Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019 [clos]
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Le coup du siècle 4,5/10
Nevada 7/10
Une intime conviction 7,5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Face à la nuit : 7/10
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Parasite : 7.5/10
Pas totalement convaincu par un propos affuté mais au discours finalement peu original. Impossible cependant de nier l'excellence technique et cinématographique du film à tous les (autres) niveaux.
Le daim : 6.5/10
Dupieux et ses idées farfelues font parfois mouche et parfois non. Cela fonctionne plutôt bien ici même si le film finit, comme souvent, par tourner à vide sur la fin. Heureusement, le film a la bonne idée de ne pas s'éterniser au-delà du nécessaire, limitant les longueurs à vide pour un résultat compactant la folie abstraite et non-sensique de son postulat de départ. Dujardin, et dans une moindre mesure Haenel, excelle. Par contre, la photo terne désaturée comme dans Réalité et Au poste a fait long feu.
Face à la nuit : 3.5/10
Incapable pour ma part de m'intéresser à cette triplette de moments d'un homme poissard comme pas permis au sein d'un scénario balisé et téléphoné qui ne semble n'avoir résolument rien à dire hormis ressasser les énièmes clichés du flic pourri qui tourne mal, photo ultra-granuleuse dégueulasse en suppléments. Le découpage à rebours n'aide pas, bien au contraire, achevant de couper toute fascination pour son protagoniste. Les expats parsemant le film doivent probablement vouloir dire quelque chose de la société taiwanaise actuelle, mais entre la nana jouée avec les pieds et son entourage cumulant 2 minutes de temps d'écran à eux tous, on ne va pas aller bien loin.
Her Smell : 5.5/10
Bien trop long et inconstant, souffrant d'une entrée en matière outre-passant largement son accueil, le film a l'avantage d'être porté à bout de bras par Moss, qui n'arrive cependant pas à s'extraire des clichés de l'artiste-junkie-névrosée-alcoolo-qui-essaie-de-s'en-sortir-un-peu-quand-même. L'avantage, c'est que son personnage justifie toutes ses inconsistances comportementales, passant du rire (un tout petit peu) aux cris (beaucoup) en un clin d'oeil et constamment, mais à la 10e fois, ça commence à devenir prévisible, et il est difficile de se passionner pour ce personnage qui ne semble jamais intéressant, sans talent et simplement insupportable. Heureusement, cela s'améliore dans les 2 dernières vignettes, bien plus intéressantes, mais c'est trop peu pour un film de 2h15. Pendant ce temps, le reste du cast est à côté en stand-by constant (pauvre Delevingne, pourtant clairement 2e d'affiche mais qui n'a en fait quasiment aucune présence finale) sans jamais pouvoir influer sur le cours du film (je suppose que c'est pour faire "comme dans le groupe", mais à l'écran, ça marche moyen). Malheureusement, la mise en scène peu originale de Perry ne fait rien pour compenser.
Pas totalement convaincu par un propos affuté mais au discours finalement peu original. Impossible cependant de nier l'excellence technique et cinématographique du film à tous les (autres) niveaux.
Le daim : 6.5/10
Dupieux et ses idées farfelues font parfois mouche et parfois non. Cela fonctionne plutôt bien ici même si le film finit, comme souvent, par tourner à vide sur la fin. Heureusement, le film a la bonne idée de ne pas s'éterniser au-delà du nécessaire, limitant les longueurs à vide pour un résultat compactant la folie abstraite et non-sensique de son postulat de départ. Dujardin, et dans une moindre mesure Haenel, excelle. Par contre, la photo terne désaturée comme dans Réalité et Au poste a fait long feu.
Face à la nuit : 3.5/10
Incapable pour ma part de m'intéresser à cette triplette de moments d'un homme poissard comme pas permis au sein d'un scénario balisé et téléphoné qui ne semble n'avoir résolument rien à dire hormis ressasser les énièmes clichés du flic pourri qui tourne mal, photo ultra-granuleuse dégueulasse en suppléments. Le découpage à rebours n'aide pas, bien au contraire, achevant de couper toute fascination pour son protagoniste. Les expats parsemant le film doivent probablement vouloir dire quelque chose de la société taiwanaise actuelle, mais entre la nana jouée avec les pieds et son entourage cumulant 2 minutes de temps d'écran à eux tous, on ne va pas aller bien loin.
Her Smell : 5.5/10
Bien trop long et inconstant, souffrant d'une entrée en matière outre-passant largement son accueil, le film a l'avantage d'être porté à bout de bras par Moss, qui n'arrive cependant pas à s'extraire des clichés de l'artiste-junkie-névrosée-alcoolo-qui-essaie-de-s'en-sortir-un-peu-quand-même. L'avantage, c'est que son personnage justifie toutes ses inconsistances comportementales, passant du rire (un tout petit peu) aux cris (beaucoup) en un clin d'oeil et constamment, mais à la 10e fois, ça commence à devenir prévisible, et il est difficile de se passionner pour ce personnage qui ne semble jamais intéressant, sans talent et simplement insupportable. Heureusement, cela s'améliore dans les 2 dernières vignettes, bien plus intéressantes, mais c'est trop peu pour un film de 2h15. Pendant ce temps, le reste du cast est à côté en stand-by constant (pauvre Delevingne, pourtant clairement 2e d'affiche mais qui n'a en fait quasiment aucune présence finale) sans jamais pouvoir influer sur le cours du film (je suppose que c'est pour faire "comme dans le groupe", mais à l'écran, ça marche moyen). Malheureusement, la mise en scène peu originale de Perry ne fait rien pour compenser.
Dernière modification par tenia le 23 juil. 19, 09:54, modifié 3 fois.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Rebelles (5,5/10) : Les actrices sont épatantes, le scénario un peu fastidieux.
Mon bébé (4/10) : Une version actualisée de LOL avec pas mal de réchauffé malgré Kimberlain. ( Et puis se taper encore Larusso dans la BO en 2019, sérieux ?! )
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Mais parmi tout ça, c'est Domino qui récolte un 6/10.Shin Cyberlapinou a écrit : 11 films, 2.9 de moyenne (oui j'ai calculé), pas trop dur les sorties ciné en ce moment?
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Plus convaincant que Parasite...tenia a écrit :Mais parmi tout ça, c'est Domino qui récolte un 6/10.Shin Cyberlapinou a écrit : 11 films, 2.9 de moyenne (oui j'ai calculé), pas trop dur les sorties ciné en ce moment?
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Factory : 7/10
Une alimentation saine dirige l'énergie sexuelle dans les parties concernées
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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Si le début fait un peu illusion, la suite ne fait que renforcer l'impression d'avoir déjà vu ça 150 fois. Et en bien mieux.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Aaaaah!El Dadal a écrit :Parasite : 5,5/10
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Oui, mais il a apprécié Roma!Demi-Lune a écrit :Aaaaah!El Dadal a écrit :Parasite : 5,5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Yesterday : 4,5/10
Il se foule plus du tout Richard Curtis. Petit frisson quand même à l'apparition du walrus.
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Give me liberty: 8,5/10
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Je suis à 2 doigts du unfollow (merde on n'est pas sur Twitter ).Watkinssien a écrit :Oui, mais il a apprécié Roma!Demi-Lune a écrit : Aaaaah!
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Re: Classement Dvdclassik des sorties cinéma 2019
Franchement, j'aurai pu être encore plus sévère. Je dirais juste que, une fois n'est pas coutume, je ne comprends pas la hype. Je n'y ai rien vu de spécial, de novateur... Juste une mécanique huilée au service d'un propos d'une lourdeur difficilement supportable. Les oppositions sociales sont si outrées que le film ne fonctionne réellement que dans quelques moments de comédie absurde.
Enfin, de ce que j'ai vu des autres films du monsieur, c'est un défaut semble-t-il récurrent.
Enfin, de ce que j'ai vu des autres films du monsieur, c'est un défaut semble-t-il récurrent.