Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Perso, je retiens que :
- 18,20 euros la séance en VOST en IMAX 3D, c'est super cher (oui, j'ai rendu ma carte cinéma il y a bien des années) mais que l'immersion IMAX valait à mon sens, le coup pour ce film. Pour une fois, j'y étais dans ces batailles spatiales.
- Le film me laisse une sensation mitigée sur le contenu du film mais une bien meilleure sensation que l'épisode 7 qui m'avait choqué (par bien des aspects : fin de série TV, copie de l'épisode 4, etc.)
- et je suis fan du gag du fer à repasser !
- Je n'ai vraiment pas compris comment luke il est mort ! c'est quoi, une crise de fatigue ? crise cardiaque ? ou bien !?
- 18,20 euros la séance en VOST en IMAX 3D, c'est super cher (oui, j'ai rendu ma carte cinéma il y a bien des années) mais que l'immersion IMAX valait à mon sens, le coup pour ce film. Pour une fois, j'y étais dans ces batailles spatiales.
- Le film me laisse une sensation mitigée sur le contenu du film mais une bien meilleure sensation que l'épisode 7 qui m'avait choqué (par bien des aspects : fin de série TV, copie de l'épisode 4, etc.)
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Dernière modification par Super Seb le Bat Coco le 26 déc. 17, 00:46, modifié 1 fois.
- Alexandre Angel
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Exact. Dans ce cas d’accord du participe passé (laissé) avec un infinitif, s’ représente "la résistance" et se retrouve donc complément d’objet direct du verbe qui suit. De ce fait, il n'y a pas d’accord pour "laissé", effectivement. Donc, pas de faute, mauvaises langues que vous êtes .Billy Budd a écrit :J’ai toujours été nul avec les verbes pronominaux, mais il me semble que si cela est suivi par un infinitf, il n’y a pas d’accord.
Indépendamment de ces considérations, ce qui m'a frappé avec ce traditionnel déroulant est la pauvreté de son contenu, tel que n'importe lequel d'entre nous aurait pu le pondre en improvisant. Pour faire court, "Les temps sont durs pour la Résistance; L'Empire est à ses trousses; ça craint; seul espoir, Luke Skywalker.." Ça m'a frappé.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Ce qu'il raconte, j'en sais rien. Tout ce que je sais, c'est que c'est un de mes films préférés et qu'il me fait vibrer d'une certaine façon, qui n'a absolument rien à voir avec ce que je recherche dans un blockbuster (Star Wars par exemple).Billy Budd a écrit :Que reconte Gerry ? En quoi a-t-il changé ton rapport au monde ?Truffaut Chocolat a écrit :Le reproche que je fais à ce Star Wars, c'est de ne rien en tirer, absolument rien. Et le """reproche""" que je vous fais, c'est que quand je vous demande qu'est-ce que ce film raconte (parce si j'ai loupé un truc, j'ai envie de le savoir) soit on ne répond pas à la question, soit on me dit que c'est divertissant.
Le niveau d'exigence est différent : quand tu fais un film """"d'auteur"""" comme celui-là tu touches à la grâce comme tu peux totalement passer à côté parce que tout repose sur ta capacité à tenter des trucs, alors qu'un Star Wars repose sur des mécaniques.
Tout ce qu'il y a à faire, c'est de suivre la recette, donc quand ça foire, j'estime que c'est normal de le défoncer parce que c'est un blockbuster qui ambitionne d'envahir toutes les salles de la planète.
Pour moi c'est obligatoire d'être exigeant avec ces produits-là, sous peine d'être engloutis pour de bon.
Je n'attends aucune expérience, SW ce n'est qu'un conte, j'ai juste envie de me dire que l'espace d'un film, je peux me mettre à rêver devant un écran.Billy Budd a écrit : Dans un autre registre, au risque de faire hurler, ce n’est que Star Wars, depuis quand on en attend une expérience digne d’une séance de Bergman, Tarkovski ou Kubrick ?
C'est comme si je disais que les 4-5-6 racontaient le parcours d'un jeune paysan devenu chevalier dans un pays tiraillé entre les forces du bien et du mal.Billy Budd a écrit : Sinon, tout de même, cela raconte notamment :
I’m just sayin, the Star Wars sequel trilogy being about a diverse group of millennials dealing with an uprising of fascist manbabies and political crises the last generation had supposedly fixed
Mais ouais ok sur le côté millenials (auto-centrés, impatients et pleurnichards), des potes tiennent ce discours. Le problème, c'est qu'une fois qu'on a dit ça, ça ne fait pas une histoire.
Je suis totalement prêt à te croire à mille pour cent.Billy Budd a écrit : Tu peux ajouter un chouia de don’t meet your heroes et de dégagisme et tu as davantage dans cet opus que dans toute la première trilogie, qui ne m’jamais vraiment excité alors que L’Empire contre-attaque est le premier film que j’ai vu à mon arrivée en France.
Juste pour finir, quand je critique les retrouvailles entre Luke et Leïa ou sur la façon dont il réagit à la mort de Solo, c'est pas parce que c'est un crime de la saga originelle, tout ça je m'en moque. Ce que je dis, c'est que quand tu as des personnages comme ça, avec un tel background, tu peux pas les faire réagir comme ça. Au mieux, ça sonne faux, au pire, ça sonne comme si t'en avais rien à carrer. C'est ce rien à carrer généralisé que je critique, et c'est pas la première fois que j'ai ce sentiment en allant voir un blockbuster ces dernières années.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Les blockbuster qui se contentent de suivre platement la recette deviennent rarement des phénomènes culturel de l'ampleur de Star Wars. Bien sur Star Wars suit des recettes narratives déjà éprouvé auparavant ce qui a fait la valeur et le succés de ces films c'est comment ils ont réussit a les réinvestir et a les revitalisé, donc a les renouveller et a faire d'une certaine originalité cadré certes mais original.Truffaut Chocolat a écrit : Le niveau d'exigence est différent : quand tu fais un film """"d'auteur"""" comme celui-là tu touches à la grâce comme tu peux totalement passer à côté parce que tout repose sur ta capacité à tenter des trucs, alors qu'un Star Wars repose sur des mécaniques.
Tout ce qu'il y a à faire, c'est de suivre la recette, donc quand ça foire, j'estime que c'est normal de le défoncer parce que c'est un blockbuster qui ambitionne d'envahir toutes les salles de la planète.
Pour moi c'est obligatoire d'être exigeant avec ces produits-là, sous peine d'être engloutis pour de bon.
Sinon les films d'auteurs comme Gerry obéissent également une recette, font l'objet d'un certain formatage en vue de toucher un certains public. Ils jouent eux aussi sur un horizon d'attente et sur une dynamique entre tradition et écart. Et ils pratiquent même le recyclage (comme Lucas dans les premiers Star Wars reprenant une intrigue de Kurosawa et des plans de vieux films de guerre), Gus Van Sant qui s'amuse avec la caméra a la manière de Michael Snow dans La Région centrale, ou qui reproduit les traveling d'Alan Clarke dans Elephant ça n'est pas bien différent. Gerry avec sa trame et sa mise en scène minimaliste s'apparente a une toile vide que le spectateur doit remplir avec ses propres désirs, ça n'est pas une critique j'aime bien Gerry mais ça obéit a des conventions tout autant que Star Wars et ça ne me parait pas d'une originalité folle dans le cinéma indépendant. Il suffit d'observer un peu attentivement ce que l'on appelle cinéma d'auteur pour commencer a y distinguer un genre ou en tout cas des genres "formaté" comme ceux du cinéma "commercial".
Juste histoire de nuancer cette opposition binaire et simpliste entre film "d'auteur" et blockbuster
"Il ne faut pas être timide avec la caméra. Il faut lui faire violence, la pousser jusque dans ses derniers retranchements, parce qu'elle est une vile mécanique. Ce qui compte, c'est la poésie."
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Source : http://la-conjugaison.nouvelobs.com :Alexandre Angel a écrit :Billy Budd a écrit :J’ai toujours été nul avec les verbes pronominaux, mais il me semble que si cela est suivi par un infinitif, il n’y a pas d’accord.
"Pour l'accord du participe passé laissé devant un infinitif, les avis sont partagés : certains estiment que ce participe passé reste invariable (comme pour la règle qui s'applique au participe passé fait devant un infinitif), d'autres optent pour son accord en genre et en nombre avec son sujet.
Exemple avec l'auxiliaire avoir :
La jeune fille que j'ai laissé(e) conduire.
Exemple avec l'auxiliaire être (forme pronominale) :
Elle s'est laissée grossir. -> Elle est le sujet de grossir - > Accord.
Elles se sont laissé convaincre. -> Elles n'est pas le sujet de convaincre. -> Pas d'accord.
Remarque : Si l'on suit les recommandations du Conseil supérieur de la langue française de 1990 (nouvelle orthographe), on n'accorde plus les participes « fait » et « laissé » suivis immédiatement d'un infinitif."
La phrase était "la résistance s'est laissé surprendre". Comme la résistance n'est pas le sujet de "surprendre", la phrase est correcte. C'est pointu tout de même, et ça m'avait choqué aussi à la lecture. Comme, de plus, je suis allé à l'école avant 1990...
Autre exemple : "ma belle-mère s'est laissé surprendre par cette daube" : ça marche aussi
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Ah mais tu prêches un convaincu, mais on s'écarte du sujet, on parlait d'exigence.A serious man a écrit :Sinon les films d'auteurs comme Gerry obéissent également une recette, font l'objet d'un certain formatage en vue de toucher un certains public. Ils jouent eux aussi sur un horizon d'attente et sur une dynamique entre tradition et écart. Et ils pratiquent même le recyclage (comme Lucas dans les premiers Star Wars reprenant une intrigue de Kurosawa et des plans de vieux films de guerre), Gus Van Sant qui s'amuse avec la caméra a la manière de Michael Snow dans La Région centrale, ou qui reproduit les traveling d'Alan Clarke dans Elephant ça n'est pas bien différent. Gerry avec sa trame et sa mise en scène minimaliste s'apparente a une toile vide que le spectateur doit remplir avec ses propres désirs, ça n'est pas une critique j'aime bien Gerry mais ça obéit a des conventions tout autant que Star Wars et ça ne me parait pas d'une originalité folle dans le cinéma indépendant. Il suffit d'observer un peu attentivement ce que l'on appelle cinéma d'auteur pour commencer a y distinguer un genre ou en tout cas des genres "formaté" comme ceux du cinéma "commercial".
Juste histoire de nuancer cette opposition binaire et simpliste entre film "d'auteur" et blockbuster
Admettons que je n'aime pas un Gerry ou un Elephant, qu'est-ce que je vais bien pouvoir critiquer ? C'est trop long, trop lent, trop ceci, pas assez cela, mais au final, tu retiens quoi ? Que GVS a tenté quelque chose qui n'a pas marché.
Un SW qui serait excellent parce que divertissant, c'est comme si je disais que le PSG est formidable parce qu'il a battu Metz 1-0 sur pénalty. Ça, c'est le minimum.
Les gens qui aiment SW l'aiment justement parce que c'est plus que du divertissement*, ça provoque en eux des sentiments qui vont au-delà de ça.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Sinon il y aurait autant de figurines de Krull dans la nature.Truffaut Chocolat a écrit :Les gens qui aiment SW l'aiment justement parce que c'est plus que du divertissement*, ça provoque en eux des sentiments qui vont au-delà de ça.
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
shubby a écrit :Source : http://la-conjugaison.nouvelobs.com :Alexandre Angel a écrit :
"Pour l'accord du participe passé laissé devant un infinitif, les avis sont partagés : certains estiment que ce participe passé reste invariable (comme pour la règle qui s'applique au participe passé fait devant un infinitif), d'autres optent pour son accord en genre et en nombre avec son sujet.
Exemple avec l'auxiliaire avoir :
La jeune fille que j'ai laissé(e) conduire.
Très mauvais exemple avec une faute : en l'espèce, il ne s'agit pas d'un verbe pronominal, et il faut accorder le verbe avec le complément d'objet direct situé avant l'auxiliaire avoir.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
On ne doit donc pas prendre en compte pe sujet de laisser? Étrangeshubby a écrit :Source : http://la-conjugaison.nouvelobs.com :Alexandre Angel a écrit :
"Pour l'accord du participe passé laissé devant un infinitif, les avis sont partagés : certains estiment que ce participe passé reste invariable (comme pour la règle qui s'applique au participe passé fait devant un infinitif), d'autres optent pour son accord en genre et en nombre avec son sujet.
Exemple avec l'auxiliaire avoir :
La jeune fille que j'ai laissé(e) conduire.
Exemple avec l'auxiliaire être (forme pronominale) :
Elle s'est laissée grossir. -> Elle est le sujet de grossir - > Accord.
Elles se sont laissé convaincre. -> Elles n'est pas le sujet de convaincre. -> Pas d'accord.
Remarque : Si l'on suit les recommandations du Conseil supérieur de la langue française de 1990 (nouvelle orthographe), on n'accorde plus les participes « fait » et « laissé » suivis immédiatement d'un infinitif."
La phrase était "la résistance s'est laissé surprendre". Comme la résistance n'est pas le sujet de "surprendre", la phrase est correcte. C'est pointu tout de même, et ça m'avait choqué aussi à la lecture. Comme, de plus, je suis allé à l'école avant 1990...
Autre exemple : "ma belle-mère s'est laissé surprendre par cette daube" : ça marche aussi
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Ou comment un topic sur Star Wars se transforme en topic grammatical .
Dernière modification par Alexandre Angel le 28 déc. 17, 10:49, modifié 1 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
C'est finalement une très bonne idée.Alexandre Angel a écrit :Où comment un topic sur Star Wars se transforme en topic grammatical .
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Tu as raison, je me trompe. "Cette daube", c'est au féminin. "Laissée", donc.Mama Grande! a écrit :On ne doit donc pas prendre en compte pe sujet de laisser? Étrangeshubby a écrit :
Source : http://la-conjugaison.nouvelobs.com :
"Pour l'accord du participe passé laissé devant un infinitif, les avis sont partagés : certains estiment que ce participe passé reste invariable (comme pour la règle qui s'applique au participe passé fait devant un infinitif), d'autres optent pour son accord en genre et en nombre avec son sujet.
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La jeune fille que j'ai laissé(e) conduire.
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Elle s'est laissée grossir. -> Elle est le sujet de grossir - > Accord.
Elles se sont laissé convaincre. -> Elles n'est pas le sujet de convaincre. -> Pas d'accord.
Remarque : Si l'on suit les recommandations du Conseil supérieur de la langue française de 1990 (nouvelle orthographe), on n'accorde plus les participes « fait » et « laissé » suivis immédiatement d'un infinitif."
La phrase était "la résistance s'est laissé surprendre". Comme la résistance n'est pas le sujet de "surprendre", la phrase est correcte. C'est pointu tout de même, et ça m'avait choqué aussi à la lecture. Comme, de plus, je suis allé à l'école avant 1990...
Autre exemple : "ma belle-mère s'est laissé surprendre par cette daube" : ça marche aussi
"La résistance s'est laissé surprendre par... je sais plus quoi. Le nouvel ordre, j'imagine, donc ça colle. Fichtre.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Alexandre Angel a écrit :Ou comment un topic sur Star Wars se transforme en topic grammatical .
"Bon... Qui a dit "grammar nazi"?"
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Il me semble que ce n’est pas une question d’accord avec le sujet mais avec le COD.shubby a écrit :Tu as raison, je me trompe. "Cette daube", c'est au féminin. "Laissée", donc.Mama Grande! a écrit : On ne doit donc pas prendre en compte pe sujet de laisser? Étrange
"La résistance s'est laissé surprendre par... je sais plus quoi. Le nouvel ordre, j'imagine, donc ça colle. Fichtre.
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Re: Star Wars : Les Derniers Jedi (Rian Johnson - 2017)
Je viens d'apprendre que Rian Johnson a réalisé le fameux épisode de Breaking Bad, intitulé La Mouche (où l'ai-je lu?).
C'est l'épisode où Bryan Cranston et Aaron Paul, dans l'incroyable labo à leur disposition, passent leur temps à deviser en traquant une mouche.
C'est le seul épisode qu'un copain fan de la série passe dorénavant en accéléré .
C'est l'épisode où Bryan Cranston et Aaron Paul, dans l'incroyable labo à leur disposition, passent leur temps à deviser en traquant une mouche.
C'est le seul épisode qu'un copain fan de la série passe dorénavant en accéléré .
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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