Réalisateurs de leurs propres remakes
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- Major Tom
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Réalisateurs de leurs propres remakes
Après Les plus mauvais remakes, après Les bons remakes, Les remakes plan par plan ou encore Les remakes français de films étrangers, je vous propose un nouvel épisode dans la série des remakes, le retour : ici on va parler des cinéastes qui ont eux-mêmes réalisé le(s) remake(s) de leur propre(s) film(s). En connaissez-vous beaucoup ?
Je parle de vrais remakes, bien sûr, sinon on peut évidemment considérer que Luc Besson a souvent réalisé le même film.
Il y a aussi les cas particuliers, comme celui de Redacted (2007) de Brian De Palma : remake ou "prolongement" d'Outrages (Casualties of War, 1989) ?
Voici une petite liste, à compléter peut-être...
Cecil B. DeMille :
Les Dix commandements (The Ten Commandments, 1923) et Les Dix commandements (The Ten Commandments, 1956)
Alfred Hitchcock :
L’Homme qui en savait trop (The Man Who Knew too Much, 1934) et L’Homme qui en savait trop (The Man Who Knew too Much, 1956)
Yasujirō Ozu :
Histoire d’herbes flottantes (Ukikusa monogatari, 1934) et Herbes flottantes (Ukikusa, 1959)
Sydney Franklin :
The Barrets of Wimpole Street (1934) et The Barrets of Wimpole Street (1957)
Marcel Pagnol :
Topaze (1936) et Topaze (1951)
Leo McCarey :
Elle et lui (Love Affair, 1938) et Elle et lui (An Affair to Remember, 1957)
Raoul Walsh :
La Grande évasion (High Sierra, 1941) et La Fille du désert (Colorado Territory, 1949)
Francis Veber :
Les Fugitifs (1986) et Les Trois fugitifs (Three Fugitives, 1989)
Michael Mann :
L.A. Takedown (téléfilm, 1989) et Heat (1995)
Jean-Marie Poiré (il me paraissait important de ne pas l'oublier) :
Les Visiteurs (1993) et Les Visiteurs en Amérique (Just Visiting, 2001)
Ole Bornedal :
Le Veilleur de nuit (Nattevagten, 1994) et Le Veilleur de nuit (Nightwatch, 1997)
Michael Haneke :
Funny Games (1997) et Funny Games US (2007)
Danny & Oxyde Pang :
Bangkok Dangerous (1999) et Bangkok Dangerous (2008)
Takashi Shimizu :
Ju-on: The Grudge (2003) et The Grudge (2004)
Je parle de vrais remakes, bien sûr, sinon on peut évidemment considérer que Luc Besson a souvent réalisé le même film.
Il y a aussi les cas particuliers, comme celui de Redacted (2007) de Brian De Palma : remake ou "prolongement" d'Outrages (Casualties of War, 1989) ?
Voici une petite liste, à compléter peut-être...
Cecil B. DeMille :
Les Dix commandements (The Ten Commandments, 1923) et Les Dix commandements (The Ten Commandments, 1956)
Alfred Hitchcock :
L’Homme qui en savait trop (The Man Who Knew too Much, 1934) et L’Homme qui en savait trop (The Man Who Knew too Much, 1956)
Yasujirō Ozu :
Histoire d’herbes flottantes (Ukikusa monogatari, 1934) et Herbes flottantes (Ukikusa, 1959)
Sydney Franklin :
The Barrets of Wimpole Street (1934) et The Barrets of Wimpole Street (1957)
Marcel Pagnol :
Topaze (1936) et Topaze (1951)
Leo McCarey :
Elle et lui (Love Affair, 1938) et Elle et lui (An Affair to Remember, 1957)
Raoul Walsh :
La Grande évasion (High Sierra, 1941) et La Fille du désert (Colorado Territory, 1949)
Francis Veber :
Les Fugitifs (1986) et Les Trois fugitifs (Three Fugitives, 1989)
Michael Mann :
L.A. Takedown (téléfilm, 1989) et Heat (1995)
Jean-Marie Poiré (il me paraissait important de ne pas l'oublier) :
Les Visiteurs (1993) et Les Visiteurs en Amérique (Just Visiting, 2001)
Ole Bornedal :
Le Veilleur de nuit (Nattevagten, 1994) et Le Veilleur de nuit (Nightwatch, 1997)
Michael Haneke :
Funny Games (1997) et Funny Games US (2007)
Danny & Oxyde Pang :
Bangkok Dangerous (1999) et Bangkok Dangerous (2008)
Takashi Shimizu :
Ju-on: The Grudge (2003) et The Grudge (2004)
Dernière modification par Major Tom le 24 mars 18, 13:31, modifié 1 fois.
- Alexandre Angel
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Pas vraiment, quand même..Major Tom a écrit :John Ford :
Trois sublimes canailles (Three Bad Men, 1926) et Le Fils du désert (The Three Godfathers, 1948)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
le cas est un peu différent mais Robert Vernay a adapté 2 fois le Comte de Monte Cristo en 43 (noir et blanc) et 54 (couleur).
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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- Major Tom
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Oups, oui.Alexandre Angel a écrit :Pas vraiment, quand même..
Rectification, l'histoire du Fils du désert avait déjà été adaptée par John Ford mais en 1919 et c'était pour Marked Men, une adaptation considérée comme perdue.
Dans le même genre, Tod Browning a réalisé avec La marque du vampire (Mark of the Vampire, 1935) une fausse suite de son Dracula, mais un vrai remake d'un de ses films considéré comme définitivement perdu, Londres après minuit (London After Midnight, 1927).
Et sinon ça...
...c'est cadeau, même si ça rentre dans la case "Remakes américains de films français" (un sujet qui n'existe pas d'ailleurs), voire "Remakes plan par plan".Major Tom a écrit :Francis Veber :
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Ça va aussi, et je suis sûr qu'il y en a d'autres qui ont adapté plusieurs fois la même "Histoire".AtCloseRange a écrit :le cas est un peu différent mais Robert Vernay a adapté 2 fois le Comte de Monte Cristo en 43 (noir et blanc) et 54 (couleur).
Il y a aussi le cas de cinéastes qui refont en version longue leurs court-métrages. Frankenweenie de Tim Burton, Alive In Joburg/District 9, Within the Woods/Evil Dead de Sam Raimi... mais là, la liste (incluant des courts réalisés afin de trouver le financement pour faire un long) doit être longue...
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
On ne rit pas ...
- Alexandre Angel
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Pocketful of miracles (1961), remake de Lady for a day (1932), tous deux de Frank Capra
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Objective Burma! et Distant Drums, même registre qu'au dessus, même réalisateur.Major Tom a écrit :Raoul Walsh :
La Grande évasion (High Sierra, 1941) et La Fille du désert (Colorado Territory, 1949)
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
L'excellent film norvégien "Refroidis" (Kraftidioten) avec Stellan Skarsgard et Bruno Ganz est remaké par son réalisateur. Sortie aux US prévue en 2018 sous le titre de "Hard Powder"
Ce film concentré autour d'une histoire de vengeance personnelle aura au casting... Liam Neeson. Oui, evidemment.
Ce film concentré autour d'une histoire de vengeance personnelle aura au casting... Liam Neeson. Oui, evidemment.
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Ils étaient trois et La Rumeur, William Wyler ose aborder l'homosexualité dans son remake.
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
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La trilogie Miyamoto Musashi (宮本武蔵) (1940-1942) et la trilogie Samouraï (宮本武蔵 Miyamoto Musashi) (1954-1956)
The Life of Matsu the Untamed (無法松の一生 Muhōmatsu no isshō) (1943) et L'Homme au pousse-pousse (無法松の一生, Muhōmatsu no isshō) (1958)
Kô Nakahira
Passions juvéniles (狂った果実 Kurutta kajitsu) (1956) et Chaleur d'été (狂戀時 Kuang lian shi) (1968)
Kon Ichikawa
La Harpe de Birmanie (ビルマの竪琴 Biruma no Tategoto) (1956) et La Harpe de Birmanie (ビルマの竪琴 Biruma no Tategoto) (1985)
Le Complot de la famille Inugami / La Famille Inugami (犬神家の一族 Inugami-ke no ichizoku) (1976) et Les Inugamis (犬神家の一族 Inugami-ke no ichizoku) (2006)
Toshio Masuda
Red Pier (赤い波止場 Akai hatoba) (1958) et Velvet Hustler / Like A Shooting Star (紅の流れ星 Kurenai no nagareboshi) (1967)
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
Est-ce qu'on peut considérer qu'A star is born (1954) de Cukor est un peu le remake de son What price Hollywood ? (1932), même s'il fut d'abord remaké par Wellman en 1937.
« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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Re: Réalisateurs de leurs propres remakes
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