Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
) absolument hilarantes. J'ai l'habitude de dire que ces films me font sincèrement rire plus qu'une bonne partie des comédies françaises atterrantes, même au 30e degré.
Non mais Plan 9, c'est authentiquement chiant. Y a eu un gros retour de hype sur le film, qui avait suivi celle de son réalisateur, alors qu'en fait c'est vraiment chiant comme la mort. Les moments les plus drôles sont finalement ceux que pointaient déjà Burton dans son film.Alexandre Angel a écrit :Voilà, c'est ça!Jack Carter a écrit :En fait, je crois que les commentaires me font plus marrer que les films eux-memes (Parking pour moi, c'est drole quand Flol en parle, pas quand je regarde le film), je me demande si j'ai vraiment envie de decouvrir la bete....
J'avais éprouvé cette déception en voyant Plan 9..d'Ed Wood. Je rigolais au début puis plus tellement ensuite: c'est que la notule de Tavernier-Coursodon était plus drôle que le film.
Je ne suis pas vraiment d'accord sur Plan 9. C'est au contraire le seul Ed Wood qui soit au niveau de sa légende. Les autres que j'ai vu sont effectivement très chiants.Flol a écrit :Non mais Plan 9, c'est authentiquement chiant. Y a eu un gros retour de hype sur le film, qui avait suivi celle de son réalisateur, alors qu'en fait c'est vraiment chiant comme la mort. Les moments les plus drôles sont finalement ceux que pointaient déjà Burton dans son film.Alexandre Angel a écrit : Voilà, c'est ça!
J'avais éprouvé cette déception en voyant Plan 9..d'Ed Wood. Je rigolais au début puis plus tellement ensuite: c'est que la notule de Tavernier-Coursodon était plus drôle que le film.
Tandis que là, avec ce diptyque Parking/Le Faucon, on plane vraiment dans une autre sphère : celle des mauvais films drôles et hallucinogènes, dont chacune des séquences contient 1000 détails croustillants que peuvent apprécier même le nanardophile peu habitué au genre.
Mais c'est vrai que je me suis bien marré en lisant la critique de tenia.
C'est exactement ça. A la rigueur, y aurait même pas besoin d'essayer de raconter le film, mais juste faire une liste de l'ensemble de ces détails totalement débiles et sidérants de conneries ou hors-sujet.Flol a écrit :chacune des séquences contient 1000 détails croustillants que peuvent apprécier même le nanardophile peu habitué au genre.
Je lui préfère largement Glen or Glenda, qui pour le coup contient un paquet de séquences authentiquement absurdes.AtCloseRange a écrit :Je ne suis pas vraiment d'accord sur Plan 9. C'est au contraire le seul Ed Wood qui soit au niveau de sa légende. Les autres que j'ai vu sont effectivement très chiants.
Ceci est authentiquement faux.AtCloseRange a écrit :Et Parking est effectivement très chiant aussi.
Tu es pénible, toi!Flol a écrit :Ceci est authentiquement faux.
tenia a écrit : L'exemple typique, c'est le flashback en début de film, où Huster et Detmers sont devant leurs 6 bourgueurs chacun. Ils rigolent avec leurs sodas et leur montagne de bourgueurs, puis Huster et Detmers s'enlacent. Plan classique, on passe du côté de Detmers... qui chope alors un bourgueur et commence à le bouffer en se fendant la poire (genre ha ha, je bouffe un bourgueur dans son dos).
Ca n'a proprement aucun sens ni aucune utilité, c'est absolument débile, et donc, forcément, hilarant.
Non, on dit bourgueurs.Max Schreck a écrit :La vraie question c'est : est-ce que cette omniprésence de burgers
Pardon.Major Tom a écrit :Non, on dit bourgueurs.Max Schreck a écrit :La vraie question c'est : est-ce que cette omniprésence de burgers
Très honnêtement, je ne pense pas. Le logo est hyper générique, n'est jamais appuyé, ça rappelle plus les emballages génériques dans Repo Man qu'un vrai placement produit.Max Schreck a écrit :La vraie question c'est : est-ce que cette omniprésence de burgers dissimule (mal) du placement de produit. Genre c'est pas l'époque de l'émergence des fast foods en France ? Le film serait pas sponsorisé en douce par Free time ?
Ca n'a rien de spécial. Huster y parle de façon assez sincère et ouverte de ses idoles, son travail au théâtre puis au cinéma et à la TV. Y a 4 minutes sur Le faucon (entre la 21e et la 26e minute, environ) où il explique surtout que c'était un petit film fauché dans lequel il a pu faire jouer plein d'élèves à lui, etc. C'est très très général.Max Schreck a écrit :Et tant qu'à être dans le debrief, je suis curieux de connaître le contenu de l'interview de Huster proposée en supplément ?
Je ne crois pas que le placement était une pratique courante à l'époque. Mais le début des années 80, c'était effectivement le grand boom des fast foods, avec notamment ceux de Freetime, les plus populaires, mais aussi d'autres plus éphémères. Ils étaient privilégiés par le blocage de Mc Donald, dans ces années là, du fait du conflit juridique entre eux et Raymond Dayan.Max Schreck a écrit :La vraie question c'est : est-ce que cette omniprésence de burgers dissimule (mal) du placement de produit. Genre c'est pas l'époque de l'émergence des fast foods en France ? Le film serait pas sponsorisé en douce par Free time ?
Si si, ça commençait. Souviens-toi de Diva et ses paquets de Gitanes!!Phnom&Penh a écrit :Je ne crois pas que le placement était une pratique courante à l'époque.
