Robin Williams (1951-2014)
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Robin Williams (1951-2014)
Etrangement aucun topic consacré a cet immense acteur ...
Erreur réparée.
Documentaire Robin Williams, un génie de la comédie (2014) de Steve Boettcher actuellement visible sur Arte+7
De nombreux aspects de la carrière de Williams évoqués, notamment le stand-up, peu connu du public européen.
Erreur réparée.
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Re: Robin Williams
Le mot "génie" n'est peut-être pas galvaudé tant le talent de ce comédien semblait sans limites. Que ce soit en interview, dans ses performances sur scène, au cinéma, dans le registre d'émotions aussi diverses que variées, Robin Williams demeura toujours marquant.
Il avait une présence singulière et unique, comme une tempête dévastant tout sur son passage, capable néanmoins de poser un calme et une mélancolie en un regard.
Outre son indéniable virtuosité comique, son talent dramatique et son langage corporel, Robin Williams parvenait surtout à être immédiatement attachant, accessible tout en n'arrivant jamais à analyser son prodige d'improvisation, son acuité d'observation et sa rapidité d'exécution.
Popeye d'Altman, The World according to Garp de Roy Hill, Dead Poets Society de Weir, L'éveil de Marshall, The Fisher King de Gilliam, Hook (même si le film est raté) de Spielberg, Aladdin de Clements et Musker, Mrs. Doubtfire de Columbus, Jumanji de Johnston, Deconstructing Harry d'Allen, Good Will Hunting de Van Sant, Insomnia de Nolan, Happy Feet de Miller, Le Majordome de Daniels..., même des films décevants où il a travaillé avec Coppola ou Mike Nichols, autant de titres où ses apparitions provoquaient joies et autres émotions.
Il avait une présence singulière et unique, comme une tempête dévastant tout sur son passage, capable néanmoins de poser un calme et une mélancolie en un regard.
Outre son indéniable virtuosité comique, son talent dramatique et son langage corporel, Robin Williams parvenait surtout à être immédiatement attachant, accessible tout en n'arrivant jamais à analyser son prodige d'improvisation, son acuité d'observation et sa rapidité d'exécution.
Popeye d'Altman, The World according to Garp de Roy Hill, Dead Poets Society de Weir, L'éveil de Marshall, The Fisher King de Gilliam, Hook (même si le film est raté) de Spielberg, Aladdin de Clements et Musker, Mrs. Doubtfire de Columbus, Jumanji de Johnston, Deconstructing Harry d'Allen, Good Will Hunting de Van Sant, Insomnia de Nolan, Happy Feet de Miller, Le Majordome de Daniels..., même des films décevants où il a travaillé avec Coppola ou Mike Nichols, autant de titres où ses apparitions provoquaient joies et autres émotions.
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Pas mieux, un immense acteur et un créateur d'ambiance impressionnant - suffit de voir comment il éclaire en 5 secondes l'ouverture de Mrs. Doubtfire ou comment il porte littéralement sur ses épaules l'Aladdin de Disney (je souhaite bien du courage au réal et a l'acteur qui reprendra le rôle l'an prochain ...)
Et même dans les films moins enthousiasmants ou mauvais (Hook, Bicentennial Man) il est irréprochable.
Et j'aime beaucoup sa composition dans l'excellent One Hour Photo de Romanek, film qui semble aujourd'hui un peu oublié
Et même dans les films moins enthousiasmants ou mauvais (Hook, Bicentennial Man) il est irréprochable.
Et j'aime beaucoup sa composition dans l'excellent One Hour Photo de Romanek, film qui semble aujourd'hui un peu oublié
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Ce mec fait partie des pertes dont je reste inconsolable, avec sa personnalité qui bouffait l'écran, improvisateur hors pair (il est clairement en roue libre dans Munchausen et Aladdin), et comédien dramatique génial dans un registre tout en retenue (Will hunting). Ce qui le rend tout simplement magnifique dans le rôle que lui offrit Gilliam dans Fisher king, qui lui permettait justement de passer harmonieusement de l'un à l'autre.
Pourtant j'ai conchié ses choix de comédies hollywoodiennes dont il était adepte à une période (Mrs Doubtfire, Flubber), ou les mélos à Oscars dans lesquels il s'est aussi un temps complu après le triomphe de Dead poets society.
Pourtant j'ai conchié ses choix de comédies hollywoodiennes dont il était adepte à une période (Mrs Doubtfire, Flubber), ou les mélos à Oscars dans lesquels il s'est aussi un temps complu après le triomphe de Dead poets society.
Nan, nan. Je pense que tous ceux qui l'ont vu en gardent un souvenir marquant.hansolo a écrit : Et j'aime beaucoup sa composition dans l'excellent One Hour Photo de Romanek, film qui semble aujourd'hui un peu oublié
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Au delà de l'excellent comédien, et surtout du comique aux innombrables ressorts, j'aime beaucoup l'histoire de son amitié avec Christopher Reeve (Superman), notamment de la visite qu'il lui a rendue après l'accident qui le laissa paralysé.
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I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Robin Williams était particulièrement connu pour son incroyable générosité envers les gens. C'était un homme qui offrait des cadeaux, qui envoyait un mot de reconnaissance ou d'encouragement, qui s'engageait par loyauté, par fidélité amicale, qui enseignait. La majorité des témoignages (que j'ai bouffés, car sa mort a été un choc) va dans ce sens. Son seul ennemi semblait être lui-même, mais c'est aussi pour ça qu'il était a priori indispensable pour certaines autres personnes, du show-biz ou d'ailleurs.
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Le décès d'acteur qui m'aura le plus touché. Surement parce qu'il a accompagné mes jeunes années avec pas mal de ses films : Jumanji, Madame Doubtfire, Hook... Pas forcément des grands films, ni mes favoris de sa filmo, mais gamin rien que pour lui j'adorais, il me rendais heureux
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Un acteur forcément incontournable de nos plus jeunes années. Son dernier rôle marquant reste bien entendu One hour photo, un vrai petit choc pour moi à sa sortie.
Il y a bien 2 ans durant une promo quelconque j'avais chopé l'intégrale de Mork & Mindy que je n'ai évidemment pas encore démarré mais j'ai bien envie de me plonger dans cette ambiance à la Happy Days.
Pour l'anecdote, je l'avais croisé à New York en 2011, il avait une grosse barbe (je crois qu'il jouait à Broadway un rôle où il portait justement la barbe), je me rappelle être passé très près de lui sans réaliser tout de suite que c'était lui, il paraissait presque chétif, très loin de l'image qu'on peut avoir de lui.
Il y a bien 2 ans durant une promo quelconque j'avais chopé l'intégrale de Mork & Mindy que je n'ai évidemment pas encore démarré mais j'ai bien envie de me plonger dans cette ambiance à la Happy Days.
Pour l'anecdote, je l'avais croisé à New York en 2011, il avait une grosse barbe (je crois qu'il jouait à Broadway un rôle où il portait justement la barbe), je me rappelle être passé très près de lui sans réaliser tout de suite que c'était lui, il paraissait presque chétif, très loin de l'image qu'on peut avoir de lui.
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Je l'ai trouvé vraiment remarquable dans un de ses derniers rôles, passé inaperçu, le film s'intitule Boulevard de Dito Montiel.Joshua Baskin a écrit :Un acteur forcément incontournable de nos plus jeunes années. Son dernier rôle marquant reste bien entendu One hour photo, un vrai petit choc pour moi à sa sortie.
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Il était très bien aussi (en fait, il avait l'air d'être déjà en totale dépression) dans un rôle secondaire de The Face of Love, aux côtés de Annette Bening et Ed Harris.
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Oui, j aime beaucoup l'anecdote, notamment quand Williams se moque de la "cravate" de son pote Reeve.cinephage a écrit : Dans son autobiographie, Reeve dit même qu'il lui a sauvé la vie ce jour-là. Je trouve ce récit vraiment touchant, et il me rend Williams sacrément sympathique.
Une humanité et une générosité hors norme !
Très triste fin
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Vu Deuxième chance à Brooklyn (traduction étrange de The Angriest Man in Brooklyn) de Phil Alden Robinson.
Triste que le grand Williams ait conclu sa carrière sur ce film navrant de A a Z
Quasiment rien a sauver; RW semble vraiment au bout du rouleau ...
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Pour les anglophones, à propos d’Aladdin, de Robin Williams, et du doublage des dessins animés par des célébrités :
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Pour les fans de Robin qui seraient abonnés à OCS, il y a le documentaire HBO Robin Williams: Come Inside My Mind , réalisé par Marina Zenovich (à qui on doit aussi Roman Polanski: Wanted and Desired).
Et c'est vraiment très bon, je conseille - et c'est forcément très émouvant plus on arrive à sa triste conclusion.
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- hansolo
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Re: Robin Williams (1951-2014)
Merci pour l'info !Flol a écrit :Pour les fans de Robin qui seraient abonnés à OCS, il y a le documentaire HBO Robin Williams: Come Inside My Mind , réalisé par Marina Zenovich (à qui on doit aussi Roman Polanski: Wanted and Desired).
Et c'est vraiment très bon, je conseille - et c'est forcément très émouvant plus on arrive à sa triste conclusion.
C'est dispo en VOST?
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