Ajout de ces deux oeuvres monumentales sur Netflix France :
Pour The Vietnam War : 10 épisodes de plus d'01h30 (contrairement à Arte qui avait diffusé il y a peu en neuf épisodes de 52 minutes)
Pour The War : 14 épisodes de 55 min
"La guerre, conclut Ken Burns, offre l'occasion d'observer, le pire évidemment mais aussi le meilleur de l'être humain. C'est ce que nous voulions montrer".
Préparez de quoi sécher vos larmes , surtout pour la vidéo de cette effroyable scène :
Je viens de finir 13 Novembre: Fluctuat Nec Mergitur. Une mini-série documentaire toute simple dans sa forme, basée principalement sur les témoignages de quelques victimes survivantes, de témoins et de professionnels des forces médicales et ou de l'ordre. Et pourtant, la force de chaque souvenir est d'une redoutable puissance. A tel point que parfois, un peu immoralement, j'en venais à penser que cela aurait pu être des séquences de cinéma purement terrifiques (le coup des corps dans la fosse dans le Bataclan, les portables qui s'allument sur les personnes décédées avec l'écran affichant "Maman, Papa, le tout dernier survivant retranché entre deux terroristes qui vont se faire péter dans un escalier à colimaçon etc...). Mais non, tout cela s'est passé, dans la vraie vie et c'est complètement édifiant, écrasant, horrible, assommant, épuisant.
Watkinssien a écrit :Je viens de finir 13 Novembre: Fluctuat Nec Mergitur. Une mini-série documentaire toute simple dans sa forme, basée principalement sur les témoignages de quelques victimes survivantes, de témoins et de professionnels des forces médicales et ou de l'ordre. Et pourtant, la force de chaque souvenir est d'une redoutable puissance. A tel point que parfois, un peu immoralement, j'en venais à penser que cela aurait pu être des séquences de cinéma purement terrifiques (le coup des corps dans la fosse dans le Bataclan, les portables qui s'allument sur les personnes décédées avec l'écran affichant "Maman, Papa, le tout dernier survivant retranché entre deux terroristes qui vont se faire péter dans un escalier à colimaçon etc...). Mais non, tout cela s'est passé, dans la vraie vie et c'est complètement édifiant, écrasant, horrible, assommant, épuisant.
Sachant que ce sont les frères Naudet, sachant ce qu'ils ont vécu lors du 11 septembre, le fait que les réalisateurs aient laissé la parole à ceux qui étaient au coeur de ce drame est encore plus émouvant. En revanche l'intervention des politiques me semble moins pertinente. Au final c'est extrêmement pénible à regarder, parce que la puissance des propos et parce que la bêtise crasse de ceux qui ont provoqué ce massacre.
Watkinssien a écrit :Je viens de finir 13 Novembre: Fluctuat Nec Mergitur. Une mini-série documentaire toute simple dans sa forme, basée principalement sur les témoignages de quelques victimes survivantes, de témoins et de professionnels des forces médicales et ou de l'ordre. Et pourtant, la force de chaque souvenir est d'une redoutable puissance. A tel point que parfois, un peu immoralement, j'en venais à penser que cela aurait pu être des séquences de cinéma purement terrifiques (le coup des corps dans la fosse dans le Bataclan, les portables qui s'allument sur les personnes décédées avec l'écran affichant "Maman, Papa, le tout dernier survivant retranché entre deux terroristes qui vont se faire péter dans un escalier à colimaçon etc...). Mais non, tout cela s'est passé, dans la vraie vie et c'est complètement édifiant, écrasant, horrible, assommant, épuisant.
Sachant que ce sont les frères Naudet, sachant ce qu'ils ont vécu lors du 11 septembre, le fait que les réalisateurs aient laissé la parole à ceux qui étaient au coeur de ce drame est encore plus émouvant. En revanche l'intervention des politiques me semble moins pertinente. Au final c'est extrêmement pénible à regarder, parce que la puissance des propos et parce que la bêtise crasse de ceux qui ont provoqué ce massacre.
C'est la seule erreur à mes yeux. On n'avait pas forcément besoin d'avoir leur témoignage à eux. Mais mêmes impressions que Watkinsien, un doc aussi poignant qu'effrayant.
J'avoue avoir eu du mal au niveau de la forme, du choix de certains intervenants, du montage, des annotations, de la bande son.
Des réserves qui n'ont rien à voir avec la portée de ce doc ou avec ce que ça raconte évidemment.
Mais disons que l'objet filmique me semble plus que discutable.
Shirkers a été ajouté récemment et ça vaut vraiment le coup d’oeil.
En 1992, Sandi Tan aurait pu devenir la chef de file d’un cinéma indé Singapourien influencé par la Nouvelle Vague, Jarmusch et les frères Coen. Si on ne lui avait pas volé son film.
Shirkers documente cette disparition, le vide laissé dans la vie des personnes concernées, retrace l’histoire d’un esprit créatif qu’on a dépossédé et de l’homme énigmatique qui l’a vampirisé.
FYRE: The Greatest Party That Never Happened - Chris Smith
Comment un festival de musique "haut de gamme" tourne à la catastrophe et au fiasco, passionnant à suivre, le factice des réseaux sociaux étalé au grand jour. Par le réalisateur de Jim and Andy
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit : FYRE: The Greatest Party That Never Happened - Chris Smith
Comment un festival de musique "haut de gamme" tourne à la catastrophe et au fiasco, passionnant à suivre, le factice des réseaux sociaux étalé au grand jour. Par le réalisateur de Jim and Andy
Je confirme c'est à ne pas manquer merci Rockatansky , c'est tellement bien rythmé/monté qu'on ne voit pas l'heure et demie passer.
Histoire complètement dingue du genre "plus c'est gros plus ça passe !".
Quel gâchis, d'autant plus qu'à la base leur application mobile avait un potentiel de dingue.
Big Up à l'investisseur de Wall Street prêt à "se sacrifier pour l'équipe" .Y'a plus de respect...
J'espère que les mecs arriveront à monter leur fond de soutiens pour les bahamnéens qui on été spoliés dont la restauratrice.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit :J'espère que les mecs arriveront à monter leur fond de soutiens pour les bahamnéens qui on été spoliés dont la restauratrice.
J'espère aussi .
Les vraies victimes dans l'histoire sont les locaux, pas les "rich kids" festivaliers.
Sincèrement j'ai eu de la peine pour la restauratrice,
obligée de sacrifier toutes ses économies pour pouvoir continuer à se regarder dans le miroir et marcher la tête droite, alors qu'elle n'y est pour rien dans toute cette arnaque...
Vu le doc à l'instant, et comme vous, j'ai adoré. Tout en étant très triste pour les locaux qui se sont faits méchamment couillonner par cet enc*** de Billy McFarland.
J'avoue avoir beaucoup moins de pitié pour ceux qui ont dépensé leur masse de fric pour aller assister à cette connerie. Ce que résume d'ailleurs génialement ce type que je ne connais pas mais qui a l'air très drôle :
Vraiment un incroyable récit d'une incroyable arnaque.
J'étais passé complètement à côté de cette histoire à l'époque, mais quel désastre fascinant à observer. Ça met encore plus en évidence toute la vanité et la superficialité développées par les réseaux sociaux.
Exactement comme toi flol. C'est quand-même triste tous ces jeunes obsédés par les apparences et le bling bling. Ils sont prêt à tout pour être les premiers à poster sur les réseaux sociaux leur présence à un "évènement V.I.P.". C'est vraiment désolant. Et le monsieur que tu cites au-dessus a visé juste : je n'ai moi-même aucune empathie pour les gens prêts à payer une fortune pour assister à ce genre d'évènement débile. J'ai aussi été ému par le sort de la restauratrice obligée de piocher dans ses économies.
Le marathon de Barkley est probablement la course de type ultra-trail la plus impitoyable au monde.
Elle prend place chaque année dans le parc d'État de Frozen Head, aux États-Unis, dans les montagnes du Tennessee.
Les participants (35 maximum, choisis par un processus de sélection qui reste secret) ont 60 heures pour faire 5 boucles (chaque boucle avoisine les 30 à 40 kilomètres).
Des livres sont cachés dans la forêt et balisent le parcours, chaque coureur doit arracher la page correspondant à son dossard pour prouver qu'il a bien terminé sa boucle.
Depuis 30 ans plus de 1000 coureurs ont pris le départ de la course, seuls 15 ont réussi à la terminer.
Gros coup de coeur pour le premier que je vais prendre plaisir à revoir .
Le second est tout aussi passionnant et même terrifiant, probablement un des meilleurs doc' sur la Scientologie.