Il y a les "forumeurs historiques" qui sortent des longs au cinéma, et il y a ceux qui remportent des prix pour des courts.
Pseudo : Carmen est né sur DVDClassik. Le film a été réalisé avec l'aide de certains du forum: Yaplusdsaisons, Bruce Randylan, Julien, ainsi que les producteurs Rick Blaine et Tommy Udo qui ont payé les droits pour la musique (et l'aide précieuse de cinéphage), dont la plupart apparaissent devant la caméra. Merci infiniment à eux. C'est normal que je revienne le présenter ici, ne serait-ce qu'en quelques mots.
L'idée de ma "cyber-comédie" vient surtout d'une de mes vidéos parodiques que j'avais réalisée à partir d'une scène de Closer de Mike Nichols, où Jude Law drague Clive Owen sur le Net (c'est donc un peu un remake d'une de mes vidéos parodiques réalisée à partir d'une séquence remontée d'un autre film), et est inspirée de l'arrivée d'Helena sur notre forum.
Le film :
Forumeurs historiques ou newbies, amis ou ennemis, bourreaux ou victimes, Jeremy Fox ou Julien... j'espère que vous apprécierez le court autant que le public lillois le mois dernier.
Romain.
Dernière modification par Major Tom le 3 janv. 17, 12:25, modifié 22 fois.
Tout en repensant à la séquence originale sur Closer qui m'avait bien fait me bidonner, je me suis délecté de ce court rythmé et enlevé, tout aussi drôle que l'original (bien que bien plus long). J'ai adoré en particulier la tronche hallucinée de l'acteur principal, avec les centaines de "bip" des messages qui s'affichent hors champ à l'écran.
Pas mal, ton court-métrage. On voit clairement où t'as été chercher ton inspiration pour le sujet. (et puis j'ai même l'honneur d'être indirectement cité )
Sinon je CONNAIS le comédien principal (c'est lui, Daniel Mballa ?). Je suis persuadé de l'avoir vu ailleurs, voire rencontré, mais je n'arrive pas du tout à retrouver où, quand, comment. Et ça m'énerve un peu.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)