Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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Flol
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Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Flol »

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Bon potentiel, mais gâché par pas mal de mauvais choix de mise en scène. Gros problème de point de vue, déjà : pourquoi Saada n'a-t-il pas osé aller jusqu'au bout du concept de huis-clos ? Tous ces aller-retours sur les parents tentant de rejoindre leur fille enfermée dans l'hôtel annihilent la moindre tension, pourtant palpable dès que les premiers coups de feu à l'extérieur de la chambre se font entendre. Vraiment, je ne comprends pas ce choix de mise en scène. Assume ton concept jusqu'au bout Nico, arrête de flipper ! :o (il lit le forum, je le sais)
Ensuite, c'est un peu dommage de faire reposer son film quasi intégralement sur les frêles épaules d'une comédienne qui ne joue pas hyper bien. Stacy Martin était plutôt convaincante chez Von Trier, mais ici son regard vide et son apathie vont très mal avec ce que son personnage est supposé traverser. On devrait ressentir beaucoup plus de tension que ce que l'on ressent finalement.
Et puis bon, quand ton climax consiste à filmer la descente de nacelle la plus longue de toute l'histoire des descentes de nacelles, on ne peut pas dire que ce soit très excitant.
Heureusement, ça se termine sur une bonne note : cette séquence apaisée dans un café parisien (...) sur fond de Nick Drake et son magnifique "River Man".

5/10

Duke Red
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Duke Red »

J'ai comme l'impression que tu étais prêt à mettre moins que la moyenne :fiou:

En ce qui me concerne, je ne serai pas aussi gentil - j'ai trouvé ça catastrophique. Le pitch appelait à un exercice de style nerveux et sec, nécessitant une mise en scène hyper maîtrisée et d'excellents comédiens pour immerger le spectateur et pallier à l'unité de temps et de lieu une fois les hostilités lancées. Or le film se plante à tous les niveaux : interprètes démissionnaires (c'est fou comme Louis-Do de Lencquesaing en a juste rien à battre), incapacité du réal à créer le moindre début de tension, mauvais choix de mise en scène (les allers-retours entre la chambre et les parents à l'extérieur), manque de moyens évident (on a l'impression qu'il y a 3 clients dans cet hôtel gigantesque), le dénouement dans la nacelle effectivement interminable et les 3 ou 4 épilogues qui se succèdent pour arriver péniblement à 1h30 de film…

Il y a une scène qui résume très bien ce fiasco : le long plan à la fin sur les images de vidéosurveillance de l'hôtel et les exactions des terroristes, soit précisément ce que Nicolas Saada voulait faire ressentir sans le montrer frontalement.

Bref, comme Espion(s), ça a une certaine ambition, mais ça reste très étriqué.
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Nestor Almendros
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Nestor Almendros »

Je rejoins le Duke sur ce coup-là: gros ennui pour ma part. Un concept au fort potentiel paresseusement exécuté. Un scénario basique (on ne fait qu'utiliser le téléphone portable, une nacelle et c'est à peu près tout), surtout les personnages sont inintéressants au possible (l'héroïne tête à claque qui n'a rien à dire ou à faire vivre), des acteurs soporifiques qui ne compensent pas les faiblesses. Bref, next...
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poet77
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par poet77 »

Pas du tout d'accord avec tous ces avis négatifs! Voici donc ce que j'ai écrit à la sortie du film et que je confirme aujourd'hui:

Ce sont des événements réels survenus à Bombay en 2008 qui ont servi de base au scénario du film. Cette année-là, des attaques islamistes visant entre autres le Taj Mahal, un hôtel grand standing, ont ensanglanté la vaste cité indienne. Comment échapper au piège du sensationnalisme quand on traite d'un tel sujet ? Y a-t-il moyen de mettre en scène le terrorisme tout en évitant de le donner en spectacle ? Peut-on donner à voir l'horreur des actes terroristes ou peut-on les faire ressentir sans jamais céder à quoi que ce soit d'ambigu ou de malsain ?
C'est une gageure peut-être que de ne pas tomber dans ces pièges, mais si c'en est une, elle a été brillamment relevée par Nicolas Saada. Son film méritera à l'avenir d'être cité, à mon avis, comme un exemple d'intelligence de mise en scène.
Comment s'y est-il pris ? Par quels moyens a-t-il si parfaitement réussi un film au sujet ô combien délicat, ô combien difficile à traiter ? Pour commencer, il a réalisé un film qui prend le temps. Avant qu'il ne soit question de terrorisme, de nombreuses scènes nous familiarisent avec d'une part les personnages principaux et d'autre part l'environnement qui est le leur. Nous découvrons par le regard d'un couple (Louis-Do de Lencquesaing et Gina McKee) et surtout par celui de leur fille Louise (formidable Stacy Martin) la ville de Bombay et son grouillement de population. Venus à Bombay dans l'intention d'y résider deux ans, ils s'installent dans un premier temps dans une suite de l'hôtel Taj Mahal. Hôtel que nous découvrons aussi avec les yeux de Louise, impressionnés par de grands espaces suscitant déjà une sorte d'angoisse.
Vient ensuite évidemment, puisque c'est le sujet du film, l'attaque des terroristes qui s'introduisent dans l'hôtel pour y faire un massacre. Elle se déroule lors d'une absence des parents de Louise, sortis en ville. Seule à occuper la suite, cette dernière se retrouve comme prise en otage. C'est à cette occasion que se vérifient les choix de mise en scène radicaux et très judicieux décidés par le réalisateur. Evitant tout sensationnalisme, celui-ci ne filme le terrible événement que du point de vue de Louise. Autrement dit, on ne vit le cauchemar qui frappe l'hôtel que par le regard et les oreilles de Louise. Hormis les scènes montrant ses parents affolés avec qui elle reste en lien par téléphone, nous ne voyons et n'entendons rien d'autre que ce que voit et entend la jeune fille : la suite plongée dans la pénombre après qu'elle ait éteint toute lumière, les lueurs filtrant sous les portes, les bruits de fusillades, les cris, etc. Pas un seul plan ne montre les terroristes accomplissant leur besogne de mort. Comme l'affirme le cinéaste lui-même dans une interview, il a voulu réaliser « un film intimiste » sur une attaque terroriste et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est réussi.
Ce n'est qu'à la fin du film qu'on aperçoit, sur un écran de télévision, les images prises par les caméras de surveillance de l'hôtel montrant les terroristes à l'oeuvre. Comme pour mieux nous signifier que ce que Nicolas Saada a voulu réaliser, c'est précisément l'inverse de ce dont se repaissent volontiers les télévisions avides de sensationnel. Et il y a fort à parier que plus d'un réalisateur n'aurait pas su davantage éviter ce piège-là.
Sans jamais donner le terrorisme en spectacle, mais en se contentant de nous en montrer les effets sur une jeune fille prise dans ses rets, « Taj Mahal » nous bouleverse, nous étreint, nous fait ressentir l'angoisse, nous tient en haleine. Oui, c'est une grande leçon de mise en scène qui nous est proposée dans ce film. 8/10
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Rick Blaine
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Rick Blaine »

Ce dernier avis me rassure. En fervent défenseur d' Espion(s), pour moi un des tout meilleurs films français du début du XXIe siècle, j'ai assez hâte de découvrir ce nouveau film et de retrouver les qualités de mise en scène de son auteur.
Duke Red
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Duke Red »

Stacy Martin, formidable ? :shock:
Espion(s), un des meilleurs films français récents ? Re- :shock:

Une fois encore, je trouve que les films de genre français ne sont pas à la hauteur : Ni le ciel ni la terre, Maryland et maintenant ce Taj Mahal, que des déconvenues… Je vais quand même me laisser tenter par Le Grand Jeu.
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Anorya »

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Louise a dix-huit ans lorsque son père doit partir à Bombay pour son travail. En attendant d’emménager dans une maison, la famille est d’abord logée dans une suite du Taj Mahal Palace. Un soir, pendant que ses parents dînent en ville, Louise, restée seule dans sa chambre, entend des bruits étranges dans les couloirs de l’hôtel. Elle comprend au bout de quelques minutes qu’il s’agit d’une attaque terroriste. Unique lien avec l’extérieur, son téléphone lui permet de rester en contact avec son père qui tente désespérément de la rejoindre dans la ville plongée dans le chaos.

Je rejoins le camp (peu rempli) des conquis.
Et au vu des avis (forum ou ailleurs), Taj Mahal fait partie de ces nombreux films qui intriguent, fascinent ou laissent indifférent de par ses choix de mise en scène et le thème du film (le terrorisme donc). On en revient ici à la question de la subjectivité et au rapport qu'on entretient nous-même aux films et au cinéma et je ne cache pas que ce qui m'a intéressé et passionné moi est précisément ce qui a laissé de marbre pas mal de monde. Et si j'ai ressenti que les comédiens n'étaient pas tous forcément au même niveau, j'apprécie que Nicolas Saada, en choisissant pudiquement, de jouer sur la carte intimiste en jouant le contrechamp du drame, via le personnage de Louise, et en s'en tenant uniquement à ce qu'elle ressent et voit m'a paru de fait jouer brillamment et intelligemment du drame tout en entretenant le suspense tout le long.

N'importe qui aurait montré la violence physique de l'attentat en dévoilant d'emblée les terroristes et leurs visages en pleine action.
Sauf qu'ici non et du coup l'horreur de la situation (sa claustrophobie même) n'en devient que plus forte étant donné qu'ici (mis à part des plans extérieurs sur les appels au téléphone des parents angoissés -- qui pourraient couper le rythme du film mais il n'en fut rien dans mon cas), l'on se place dans la même situation que Louise. On reste à ses côtés tout le long, dans l'attente du danger et d'une mort certaine qui pourraient arriver à n'importe quel moment. C'est fort, c'est très fort. Et l'on comprend d'autant plus ce choix de mettre la violence et l'horreur hors-champ plutôt que la montrer quand on voit vers la fin du film, des images --bien réelles celles-ci-- vidéos de l'attentat en direct aux infos. Car Taj Mahal s'inspire d'un fait divers qui a traumatisé l'Inde le 26 novembre 2008. Ce soir là, deux terroristes vont prendre en otage plus d'une quinzaine de personnes à l'hôtel Taj Mahal et en tuer d'autres. Cette attaque fait partie en fait d'une série d'attaques meurtrières terroristes qui secouent Bombay du 26 au 29 novembre 2008, parfaitement plannifiées et organisées.
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Tout en subtilité est également le reste du film. L'attaque de l'hôtel n'intervient en fait qu'au milieu du film dans un second acte, laissant le champ libre dans la première demi-heure pour poser les bases, nous montrer cette famille plus ou moins liée qui vient d'arriver. L'émerveillement de Louise, puis un constat plus blasé devant ces journées de "vacances" devant des parents qui la délaissent est de plus en plus perceptible. C'est dans une nuit presque banale alors que Louise commence à se regarder Hiroshima mon amour toute seule devant son ordi, que tout bascule (d'ailleurs le film de Resnais ne nous montrera jamais véritablement Hiroshima au moment du drame, seulement quelques plans inquiétants en ouverture et les corps enlacés et presques minéraux d'Emmanuelle Riva et Eiji Okada qui font office d'ellipses poétiques face à l'horreur de quelques chose qu'on "a même pas vu" à Hiroshima. D'ailleurs même peut-être parce que c'est tout bonnement inmontrable).

Subtilité aussi dans le dernier acte du film où Nicolas Saada s'attarde longuement sur le travail de deuil, "processus indicible, incommunicable et propre à chacun" (pour reprendre les mots même d'un ami cinéphile) où la solitude ne peut que se mesurer à nos différences, ce qui nous rapproche comme ce qui nous éloigne, le tout sur la musique apaisée bien qu'inquiète du splendide River man de Nick Drake (mais tous les choix musicaux du film sont excellent. Ainsi de ce final folk comme de l'ouverture sur un des "passages" de Philip Glass + Ravi Shankar).

Evidemment j'ai bien conscience que ce que j'ai apprécié dans le film est bien justement ce qui a pu déplaire par ailleurs. Duke Red évoquait le fait que le pitch pouvait donner lieu à un exercice de style nerveux et sec. Oui, pourquoi pas, mais dans ce cas, autant engager Paul Greengrass en lui proposant le sujet ou revoir Green zone ou Vol 93. J'ai l'impression qu'ici les attentes vis-à-vis du film, de son sujet, de son traitement, voire du réal ont ici été poussées un peu loin. Quand à l'héroïne tête à claque qu'évoque Nestor, ma foi là aussi c'est subjectif, je n'ai pas ressenti trop ça. Moi ce que je dis c'est que tout cinéphile doit se faire son avis par lui-même et du reste pour le mien, il s'agit d'un superbe film, intime, prenant et très touchant.
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Alexandre Angel
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Alexandre Angel »

Quelle carrière a bien pu avoir ce film? J'avais déjà oublié qu'il existait et pourtant, ton très intéressant commentaire me rappelle que Taj Mahal m'a intrigué dès sa sortie. Je finirais par le voir, pour sûr!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Demi-Lune
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Demi-Lune »

Un ratage quasi intégral.
J'avais envie de défendre ce film presque par principe, mais rien à faire, tout ce qu'entreprend Saada à partir de l'attaque manque le coche, pour moi.
Ce n'est pas tant une question de style incompatible avec le sujet. Il y avait quelque chose d'intéressant dans le fait de jouer plus sur l'atmosphère d'attente, de confinement et de pétrification que sur l'urgence. C'est un choix de morale de mise en scène qui ne vaut malheureusement que sur le papier. Car comme mes camarades l'ont indiqué précédemment, le réal' ne sait pas s'y tenir, en sortant tout le temps du huis-clos. Tout le système s'effondre en se tirant une balle dans le pied. Et les comédiens enfoncent les clous du cercueil en permanence en étant juste mauvais comme cochons. Les deux qui jouent les parents n'en ont strictement rien à foutre (ils jouent sous Prozac), c'est juste honteux, tandis que Stacy Martin pourrait être remplacée par une bûche sans que cela ne préjudicie en rien l'intrigue. J'ai rarement vu une prestation aussi inexpressive et monolithique. Compte tenu du fait qu'elle était l'une des rares raisons d'être de Nymp()omaniac vol. 1, il faut en conclure que la responsabilité de ce (non)jeu incombe au réalisateur, tout aussi démissionnaire que ses acteurs. Il n'y a qu'au début de l'attaque que le film est à peu près à la hauteur de son ambition : les coups de feu entendus de loin, les hurlements, l'héroïne qui sort sa tête de la chambre, cette impression de temps figé, le côté inquiétant, "shiningien" du décor. A partir de là, le détachement incompréhensible dont font preuve les protagonistes (l'impression que personne n'a peur pour sa vie, qu'on est au Club Med) trouve un écho dans celui de la mise en scène, dénuée de tension, de vie, comme si elle tentait maladroitement de traduire un état de choc, avant l'acceptation d'une mort quasi certaine. Ce programme achoppe sur la pauvreté affligeante de la mise en images (dans toutes ses composantes : photo, montage, cadrages...), qui ramène une fois encore à ce mystère : comment un critique de cinéma peut-il, lorsqu'il passe derrière la caméra, être aussi faible, aussi dénué d'imagination, de personnalité ? La séquence de la nacelle en devient fascinante, à ce stade, tellement c'est nul.
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par mannhunter »

J'aimais beaucoup Nicolas Saada en tant que critique et cinéphile et j'étais un peu curieux de voir son film mais là ça me refroidit un peu beaucoup...
Alexandre Angel a écrit :Quelle carrière a bien pu avoir ce film?
aucune?:

http://www.jpbox-office.com/fichfilm.php?id=15575
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poet77
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par poet77 »

mannhunter a écrit :J'aimais beaucoup Nicolas Saada en tant que critique et cinéphile et j'étais un peu curieux de voir son film mais là ça me refroidit un peu beaucoup...
Non, il ne faut surtout pas se laisser refroidir! Personnellement, je trouve au contraire à ce film plein de qualités. Il ne faut surtout pas se laisser trop impressionner par les critiques négatives. Tout le monde n'est pas de cet avis.
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par AtCloseRange »

Je sais pas vous mais moi, Demi-Lune, il m'impressionne...
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Flol
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Flol »

Pour l'avoir déjà vu en vrai, moi non.
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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par mannhunter »

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Re: Taj Mahal (Nicolas Saada - 2015)

Message par Jack Griffin »

lol...un film c'est pas grand chose
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