Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Mais justement c’est pas le gentil Halliday, le créateur d’Oasis, qui a déjà mis la main sur la pop culture mondiale ?
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Johnny Halliday, créateur d'Oasis???Rick Deckard a écrit :Mais justement c’est pas le gentil Halliday, le créateur d’Oasis, qui a déjà mis la main sur la pop culture mondiale ?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Rick Deckard a écrit :Mais justement c’est pas le gentil Halliday, le créateur d’Oasis, qui a déjà mis la main sur la pop culture mondiale ?
Il a cree l'Oasis mais comme un univers libre et gratuit, c'est la compagnie IOI qui veut recuperer le tout pour en faire un truc a l'acces payant. Halliday a ramene tout son univers 80's mais les autres joueurs y ont ramenes ce qu'ils veulent.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Je recopie ici un extrait de la critique lue sur un autre forum, qui pourrait peut-être te permettre d'apprécier cette séquence a contrario :Demi-Lune a écrit :Je vais devoir commencer à rentrer dans les détails, maisStrum a écrit :C''est bien sûr un sentiment personnel que tu n'as pas à justifier, mais on peut aussi considérer que tu as changé et Spielberg aussi en passant à autre chose sans forcément lui en vouloir.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Je me retrouve totalement dans ta remarque sur la séquence supposée hommage à Kubrick ...Demi-Lune a écrit :Je vais devoir commencer à rentrer dans les détails, maisStrum a écrit :C''est bien sûr un sentiment personnel que tu n'as pas à justifier, mais on peut aussi considérer que tu as changé et Spielberg aussi en passant à autre chose sans forcément lui en vouloir.
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Et comme toi, j'ai été décu par la laideur des avatars peuplant cette pseudo reconstitution nonsensique.
Sans cette séquence le film aurait été a mes yeux un Spielberg moyen; avec celle ci il se retrouve parmi le peu d’œuvres du cinéaste que je n'ai pas aimé (même si Steven n'a rien perdu de son talent de metteur en scène)
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Et pour vous embêter un petit peu, je pense que c'est de loin ma séquence préférée de l'année 2018. Mais j'ai déjà écrit pourquoi, donc, je ne m'attarderai pas.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Hollywood vénère tout mais ne respecte rien.hansolo a écrit :Je me retrouve totalement dans ta remarque sur la séquence supposée hommage à Kubrick ...Demi-Lune a écrit : Je vais devoir commencer à rentrer dans les détails, mais
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Oulà, ce n'était pas très bon.
À de rares occasions (Indy IV), j'ai toujours été bon public pour Spielberg, même les derniers (beaucoup aimé The Post, encore plus Le Pont des espions). Mais ça, là, ce n'est pas possible. Un film qui déjà commence sur "Jump" de Van Halen n'augure rien de bon et ça se vérifie très vite. Cette introduction en cinq minutes pour résumer tout l'univers dans lequel vit le personnage alors que les images le résument parfaitement, je ne suis pas certain que c'était nécessaire (vu l'immense histoire du cinéma de SF qui précède, et même sans être amateur de films post-apocalyptiques, le public n'est quand même pas si con). De plus, c'est vite expédié pour arriver rapidement au fameux monde virtuel. Et là, on se croirait dans un film de Luc Besson. Valerian / Arthur et les minitrucs rencontrent Hook. Sentiment renforcé par l'humour neuneu pour ados débiles et les rebondissements "qui tombent vachement bien dis-donc" à la fin (cette scène dans le van où ils ouvrent et referment les portes... horrible). Mais ce n'est pas Besson. C'est signé Spielberg, et ça, ça fait (très) mal...
À de rares occasions (Indy IV), j'ai toujours été bon public pour Spielberg, même les derniers (beaucoup aimé The Post, encore plus Le Pont des espions). Mais ça, là, ce n'est pas possible. Un film qui déjà commence sur "Jump" de Van Halen n'augure rien de bon et ça se vérifie très vite. Cette introduction en cinq minutes pour résumer tout l'univers dans lequel vit le personnage alors que les images le résument parfaitement, je ne suis pas certain que c'était nécessaire (vu l'immense histoire du cinéma de SF qui précède, et même sans être amateur de films post-apocalyptiques, le public n'est quand même pas si con). De plus, c'est vite expédié pour arriver rapidement au fameux monde virtuel. Et là, on se croirait dans un film de Luc Besson. Valerian / Arthur et les minitrucs rencontrent Hook. Sentiment renforcé par l'humour neuneu pour ados débiles et les rebondissements "qui tombent vachement bien dis-donc" à la fin (cette scène dans le van où ils ouvrent et referment les portes... horrible). Mais ce n'est pas Besson. C'est signé Spielberg, et ça, ça fait (très) mal...
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Je plussoie, Major. Avec toutefois un gros bémol sur le parallèle avec Besson qui n'arrive pas, le pauvre, à l'orteil de Steven quant à la mise en scène, même quand, comme ici, il se rate.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Non mais Major s'est noyé les sens chez Morricone, c'est pas bien grave!
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
J'ai l'impression qu'il restera un peu sous estimé (même si le mot peut irriter certains) et que l'émotion qu'il dégage n'est pas si évidente à saisir (voir la rencontre avec Halliday à la fin). Il y a un mélange d'exaltation grisante et de mélancolie.
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Re: Ready Player One (Steven Spielberg - 2018)
Comme je l'ai dit plus haut; je n'ai absolument pas compris qui était le Halliday qui se trouve dans la chambre d'enfantJack Griffin a écrit :J'ai l'impression qu'il restera un peu sous estimé (même si le mot peut irriter certains) et que l'émotion qu'il dégage n'est pas si évidente à saisir (voir la rencontre avec Halliday à la fin). Il y a un mélange d'exaltation grisante et de mélancolie.
A priori ce n'est ni l'inventeur, ni son avatar ... Mais qui est il effectivement ... mystère
Comme Major Tom, j'ai beau aimer la quasi intégralité de la filmo de Steven; j'ai été très décu.
Ok, la mise en scène connait des moments de grâce - mais ca n'excuse pas à mes yeux la faiblesse du scénario et pas mal de facilités
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