiste.
ça chapitre 2 : 2/10
Si le 1er chapitre m avait fait passer un moment plutot agréable ( je suis bon public ) là c est franchement trop long et très mauvais ...( vu en VF , les dialogues sont affligeants )